Samedi 3 mars 2012 à 14:59

Un peu de JJG en fond,
C'est bien le seul a arrivé encore à calmé les crises d'angoisses.
Je m'abandonne à la musique le temps d'un instant ne plus penser à rien. Le désespoir s'empare de moi de jour en jour. Je ne suis capable que de rester devant Angel. Ma vie ne ressemble plus à rien, plus de but, plus d'envie, plus d'avenir.
Je ne sais pas ce que je vais devenir. Je n'arrive plus à respirer.
Ques que je vais foutre de cette vie. Comment trouver la force de se lever le matin, de travailler, et dans quoi?
Rien ne me fait envie ou ne me bouge. Je n'ai plus personne. Tous ceux qui étais capable de me remonter le moral ne sont plus la.  Et je m'écroule. Je suis une loque nulle. Je ne suis capable de rien seule. Je me hais.
Lundi retour à la fac... Je vais y aller? Qu'importe... qu'es que ca peut bien foutre...
Plus rien n'a d'importance. Plus rien n'a de sens....
Je ne sent plus rien, je ne veux plus voir personne, ni parler, ni prendre soin de moi...
Plus rien ne m'attein

Dimanche 8 août 2010 à 12:25

DAVID dit:
"le truc c'es que tu aide tous le monde mais il y a personne pour t aider , toi "

Pourquoi cette simple phrase sur msn me fait-elle pleurer?

pix: dessin by me de Raf

http://manon.cowblog.fr/images/Dessin1.jpg

Lundi 5 avril 2010 à 22:03



       Je ne sais comment commencer ceci, chttp://manon.cowblog.fr/images/orchidee.jpgar il n'y a ni de début, ni de fin à ceci.
Tout n'est que trouble et incohérence, sans logique, comme bercé par un flot liquide inhéxistent d'un monde inexistant. Je regardais la route, ou bien une autre? Je ne me souviens plus. Ni du moment ni de celle par lequel je voyais un disque jaune quelconque raser de ses lumières dorées la campagne qui semblais familière à celle que j'habiter. Du moins si le "je" est plus conventionnel qu'autre chose, car il n'existe de pronoms personnels pour le néant. Que suis-je? Quel visage peut ressemblais au néant? Quel irronie!
Pourtant elle regardais ce monde calme et beau sous des air d'une musique, sans entendre les paroles, ou sans arriver à comprendre le sens d'une chose qui étais pourtant sa propre langue. Ou peut être qu'elle comprennais mais que ce n'étais que moi car elle retenais quelques larmes tandis que  la femme qui conduisais et lui décrivais semble-t-il les vérités du monde. Elle non plus  je ne la comprennais pas.
Elle s'est affaler sur une chose molle, douce et verte, sans prendre la peine de parler a son père, de tout façon il ne la regarder pas, absorder dans un problème que je ne saisit pas et probablement pas même elle, elle n'avais pas vraiment chercher. Des phrases, des mots et des silences... des images, des sentiments et des déchirures... des regrets, des pleurs et des peurs. Tout mon néant fut ensevelit par tant de de non-dit. Il est dit que le premier amour est le dernier et je savais qu'elle le perdais. Les sourires menent toujours aux larmes. Sans doute trop de larmes pour si peu de sourrire. "Il aimais la mort, elle aimais la vie. Il vivait pour elle. Elle est morte pour lui" Pourquoi toute ces phrases m'assaillais? "Si tu ne m'aime pas alors qu'ils me trouvent ici."  Shekespeare étais en moi, il étais dans sa tête. Il étais la lune, il étais l'océan de larmes, il étais le plus puissant des rêves, il étais... le héros de sa prison d'argent et son geolier à la fois. Car elle étais prisonnière par des chaines invisibles mais inviolables. Quelques chose la retenais en cette endroit, dans ce point precis de cette univers, de cette dimension,de ce moment tandis que pour une raison inconnue une urgence, un cri, la poussais ailleurs. Qu'es qui étais dehors, qu'étais les mots, les choses? J'oublier tout, les noms, les synifications, les buts de chaques petites particules de ce monde, le trouvant de plus en plus flou mais aussi de plus en plus unis. Rien n'avais de sens ni même de raison car il n'y avais rien à comprendre. Ni bonne ni mauvaise décision, car au fond c'étais bien ce qui l'emprisonner, le choix. Trop fondamental, trop primordial pour arriver à le faire. Non il n'y avais pas de décision, que des choix, des déchirements, quoi qu'il en advienne. Pourtant aucun choix ne s'imposais et ne s'imposeras jamais. Elle as fait trop de mal autour d'elle et dois encore en faire. Elle as aimer et ne pourras plus désormais. Elle dois vivre, malgré l'horrible sentiment d'être morte déjà trop de fois.
Elle se souvient d'un crépuscule, d'amis autour d'une table basse a manger des choses. Elle se souvient des voix, elle se souvient de ne pas arriver à faire semblant, elle se souvient d'avoir fait la fière pour masquer malgré elle la peur mais surtout... surtout du souvenir ou l'un deux avait parler a une petite boite noir dans une autre langue, une qu'elle aimait et détester à la fois, une qui lui avais manquer. Elle étais sa maladie et son remède à la fois, elle sourrit alors qu'elle avait plus mal sue si elle avais subit les peines du monde réunis. J'aurais voulu lui arracher le coeur pour qu'elle puisse écouter sans souffrir. Puis un nom qui lui murtrie la poitrine pour la ravaler, des souvenirs qu'une autre parler, des endroits connus et des récits ressemblants a tant de ceux dits dans les endroit de sables.
Elle se souvient des mots, elle se souvient des gestes tandis que moi, je ne suis rien. Insignifiante insinifiante de la nature, sans nom et sans passé ni futur. Je l'ai quitter.
Il n'y a pas de fin à cette histoire. Pas de moral. Seul les survivants de la tempère peuvent en raconter l'histoire. Moi j'ai fuit avant.
Sans doute n'y a t-il point de fin, car... au fond... tout est.... néant.

Jeudi 28 mai 2009 à 22:13

Psy 4 de la Rime - Dans les bras de Gabriel

Parti avant celle qui m'a fait venir
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Parti avant celle que j'ai fait venir
C'est Kassim, ma mort m'a privé de l'avenir,
plus de formules, dans notre circuit les engins n'ont qu'une place,
vachement étroite hélas.
J'sais pas si vous entendez le texte.
J'simule la verité, j'vexe plus que je fais prendre conscience, barbot.
Tout comme Di Caprio j'ai dit au revoir du paquebot,
et lève l'encre, j'ai pensé aller, mais pas retour,
entre les deux extremités y a mes tours, les années, l'amour, la fougue, la pauvreté.
Entre ces deux extremités j'avais le temps d'oeuvrer pour mon retour,
j'suis un cancre,
j'ai négligé le coeur pour nourrir que mon ventre,
ça m'pèse lourd, vu que pour toi p'tit je suis un exemple,
écoute l'homme qui appelle les mains sur la tempe.
(Maman, il est ou papa?) Je suis en voyage le trajet est long,
j'sais pas si j'ai pris assez de bagage, mon trajet est long,
venez pas pleurer sur mon point de départ, non.
Demandez pardon et coupez ce cordon
qui lie mon, existence à la votre,
mon ésprit qui vous hante, sommeil de plomb j'suis votre klaxon.
Filtrer mes emotions c'est mon vivant.
Chaque épreuve a son degré d'effort,
tu pleures M'man, j'te vois, faut pas.

[Soprano]

Il est souvent trop tard
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quand on s'rend compte de ce qu'on a plus,
et ça j'le sens depuis que Gabriel m'a pris le pouls.
On s'prend des jumelles, alors qu'le bonheur est sous nos yeux.
J'regrette tant le temps que j'ai passé à être loin de vous.
Déjà qu'j'suis de nature solitaire,
j'ai mis dans le ventre de mon temps l'rap comme seul ver solitaire,
au lieu d'le consacrer a mes freres qui ne cessent de grandir.
J'éspère que tout ce que j'ai bâti puisse embellir leur avenir.
Nan, m'noyez pas d'vos larmes,
elles n'abreuvent aucune tristesse et ne font repousser aucun arbre.
La vie file à une telle vitesse
qu'elle nous condamne à être des saules pleureurs.
Restez des chênes juste pour mon âme.
Au moins pour tous ces fans sensationnels,
d'ailleur c'est pour eux que dans l'rap j'étais inculpé de crime passionel,
mais aussi pour Street Skillz,
et tous ceux qui ont essayé d'porter les peines d'un être qui n'a rien d'exceptionnel.
Bercez moi avec la mélodie du rire à Maman, que ce moment
soit suspendu dans le temps, éternellement.
J'parle à vous Sakina, Jamal, Zak et Naima,
P'pa, M'man,
Je vous aime en m'endormant.

[Don Vincenzo]

J't'en prie prend ma main, http://manon.cowblog.fr/images/photos/17220909183.jpg
avec toi une derniere danse,
demain qui sait ou je serai, donc j'ten prie, prend ma main.
J'y pense, à cette danse, car toi et moi on vient de loin,
C'est flou comme ce mauvais oeil de loin mais qui souvent vient des tiens.
Une valse avec toi, pour avoir un oeil sur le monde,
sourd et muet comme le regard de la Joconde.
J'ai vu des larmes qui coulent,
et nottament des balles qui tombent,
J'ai vu des mecs cool, et à la fois le sourire de leur ombre,
leur âme s'envole, et leurs silouhettes deviennent sombres.
Et j'pense à ce jour ou on va rompre,

Cette fois il me semble que j'suis pris pour cible,
tout le monde veut sa part, donc l'être humain finit par ne plus etre sensible,
et toi sincère, quand tu m'disais qu'on etait juste des pions,
affamés devant un bout de pain, et qu'on allait se quitter a la fin.
A la fois j'dois etre digne, comme la foi dans ce Din,
Salaam aux pères et frères dont leur âme se perdent au ce cimetierre,
aux frères et autres Muslim, que Dieu vous garde
avant que le retentissement de la fin vous bombarde,
moi il est temps que j'y aille,
donc j'vous tire ma révérence,
j'me taille vers l'Au-Delà, et les corbeaux m'présentent leurs condoléances...

Mercredi 4 mars 2009 à 16:49

http://manon.cowblog.fr/images/photos/473912235.jpg
"Do not stand at my grave and weep
I am not there; I do not sleep.
I am a thousand winds that blow,
I am the diamond glints on snow,
I am the sun on ripened grain,
I am the gentle autumn rain.
When you awaken in the morning's hush
I am the swift uplifting rush
Of quiet birds in circled flight.
I am the soft stars that shine at night.
Do not stand at my grave and cry,
I am not there; I did not die."
Mary Elizabeth Frye - 1932

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