J'étouffe
manon
Ecoutez d'où ma peine vient
Vendredi 26 mars 2010 à 22:21
Il faut que la lune me sourit dans un bus, en plein milieu de l'après midi.
J'ai envie de lui dire va t'en. Laisse moi tranquille je sais ce que tu me veux.
Je connais ta voix et tes mots doux chuchotés. Je connais tes mains, je connais tes lèvres... Part.
J'ai laisser tomber le collier...
Mais ce n'est pas passé. Combien y avait-il de chance pour que la lune soit dans le ciel a quatre heure, dans cette direction, que mon chemin passe dans cette angle, et que je me sois assise de ce côté du bus...? hein? Peu. Et pourtant c'étais aujourd'hui.
Mais ce n'est pas que la lune. Tout me ramène a lui. Le dessin accroché dans ma chambre, le collier, mes vetements, mon parfum, les photos, mon fond d'écran, les textos, la musique, la bague... tant et tant de chose. Insignifiante, indétectable pour mon père. Dans la rue avec Christelle en direction du cinéma j'ai entenud un marocain parler... C'était trop stupide de ce sentir si soulager d'entendre ces intonations, ces ''haa'', toutes ces petites expressions... J'ai crus devenir folle, j'aurai voulu embrasser l'homme, l'entendre à l'infini. J'ai rallentis d'un coup, me suis décalé vers lui, inconsciament. Mon dieu je me foutrais des claques. Jétais attirer. Comme un aimant par ce qui te ressemble. Puis une connection sur facebook et je tombe bien sur sur une photo de toi. Une si détailler. Bien loin de toute celle auquel j'ai put m'habituer depuis le temps. Le souffle court. Mon coeur est mort une deuxième fois.
C'est tellement plus facie de faire semblant au dehors. Je suis tellement loin de toi avec Christelle, avec mes amis, avec le lycée où lorsque je travail. Mais seule c'est insupportable c'est inhumain. Je me regarde dans le visage. Fantome, mort vivant ou zombie? Difficile à dire. Il n'y a rien dans mes yeux. Que du vide.
A quoi sert la vie? Question qui n'a pas de réponse. Je me suis rendue compte depuis quelques jours que je ne voulais rien. Je ne supporte pas l'idée de vivre une vie simple, des études, un boulot pendant quarantes ans a ammassé de l'argent... pourquoi? Pourquoi le fairais-je? Et le jour de ma mort je me dirais quoi, chouette j'ai rien fait de ma vie? Mais qu'en faire? Que puis-je faire de ma vie dans ce monde a part de ne rien en faire justement? Il n'y a pas d'issus. Rien a construire qui doit être souvenus si ce n'est une année en Australie qui va m'éloigner pour toujours de ma famille. De toi... Peut etre que c'est ça ma vie. Un an de galère, mais au moins un an de vie, de vrai vie. Arnaud me provoque par ses jeux, comme d'habitude. Me forcer a ne pas être si sage. Me porvoquer pour faire ce que je n'ose faire.
Mais ces derniers temps ca n'a plus vraiment de valeur. Ma conscience, et puis ce n'est pas mauvais pour ma santé ou quoi que ce soit alors l'hésitation est présente. Quel importance au fond? Ques qui as de l'importance?Quel gamin! Et quel barge quand il veut quelque chose!
Plus de danger, plus rien a perdre. Alors tant qu'a perdre son coeur je peut bien perdre mon âme. Sans coeur elle n'a plus vraiment de valeur si ce n'est de faire du mal!
J'aimerais te montrer ce que j'ai dans mon coeur. J'aimerais te montrer a quel point je t'aime à en creuver pour que tu comprenne...
Mais c'est impossible...
Jaimerais tellement t'avoir près de moi... Tout serais si plus facile.
Mercredi 24 mars 2010 à 17:30
Existe-t-il une personne dans ce monde sincèrement bon et honète?
Ou es-ce que tout ce résume à cela.
Un monde calculateur.
Et moi au milieu.
Seule.
Abandonner,encore une fois.
L'ultime.
Car je n'ai plus de coeur.
Cette fois il est détruis a jamais. Je ne le sent même plus battre.
Peut être que je suis morte.
Mais non.
Ce serait trop facile.
Ce serait tellement moins pénible.
Non.
Je dois affronter ce monde, ou le fuir.
Vivre, malgré tout,
Sans but ni envie.
Je ne veux plus entendre son nom.
Je ne peut plus l'entendre.
Et pourtant je continue de l'aimer. De le voir comme durant ces jours de bonheurs parfaits.
Sans arriver à croire la vérité qui arrive.
Il m'est impossible de l'oublier,
Comme il m'est impossible de ne plus l'aimer.
Mais quel importance dans le fond.
Pour un coeur mort,
D'aimer ce qui n'est plus en droit d'aimer,
Je ne peut,
Me dire que jamais plus je ne pourrais admirer son visage,
Et le prendre dans mes mains.
Destruction ou abandon.
Quel choix...
Quel maléfice ai-je reçus?
Pour devoir vivre tout cela?
Il n'y avait aucun doute a ce moment la... aucun. Parfait c'est tout.
Pourquoi... soudain?
Je n'ai plus de mots. Que des maux.
Patétique de dire ça ici. Et tellement égoïste.
Je suis comme le monde au fond.
Lundi 15 mars 2010 à 22:07
Assise sur le bord de ma fenêtre. Place si familière désormais ou la température atteint des seuils acceptables. Bien que parfois la peine surmonte le froid, une fois n'est pas coutume. Ce jour il faisais beau et presque chaud. J'observais cette nature si belle encore, alors que je l'ai sous le nez tout les jours, pourtant je n'arrive à m'en lassais. J'écoutais les oiseaux heureux. Et surtout je pensais, plutôt que de terminée ma lecture d'histoire. Je me disais que j'aimerais être éternelle, invincible. Une sorte de super héro. Pour certains les vampires les facinent pour leurs beauté, d'autre pour leur force, d'autre encore parce qu'ils "font de trous", ou encore la sensualité et l'image dégagé par la sucion du sang dans le cou. Moi c'est l'éternité. Et ce n'est pas par la peur de la mort. Je n'ai jamais craint ma propre mort. Tout ce que j'ai toujours craint, c'est de souffrir. Non, ce serais être éternelle pour pouvoir vivre tout ce qui peut être vécu sur cette planète, pour ne jamais devenir ridée et handicapé, pour pouvoir visiter le monde, apprendre tout ce qui m'intéresse, faire les plus grandes écoles, profiter de tout sans compter car rien ne finira jamais... Tant d'esspoir et de perspective à cette idée! J'aimerais parfois que cela fut possible. Invincible... Ne plus jamais avoir peur d'aggression ou de viols, pour voir se balader à n'importe quel heure du jour ou de la nuit, dans les endroits les plus dangeureux du monde sans peur, simplement parce qu'ils sont si faible par rapport à votre puissance...
Oui j'aimerais être immortel et puissante. Belle et gracieuse. Rapide et forte.
J'aimerais parfois que certaine histoires devienne vrai. J'envie Bella, comme j'envie Juliette ou tant et tant de livres, BD ou autres. Car ils ont des vies passionnantes. Parce qu'ils n'ont peur de rien. Parce qu'ils sont hors du commun. Parce qu'ils ont des dons qui dépasse le naturel. Parce que... Ils ne sont pas moi. Ils ne sont pas vous. Ils sont hors de tout ce monde sans surprise que je prévois si facilement qu'il en ai ennuyant et triste a mourir.
Et parce que je ferais tout pour fuir ce que je dois faire, là, maintenant.
Samedi 6 mars 2010 à 18:04
Un hurlement dans la nuit.
Eclairer par une lune décroissante qui reflette mes songes les plus noirs. Celui qui te concerne
Encore un et pour une fois je me réveille. Hurle et pleure dans l'oreiller sans arrivée à stopper la crise.
Evacuer les images qui me parvienne et détruis mon pauvre corps.
Je me demander ce qu'étais le rève qui me hanter et me faisai hurler chaque nuit... finallement je le regrette.
En foetus sur mon oreille j'étouffe et tremble.
Pourtant je ruisselle de transpiration. J'y crois pas, je ne veux pas y croire nan.
Je pensais que ce genre de chose n'arrive que dans les films. Que dans les les histoires. On ne peut souffrir as se point en réalité.
Journée magnifique pourtant même au soleil que j'ai attendus tout ces mois d'hiver ternes je n'arrive à me sentir légère.
La présence de mon père m'énerve. J'ai envie d'hurler "Bars toii!" comme une folle allié. Pourtant il ne fais rien, rien de mal.
Je reste seule. Ferme les yeux et les images me hantent, les sons si pures, si vrais.
"Je dois partir ma tarbeth" Nos bras qui se ressert l'un sur l'autre mes tons de détresses, mon coeur qui bat dans tout les sens dans ma poitrine désorienter sans suivre un rytme quelconque "Pourquoi?" son ton calme, ses larmes et ses bras qui m'étouffe presque "Il le faut, Ils ont décidé cela comme ça..." "Qui?" Il commence à disparaitre a m'échapper des doigts. Je sent son odeur partir, son corps se désintégrer."Hassan!" la détresse remplis mes tons d'aigu. Je veux le serrer plus fort,qu'il ne parte pas non, tout mais pas cela non. Sa voix résonne, faible mais toujours si belle avant de disparaitre dans un silence pesant, horrible, déchirant "N'oublie jamais"... Je tombe dans un vide sans fin car il n'est plus contre moi, disparue dans le néant, à jamais. Je tombe contre un sol de marbre pourtant je crois encore et encore tomber dans un tunnel sombre sans fin tandis que mon hurlement retentit, affreux et glançant d'horreur: NON!
Puis les larmes sans fins.
Rève horrible. Fruit de rève de Nora, de ton silence soudain, de mon projet de l'année prochaine qui dépend de toi...
Ca va pas. Pourquoi? Je n'en sais rien. Je tante de me persuader que ce n'est qu'un rève. Je tente de me séparer de ce fantome de rève qui me hante. Je tante d'aller, de revenir sur terre. Je tente d'aller bien pourtant je ne sais quel poids est sur moi aujourd'hui.
La mort. Pourquoi reviens-tu sans cesse dans mes songes? Je n'arrive pas à me faire à l'idée de la mort de mon père, la tienne, de mes proches... Cela semble insurmontable. Mon frère, mon père, Hassan... Comment pourrais-je vivre dans un monde où vous n'etes plus? Arnaud... Les larmes reviennent rien qu'a cette idée. Faut-il que je m'envolle avec Christelle vers ce projet si beau dont je rève depuis toujours où profité de ces gens pendants qu'il en ai encore temps?
Des ruisseaux translucides parcoures en silence ma peau.