Dimanche 8 août 2010 à 12:25

DAVID dit:
"le truc c'es que tu aide tous le monde mais il y a personne pour t aider , toi "

Pourquoi cette simple phrase sur msn me fait-elle pleurer?

pix: dessin by me de Raf

http://manon.cowblog.fr/images/Dessin1.jpg

Samedi 31 juillet 2010 à 13:50

http://manon.cowblog.fr/images/DSC03969.jpgPix: le ptit ange abandonner sur mon lit <3

Je suis un papillon.
Cette été je le vit chaque jour comme le dernier.
J'envoie en l'air privations pour sa santé et une longue vie. Je ne veux plus m'économiser sans cesse pour survivre encore et encore jusqu'au siècle.
Ma vie, c'est un immense feu de joie autour duquel on danse et s'aime sans fin.
Je veux être un feu ardent plus puissant que les éléments. Et même si la seconde d'après je ne serais que cendre...
Je ne suis plus le petit ruisseau qui coule lentement, évitant les obstacles, suivant la pente.
Je veux enflammer ma vie, la brulé au chalumau comme on vivrais une vie en accélerer.
Vivre à en creuver. Vivre tellement fort qu'on aura tout fait, tout essayer, tout vécu, et même si c'est court ce sera comme le papillon, et tellement puissant qu'on ne pourrais plus rien attendre de la vie ensuite. Je ne veux pas survivre à cette été.
Ensuite c'est qui m'aime me suivent. Qui veut partager et se consumer a une vie sans limite est le bienvenu, amis, ennemis, inconnus...
Je sais que je deviens folle, je fais ce que je veux, je fais n'importe quoi et c'est tellement bon de se foutre de tout et de tout le monde. Faire ce que l'on veut, être ce que l'on est vraiment, sans chercher a plaire aux autres.
Je vais creuver alors qu'elle importance? Seul vivre est important, vivre à en creuver, ouais.
Je veux pas être rangé moi, je l'ai jamais voulu, après cette été tout recommencera, je retourne dans un moule, dans un avenir rangé, dans le système..
Seul cette été est une liberté. cette été j'ai aimer, j'ai couché avec un inconnu, j'ai danser comme une folle avec mes amis toutes la nuit, j'ai séduit et je me suis sentit belle. J'ai été aimer et puis je me suis enfin ouverte a mon Jacob avouant mes sentiments. Je me suis faite percé et un projet de tatouage, je me suis habiller comme jvoulais et fait des tresses, j'ai fumé des clopes parfois, et même enfiler des ricards. J'ai rencontrer des gens et parler des heures entières a refaire le monde sans connaitre son prénom.... et tant et tant encore de choses.
Et rien n'est encore fini.
Vous pouvez me juger, vous pouvez avoir peur pour moi même si il n'y a aucune raison.
La seule chose de vrai c'est que... Je n'ai jamais étais aussi heureuse de ma vie.
 

Bon aussi que j'ai besoin de calinnnns mais ca c'est une autre histoire!!

Mercredi 28 juillet 2010 à 12:37

Dans l'abandon total, je plane, je ne sent plus rien, plus rien qu'une bonheur sans limite, d'un bien être incomensurable...
Les dieux me bénissent... Je m'étais promis que cette été serai le plus beau de ma vie, et il en tout les aspects.
La fatigue pèse, les courbatures n'ent finissent plus mais je suis en vie. En vie pour de vrai. Je profite de chaque instant, de tout, absolument tout les moindres plaisirs de cette vie qui coule en moi et c'est le plus merveilleux des cadeaux.
Je ne voulais plus aimer, cette amour qui me ronge et me détruit chaque fois un peu plus, m'empéchant d'apprésier les petites choses de la vie, me plongant dans un manque constant, un vide absolue. J'aime. Je ne suis pas devenu une folle de sexe ou une fille facile. Raf je l'aime d'une façon. Je le désire, encore et toujours, mais j'aime aussi l'homme qu'il est. Un amour affectif, il est repartis une deuxième fois, il ne m'envoie presque pas de texto, et il ne me manque pas. Si vous saviez comme ca peut etre soulageant! D'aimer, d'etre aimer et désirer si fort, au point de s'enfermer des journées et nuits entières a se rendre fou, et ne pas souffrir. Juste aimer. Aimer pour donner, pour l'entendre gémir, le sentir perdre les pédales, apprendre ses recoins et ses petits gestes qui le perde, etre serrer par ces bras brulant si fort et se faire dire "c'est du viole limite, je suis tout a toi..", c'est du pur bonheur.
Du bonheur sans concession, sans peur, sans mal. J'en avais tellement besoin...
J'aimerai remercier un Dieu ou simplement le destin car il a fais les choses d'une manière magnifique. Une soirée, une homme magnifique au dela de l'imaginable, qui s'interresse a moi à la première seconde. Une nuit entière de tentation, de sensualité et de caresses, un manque de protection qui laisse la tension a son maximum, ainsi qu'une frustation inimaginable. Une nuit avant de me coucher j'ai surmonté mon égo et lui ai envoyer un texto, lui disant tout se que je ne lui avait pas dit.... 4h du matin voilà une belle décapotable bleu qui se gare devant ma maison avec élégeance.
Nuit poker a quatre, nuit genépi aussi, kums avec lui bien sur qui a résister au dela de l'imaginable a la volonté de Christelle de se mettre avec moi...
Puis au petit jour calin... un qui se fini bien cette fois. Lui le sous-disant impossible a rendre fou, j'y suis bien arrivée pourtant.
Des nuits, et des journées comme ca j'en voudrais à l'infini. Je n'ai même plus l'envie de dormir, ce n'est que le minimum que j'ingurgite pour tenir, le reste c'est que du bonheur pur, a etre entouré, a rire, a boire, a faire des conneries, a se taquiner, a s'aimer, a s'engeuler ou le serrer a s'étouffer de désir. Je veux encore décourir comme ca des inconnus et les apprésier comme ils sont, a apprendre a passer des moments magnifiques avec eux et leurs sourrires d'un petit signe de la main sans aucun mal ni regret dans le coeur.
Je veux profiter de mes amis, faire des soirées a tout foiré, des nuits a délirés sur qu'importe, des aprèms encore avec christelle comme des barges dans une piscine, crier a tue tête dans la voiture a biarritz avec Katy et David et avoir des motard qui chante avec nous, je veux encore voler les vers de wisky coca pour que Katy en ai plus, et s'enfuir en se disperçant comme si on étais des pros. Je voudrais encore faire des arbres droit et se ballancer des feux d'artifice dans tout les sens et voir cette ptite éteincelle dans les yeux de David.
Je voudrais que cette maison ne soit plus jamais vide, ou terne, et c'est tellement ce qu'elle est en ce moment, un vrai moulin.
Et putain, je vous dirais, pour moi, c'est ca le bonheur parfait.
Pas besoin de prince charmant ou d'amour, tout ca c'est trop casse couille, trop d'ennuis, et surtout ca fait trop mal...
Je vous aime. Si un jour ta pas le moral, ou tu te fais chier, tu sais qu'ici, la porte est toujours ouverte!
Welcome man!

Dimanche 25 juillet 2010 à 18:14

http://manon.cowblog.fr/images/Raph.jpg Ca y est. Vous pouvez désormais officiellement me traiter de pouf. Hier soir, Sacha m'avais demander de venir a une soirée chez un de ses potes. J'avais envie, ne plus rester dans cette maison d'un vide et d'un silence a faire frémir les morts. Pourtant je ne sais quel flème m'envahit, que je combatit...
Et je pense avoir eu raison. Sacha adorable, j'arrive, une bonne ambiance, on m'accueil à bras ouvert, présentation, je m'incruste tout de suite comme si de rien n'étais, tout le monde viens me parler, comme si soudain j'étais devenu un petit bijou de valeur. Je m'avance, Sacha a mes trousses, pour commencer à boire, qu'un mec s'avance vers moi, un peu trop précipitament pour que ce soit la pur coincidence qu'il ai soif a se moment là. Je ne fais mine de rien, tout est si étrange ce soir. Es-ce le percing qui fait tant d'effet? Il commence a me parler d'une voix velouté
et suave, je lève les yeux... Je n'ai pas eu un choc mais presque, heureusement imperceptible je pense de l'extérieur. Puis Sacha m'emmène déjà dehors avec nos deux verres. Le beau brun teinter blond au bout, grand, des muscles bien dessiné et un dos encore pire ne lacha pas l'affaire pour autant. Revenant à l'attaque dès que Sacha était occupé, ou qu'un siège se dégagé près de moi. Son regard vert me transperça. Il avait toute les allures du grand habitué des mots et du charme pourtant un truc m'attirer en lui. Puis toujours cette envie en moi de foutoir, de vivre maintenant. Je le laissais venir. M'amusant en attendant avec le petit monde autour. Une main qui glisse dans le dos, un regard... On s'était compris.
http://manon.cowblog.fr/images/629012028753125311248031558305675973456059n.jpg
Je le regardais et mon Dieu je n'ai jamais compris comment un mec aussi beau qu'un appolon, et si bon au fond (se que je découvrit plus tard en discutant) puisse n'avoir d'yeux que pour moi ce soir. C'était déconcertant. Moi. Au premier regard quand je suis rentrée. Pas un seul autre regard pour les autres filles.
J'ai du rester Deux heures ou trois seulement de la nuit en compagnie de tout le monde passant, les 8 autres dans une chambre piquer. 8 heures à se rendre fou et quand je regarde les photos de lui vous me croirez si je vous dit que j'en aurai encore envie? Une nuit entière de calin enflammé, de partage, a se chercher, jouer. Tel une danse splendide.
Ce fut insensé, incompréhensible, inimaginable, moi la fille raisonnable qui cotoie l'indaissence. Vivre au jour le jour. Le meilleur de tout sans s'en faire pour demain. Le pire c'est que c'est un homme formidable et que c'est dommage qu'il habite en Haute Savoie car j'aurai aimer le connaitre mieux.
Je veux m'en foutre mais au fond j'étais bien avec lui. Tant pis. Un de ces jours peut être?
http://manon.cowblog.fr/images/raph2.jpg

Mercredi 21 juillet 2010 à 18:05


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