Mardi 27 janvier 2009 à 21:40





JSUIS HEUREUSE





Samedi 17 janvier 2009 à 22:02

"Il n'y a pas de race pure, il n'y a que la bêtise humaine qui le soit."

encore Il était une fois peut être pas Akli TADJER
 

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Nous avons enfin fini le TPE... Après six heures de travail acharné chez une fille de mon groupe. Une maison resplendissante, avec un jardin joyeux et une pelouse épaisse, des pièces lumineuses, des chemins de photos dans des cadres expirmant toujours cette même unité de famille, ce même bonheur, des couleurs partout, un piano au centre du salon vernis, des ordinateurs dernier cris... Chaque fois pour moi c'est le même constat, la même peine. Comment puis-je être comme tout le monde? Je n'ai pas de famille, pas de photos de bonheur dans tout les coins de la maison. Ma maison elle tombe en ruine, il pleut dedant, y'a de la moisissure dans tous les coins de la cuisine, le papier peint tombe, la cheminer n'a même de décoration, la peinture se craquelle dans la salle de bain... Seul ma chambre est chaude, colorer, propre et agréable. Mon pauvre piano est oublier dans un coin isolé du reste de la maison, entreposer au milieu d'un tas d'autres choses. Chaque fois que je passe en bus devant toute ses villas resplandissantes ou reigne une douce tranquillité ça me rend horriblement triste. J'en ai marre d'avoir honte de ma maison qui pourtant est immence. j'en ai marre de ne pas pouvoir y recevoir des gens, parce qu'on sait que personne ne vit dans une baraque pareille. J'aimerai avoir des jolies photos. Il faudrait d'abord les prendre... Je suis plus petite, on peut plus prendre de jolies photos en famille d'un bonheur épanouie et sans concession. De toute façon il n'a jamais exister dans cette maison, ce bonheur. Tout à l'air si simple dans cette univers, tout à l'air si beau...
Je dois choisir entre mon père et ma vie.
Et c'est pas un choix facile.

Manon*

Vendredi 16 janvier 2009 à 22:55


"C'est de l'antagonisme que naissent la beauté et la richesse."
Il était une fois peut être pas Akli TADJER

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Je m'allonge avec bonheur dans mon cocon de chambre. Heureuse, simplement. Parfois je me demande comment en étant si facillement satisfaite de si peu je peut être si malheureuse le reste de la semaine. Le lycée m'achéve cette année. Il me bousille le moral. Pourtant rien que l'idée de le quitter me hante. Le bus et ses moments de songeries qui m'ont si souvent aidée sous un air des psy4... Je suis épuiser. Je tremble comme une feuille depuis 5h du soir. C'est ainsi que mon corps a toujours manifester la fatigue extrème. Ma seconde soeur s'est égallement confier sur le fait qu'elle s'en voulait de ne pas passer plus de temps avec moi... Je me sent vraiment insensible comparer à elles. Le désir de liberté et les multiples blessures me force sans cesse a repousser toute attachement. S'attacher c'est s'emprisonner. Combien de fois cette phrase m'est revenu? Je me rend compte grace à elles a quel point cette règle est a appliquer avec modération. La télé lance de nouveau le sujet si sensible dans ma famille, l'audela, les médiomes, les rêves prémonitoires. Je tremble deux fois plus, déjà les larmes aux yeux. Les mêmes histoires de famille reviennent qui sont si interessant mais si effrayante pourtant. Je ne sais pas pourquoi cela ma perturbe autant. Ce n'est pas vraiment de la peur. Je ne sais pas vraiment décrire ce sentiment. Je tremble et j'ai envie de pleurer, pleurer, pleurer comme une Madelaine. Moi qui ai tant de mal avec les larmes! Mais ce sujet c'est automatique. Je repense a tout mes rèves. Ces rèves horribles de meurtre. Dès l'age de 3 ans. Je part dans mes pensées, de souvenirs. La mort. Tojours ce même thème. Pourquoi? J'esseille de ne plus y penser. Parce que je sais que sinon la nuit va être longue. Le lycée, l'avenir, le code... encore des sujets a évités. Y'a un amas dans ma tête de choses que je ne suis jamais arriver à écrire ne serai-ce que sur un morceau de papier, pas même à murmurer tout bas. Il y'a a tant de choses qui me hante et remonte en même temps à la surface. J'étouffe. Je me sent rejetter par ma classe. J'ai envie de fuir. Je n'aime pas les gens sans doute parce qu'eux non plus ne m'aime pas. Je coule sans savoir quoi faire. Je ne sais plus quoi faire de deamin pour qu'il soit mieu remplit d'espérance. Je ne sais plus comment aider mon père. Je ne sai splus comment gérer ma vie. Je ne sais plus aimer. je ne sais plus prendre de choix. Je ne sais plus travailler, me concentrer. Je ne sais plus vivre. Je ne sais plus faire la fête. Je ne sais plus faire de l'humour. Le plus étonnant est que ce qui me reste est une chose que j'ai peu connu dans ma vie: de la détermination. Et ca me réussit. J'apprend le piano a une vitesse vertigineuse avec détermination et obstination. comme une prenve de ma valeur, une leçon que je veut donner a moi même pour me prouver que je vaut quelque chose lorsque je le veut. Me rassurer sans doute pour la fac... qui me désespère plus que tout.  Et pourtant demain je dort et j'ai une tonne de desperate a me faire durant la nuit. Et rien que ça me fait sourrire, et tout d'un coup je me sent bien. Dans le calme, dans mon univers. J'ai l'imprestion de posséder le temps. De me dire que j'ai le droit de croire que le temps guérira mes blessures.
Je devrais voir un psy selon vous?

Manon*

Dimanche 11 janvier 2009 à 17:34


"moi je voulais croquer la vie toi tu voulais croquer mes lèvres
tu m’as demandé mon avis je t’ai demandé une trêve
tu n’avais pas l’air ravi mais mon  cœur était en grève."
Marlich Tunisiano
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Nouveauté sur le blog. Après la rubrique "Il y a un an" vous avez désormez la rubrique "Citations" juste en dessus.
Sinon c'est encore et toujours un big bordel chez moi... Fou hein?
J'ai l'impression de m'enfoncer bien bien. Ma mère me fait psychoté à force de me répéter que je suis misanthrope, que je m'enferme, que je n'aime plus personne, que je vais finir hermite. J'ai toujours eu peur des gens, j'ai toujours fuit devant tout et n'importe quoi pour un peu de solitude. C'est pas nouveau. C'est tellement plus facile d'être face à soi même. C'est tellement plus rassurant. L'homme est trop imprévisible, trop gourmand en sourrire. Seule je fait la gueule à moi même. Ca ne dérande personne. Pour autant je ne suis pas triste. Je suis même super heureuse. J'ai pas besoin de sourrire pour montrer que je suis heureuse. L'homme me fait peur. Depuis toujours. Je me rappelle avoir 5ans, n'avoir jamais vue de films qui font peur et réver que ma famille se fesait exterminés dans un bain de sang... Ca me fait encore des frissons quand j'y pense. Je suis une trouillarde qui bats sa peur en la fuillant. Mais la c'est plus que ça. Je ne sais pas. Je ne sais plus rien de ce que je suis de ce que je fait, vers ou je vais, vers qui? Vers quoi? Ma vie est un long fleuve qui coule sans savoir pourquoi ni comment. Je pense à Aaron et je crois trouver un but... Je pense à Lahsen en lisant mon livre et ca me fait mal de l'avoir autant blesser. Je repense a cette idée que je m'était faite il y a longtemps comme quoi chaque homme et femme à sa moitier manquante quelque part dans le monde et qu'il ne suffisait que de la trouver. Idée bien miélleuse je vous l'accorde. Cette nuit, vers les coup de 5h du mat cette nouvelle idée est venu à moi. Si le nombre d'homme est impair, alors le dernier chiffre est seule, il n'a pas son double. Et si l'erreur ferait qu'il soit condamné à ne pas avoir de double. Condamner à ne pas aimer. Condamner a ne pas dire "on". Je me suis dit que peut être j'était le dernier chiffre. Le chiffre qui n'a pas son image. Comme dans "La nuit des temps"... J'ai philosophé comme ça un bon bougt de temps durant le nuit à enfiler des idées comme un petit avec des perles de toutes les couleurs sans chercher à donner une quelcunque régularité à son travail. Je me sentais vraiment seule se soir la. La nuit me fait ressentir ça. Jamais compris pourquoi. Parfois je lui parle. A cette homme. A ces hommes. OU qu'il(s) soi(en)t. Qui s'auront me faire réver et m'emmener la où je n'aurais pas put aller seule. Puis la réalité me rattrappe bien vite. Mon coeur étouffe. Ma solitude bien aimé m'urle de reste bien tranquille face à mon piano et d'oublier tout cela. Alors je me lève et regarde le soleil se lever, les pied nue dans la neige, et je dit au revoir à la lune qui m'a si souvent éclairer dans mes interminables nuits. Je pense à mon père pendant que mes pieds se congèlent, a ma mère a qui j'ai dit adieu, ma famille si étrange, à la vie que je meine. Parfois je ne sais plus pourquoi je fuit tant que ça. J'ai envie de forcer la porte et me bouger le cul. Je ne sais pas si je suis anormale, si j'ai besoin d'un psy, ou si c'est juste une passade. J'ai peur de chercher toute ma vie une terre qui n'existe pas. Je repense à cette question que je Lui avait poser qui m'a hanter toute ma vie a laquel Elle m'a répondut si étrangement: tu est née pour quelque chose, tu découvrira pourquoi un jour...
J'espère qu'Elle a résond.

Manon*
Photo d'un palestinien après un bombardement
je met cette photo en soutien pour ces deux pays qui s'entre-tue et en l'espérance d'un avenir meilleur.

Mardi 6 janvier 2009 à 19:43


"Il n'y a pas d'amour, il n'y a que des preuves d'amour...
Aimer c'est ne pas posséder... Aimer c'est savoir souffrir."
Il était une fois peut être pas
Akli TADJER
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On est en plein blocage. Mare et Léo. Nora et les "je t'aime". Moi et le don de soi.
Je n'y arrive pas. Je bloque completement. Je me trouve des excuses bidons, j'hésite encore et encore. Le moindre petit "peut être que..." et poignarder sur place. Je refuse. De tout mon corps. Je coule dans une caresse. Juste pour le geste. L'amour me fait fuir. Pourtant même les histoires futiles je l'ai fuit. Cherchant cet amour qui m'a glissait entre les doigts. Je le chercher encore et encore. Toujours plus fort, toujours plus stupidement. Je fait un blocage. Avec l'amour, avec le sexe. J'ai peur de ne plus être a la hauteur pour le sexe. Je sent mon coeur en grève au fond de moi pour l'amour. Je me rêve amoureuse, je me rève dans des bras. Comme Vincent finallement. Il ne m'aime pas plus qu'avait. Il me rève comme il voudrai que je soit. Comme il voudrait qu'il soit. Il s'immagine le beau couple que ca ferait, les bons moments... Pour ca qu'il ne me cherche pas plus que ça. Pour ne pas casser le rève, l'illusion. Il se rève amoureux de moi. Il est amoureux de la fille de ses rèves... J'ai ma routine de célibataire. Ma routine d'écorché. Rentré, douché, piano, écrire, penser, regarder les étoiles, se souvenir... tant et tant de moment de solitude que j'ai, et dont j'ai besoin. Je L'entend déjà comme avant raller en me disant "Tu te complet dans mon malheur Camille!". Elle avait résond finallement et ça me ffait sourrire. Parce que depuis j'ai apprivoiser mon mal, que je m'en suis fait un compagnon que j'ai peur désormais de lacher. L'amour c'est ne plus souffrir. Et j'avoue, ça aussi ça me fait peur. Je l'ai depuis tellement de temps en moi, je l'ai tellement combattue, était combatu, repousser et tomber en elle, je l'ai tellement vécu que sans elle je ne sais plus qui je serais. Aimer c'est faire des efforts, c'est sortir en ville, se retrouver, c'est sortir de chez  soi. Aimer c'est s'engueuler, paniquer, tremblait, avoir peur. Aimer c'est trop de sentiment, trop de fouilli dans un petit coeur éprouver et éssoufler. Aimer c'est devoir partager sa vie. Aimer c'est faire confience... et putain que j'ai confience en très peu de gens. Je veux juste qu'on me protège...
En attandant.

Manon*

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