Samedi 5 juillet 2008 à 23:13

"Lorsqu'il n'existe pas de réponse sûr il n'existe qu'une réponse honnête: le silence."
Marc Levy
Mes amis mes amours


Je pense que c'est mon dernier article avant Miami... Vous pouvez imaginer mon état de stress et de crise d'envie de partir immédiatement. Ne plus tenir en place.Ma valise attend, ouverte par terre, que je la prenne et commence une nouvelle chose. Chaque voyage je fait du trie dans ma vie. Chaque fois je ferme quelque chose pour en ouvrir une autre. Que vais-je fermer cette fois? Le Kenya pour me persuader d'être moi, horriblement moi, sans détour ou artifice, fermer la voix qui me poussait à tout ce faux. Le Maroc pour La supprimer de ma vie, et puis, sans le vouloir, te trouver... Aujourd'hui je croit que c'est de nouveau moi que je cherche. J'ai un besoin de partir seul, et longtemps. Un test de vie pour voir. Trouver encore et toujours qui je suis. M''accepter peut être? Savoir vers où l'on va... Nous. Tu te rend compte. Aller si loin pour savoir une chose si près, si essentiel. Je vais essayer de vous donner des news de las bas vue que je prend mon ordi portable avec moi mais on verra en temps est en heure! Inchala comme tu dirait.  Je ne sais plus quoi dire... cela fait un quart d'heure que je ne fait que supprimer, réécrire des choses en vrac plus conne les unes que les autres... J'ai plus l'inspiration. Cerveau brouiller entre toi, le stress, la penser à cette famille que je vais devoir découvrir sans peur ni timidité, parler anglais, entre mon tic de ne pouvoir ouvrir mon portable sans espéré un message, entre mon manque des potos, entre, entre entre... Saturage. Les cheveux en vrac, noirs de l'eau et du chlor, la chaleur, ma peau noir, les étoiles, le soleil qui m'oblige à mettre dans le coin la peur qui nait, me fait rire, vibré. Tout ce que retient mon cerveau. Rève étrange. Ou mon père était malade. Et ou pour pleurer j'allai dans les bras de... Arnaud! Etrange oui...
Je raconte n'importe quoi.
Envie de m'arracher du sol. Tomber sur miami...
Manon*

Jeudi 3 juillet 2008 à 19:36

"L'être humain perd sa santé à garder de l'agent
Et perd son argent à se refaire une santé.
Il pense au futur au point d'oublier le présent,
De sorte qu'il ne vit ni dans le présent ni dans le présent, ni dans le futur.
Finalement il vit comme s'il n'allait jamais mourir
Et il meurt comme s'il n'avais jamais vécu."
Confucius



Qu'es qui m'arrive? Je me perds savoir si je t'aime encore, mon amour. Je suis lasse, c'est ça. Ce n'est pas un manque d'amour je suis lasse, lâche? Oui un peu lâche aussi. Entre ta voix ne m'a rien fait. Tu m'énerve à jouer avec tes textos. Tu m'énerve avec tes "il ya quelqu'un qui pense à toi princesse et ... mais... ! j'attend ton appel". Pourquoi je t'appelerais? Alors que tu me laisse dans le vague, que tu ne raconte rien, que tu n'existe pas, finallement, tellement absent...! Comme mon père. Et tu me demande de te rappeler "parce qu'il y a trop de monde et que je peut pas m'exprimer". Je suis sèche. Sèche d'amour que j'ai jetter sur mon papier, que j'ai jetter sur mon lit, une partie aux étoiles. Je l'ai jetter parce que j'en avais trop, j'étouffer de ne pas te le donner. Et puis voilà. Aujourd'hui c'est la panne sèche. Pourtant je sais que je t'aime. Ce gout reste dans mon coeur. Le gout de toi. Ou de l'image qui me reste de toi? Cette image usé d'être trop regarder? Ton accent si doux m'énerve. Tout mon cerveau te rejette mon amour... Je n'ai pas envie de t'appeler ce soir. Je sais ce que tu va me dire. Un truc futils, qui ne veut rien dire. Mais je me trompe peut être... Je n'ai plus envie de me battre. Sèche c'est bien le mot. J'ai envie d'abandonner une partie qui me semblait si belle, un merci que j'aurai voulu te donner ma peau contre la tienne. Un merci pour cette amour, un merci pour cette union entre deux peuples qui se sont entre tuer, un merci en geste comme tout la-bas...
Mais voilà...

Manon*

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