Ques que l'amour?
J'étais persuader le savoir pourtant tout est remis en question. Comment peut on être sur d'aimer quelqu'un, de savoir que l'on va passer sa vie avec?
J'ai tellement douter, pendant tellement d'année de l'amour des autres que finalement je n'ai jamais remis en question mon propre amour.
Je ne sais pas la différence entre l'amour et l'attirance. Je ne connaissais pas cette dernière. Pour moi il ne pouvais y avoir que l'amour, sous différente formes certes mais de l'amour. Cette sorte de mécanismes de désirs contre lequels on ne peut rien qui nous propulse vers un corps sans savoir vraiment pourquoi, se sentir envouter, ne plus rien maitrisé, hypnotiser par sa voix et ses yeux, m'étais étranger.
Ques que le désir ?
Comment es-ce possible de désir aussi fort quelqu'un au point de devenir fou en étant sur d'avoir trouver l'homme de sa vie? Pourquoi la vie me montre ça aujourd'hui, ou j'ai construit quelque chose que je n'aurais jamais espéré quelque chose que j'ai tant et tant de fois pleurer, implorer à tout les dieux de la terre. Et la tout est menacer encore une fois de se détruire. J'ai l'impression comme toujours que dès que ma vie est trop parfaite je fait tout pour y foutre un gros bordel, je ne peut m'empéché de tout détruire. Me retrouver seule comme avant, puis bien plus tard regretter amèrement et repartir pour un tour du manège infernale. J'aime trop la solitude et d'etre aimer à la fois. Je sais que je dois tenir, je dois oublier, me relever, me battre contre moi-même pour ne pas tout foutre en l'air car cette fois je risque vraiment de le regretter si je le fait pas.
Mais en aurais-je la force? Tout me parais si changer depuis l'autre jour. Comme un éléctro-choc. Il m'a tellement fait vibrer que la tiédeur trop connu de D, ne me fait plus rien. Au point que je tolère à peine son contact. Je ne le désir plus. Comment ça peut arrivé alors que je bruler pour lui? Peut on encore parler d'amour?? Je débloque total...
Ques que j'attend au juste? Ques qu'il me faut pour que j'arrete de faire ma chieuse et que je sois enfin heureuse, que je sois stable dans ma vie, que j'arrive à travailler correctement et pas faire semblant. Quand es-ce que j'arrétrais d'être une enfant à qui il faut tout faire à sa place.
On ne fais plus rien ensemble, lui tout le temps sur l'ordinateur a jouer, moi a à peu près travailler. Enfermer. Je fume comme une débile et me ruine en plus de ça. Je n'arrive même plus a acheter des vetements. Je m'ennuie dans ma vie je crois que c'est ça. Je me fais grave chier ouais et le pire dans tout ca c'est que j'ai vraiment rien d'autre envie de foutre si ce n'est dormir et m'empifrer de bouffe à en exploser.
Je suis dans une impasse.
manon
Ecoutez d'où ma peine vient
Mercredi 26 octobre 2011 à 15:36
Mercredi 24 mars 2010 à 17:30
Existe-t-il une personne dans ce monde sincèrement bon et honète?
Ou es-ce que tout ce résume à cela.
Un monde calculateur.
Et moi au milieu.
Seule.
Abandonner,encore une fois.
L'ultime.
Car je n'ai plus de coeur.
Cette fois il est détruis a jamais. Je ne le sent même plus battre.
Peut être que je suis morte.
Mais non.
Ce serait trop facile.
Ce serait tellement moins pénible.
Non.
Je dois affronter ce monde, ou le fuir.
Vivre, malgré tout,
Sans but ni envie.
Je ne veux plus entendre son nom.
Je ne peut plus l'entendre.
Et pourtant je continue de l'aimer. De le voir comme durant ces jours de bonheurs parfaits.
Sans arriver à croire la vérité qui arrive.
Il m'est impossible de l'oublier,
Comme il m'est impossible de ne plus l'aimer.
Mais quel importance dans le fond.
Pour un coeur mort,
D'aimer ce qui n'est plus en droit d'aimer,
Je ne peut,
Me dire que jamais plus je ne pourrais admirer son visage,
Et le prendre dans mes mains.
Destruction ou abandon.
Quel choix...
Quel maléfice ai-je reçus?
Pour devoir vivre tout cela?
Il n'y avait aucun doute a ce moment la... aucun. Parfait c'est tout.
Pourquoi... soudain?
Je n'ai plus de mots. Que des maux.
Patétique de dire ça ici. Et tellement égoïste.
Je suis comme le monde au fond.
Dimanche 15 novembre 2009 à 17:58
Pendant un bref moment, tout étais différent.
Quelque chose s'étais établis, quelque chose de profond.
Le temps s'est arrété, le mouvement aussi.
On a tous ressentit cette conivence.
Et la vie a reprit son cour.
Dimanche 4 octobre 2009 à 22:15
Sous les éclats de la pleine lune je valse.
Je n'aime que la nuit en ce moment. Qui l'aurais cru possible un jour. Moi qui est fui la nuit toute ma vie. Qui l'ai haï, qui aurait tout fait pour que le soleil ne disparaisse jamais pour que cette peur sourde ne vienne pas. Le nuit je l'attend maintenant. Je voudrai pouvoir y danser a l'infini sous ces étoiles. Marcher sur mes chemins terreux les pieds nue pour l'éternité, jouer avec la lune. Je me retrouve dans la nuit. Je m'y reflète étrangement. Elle est mon mirroir ma maison. Je m'y sent bien. Protéger. Je voudrais que jamais ne se lève ce soleil qui me brule, me dévord. Qu'il n'y ai plus d'homme sur terre, pour m'attaquer sur mes chemins de terres, plus d'obligation de me lever demain et donc de me coucher tot. Non je veux encore parcourir les terres sous les rayons de la lune. Je veux encore me perdre dans l'obscurité et danser... a toi. Rester alonger toute les nuits dans les herbes folles a observé la lune et ses changements chaque nuit, ses zones d'ombre, des cratères. Sentir l'odeur de la nature qui se repose, le frais qui balaille mon visage... Ne pas vouloir rentrer
J'écris de nouveau ici. C'est bizzar. Je ne sais pas pourquoi tout ce flot de mots m'envahi de nouveau. J'ai un besoin irréfréné que ca sorte. Pourquoi ici est pas sur un papier je sais pas. Ici j'ai l'impression qu'hurlai, ca sort de mon corps et ce perd dans le néant. Un papier je reste dans le silence. Ce ne sort pas vraiment.
Je n'aime que la nuit en ce moment. Qui l'aurais cru possible un jour. Moi qui est fui la nuit toute ma vie. Qui l'ai haï, qui aurait tout fait pour que le soleil ne disparaisse jamais pour que cette peur sourde ne vienne pas. Le nuit je l'attend maintenant. Je voudrai pouvoir y danser a l'infini sous ces étoiles. Marcher sur mes chemins terreux les pieds nue pour l'éternité, jouer avec la lune. Je me retrouve dans la nuit. Je m'y reflète étrangement. Elle est mon mirroir ma maison. Je m'y sent bien. Protéger. Je voudrais que jamais ne se lève ce soleil qui me brule, me dévord. Qu'il n'y ai plus d'homme sur terre, pour m'attaquer sur mes chemins de terres, plus d'obligation de me lever demain et donc de me coucher tot. Non je veux encore parcourir les terres sous les rayons de la lune. Je veux encore me perdre dans l'obscurité et danser... a toi. Rester alonger toute les nuits dans les herbes folles a observé la lune et ses changements chaque nuit, ses zones d'ombre, des cratères. Sentir l'odeur de la nature qui se repose, le frais qui balaille mon visage... Ne pas vouloir rentrer
J'écris de nouveau ici. C'est bizzar. Je ne sais pas pourquoi tout ce flot de mots m'envahi de nouveau. J'ai un besoin irréfréné que ca sorte. Pourquoi ici est pas sur un papier je sais pas. Ici j'ai l'impression qu'hurlai, ca sort de mon corps et ce perd dans le néant. Un papier je reste dans le silence. Ce ne sort pas vraiment.
Vendredi 25 septembre 2009 à 18:04
Chaque matin, j'ai encore peur qu'il ne veuille plus de moi
Plus que quatre semaines... et quatre déjà passer.
<3