Mardi 20 juillet 2010 à 13:18

Bonjour les loustiques,
Je sais je vous ai bien abandonner ces derniers temps....
Entre le bac, Biarritz, le bordel de ma tête et de ma vie...
Mais enfin c'est fini, j'ai réglé le plus gros des problèmes et j'ai enfin un peu de temps à moi pour écrire. Ca me manquer...
J'en ai perdu la forme et le gout, comme si je réapprenais à marcher, c'est dur de se dérouiller alors pardonner moi le manque de forme...
Commençons par les dernière nouvelles. Je ne part plus en Australie... C'est le premier des drame, et sans doute le pire. Mais c'est la vie, Christelle est la plus a plaindre, elle a louper son bac de peu, nous condanant toute les deux à rester ici. Peut etre l'année prochaine... Seule l'avenir le dira!
Problème en entraine un autre, que vais-je faire du coup? Je me suis inscrite à la fac de Médecine hier sans trop d'entousiasme... M'enfermer enmpacore un an avec mes cahier sans possibilité de respirer pour... rien trop peu pour moi!
Mais bon il faut bien faire quelque chose de son temps.
Sinon proget plus intéressant, grace à David, j'ai eu l'idée de chercher des formations de masseurs, faute d'école d'ostéo voulant de ma carcasse. LA bingo, deux écoles, dont une qui parait super fait ces formations en un an, à Toulouse. Un an loin de la famille, des problèmes, un an dans une ville belle et vivante, a faire une formation sympa et qui me permet si vraiment j'étouffe des études, de travailler dans un an! Voilà qui est parfait.
Quand je dis loin de ma famille il faut que je m'explique car j'aime ma famille plus que tout au monde et je pourrai mourrir pour eux. Seulement mon père se sacrifie trop pour moi, même m'étouffe et m'empèche bien souvent indirectement de vivre, j'ai tellement peur de ne pas lui plaire.... Puis il reste ma mamie pas loin a qui j'ai peut aussi de descevoir, ou encore Claire qui veut toujours se méler de ma vie...
J'ai besoin d'air, besoin de vivre, de me trouver, de savoir qui je suis, qui je suis réellement au dela de tout ce que je fais pour que l'on soit fier de moi.
Et puis j'aime masser, même si je n'en fait pas mon métier ce sera toujours utile!
J'ai des entretiens la semaine prochaine, nous verrons bien... J'aurais sans doute les résultats mi septembre...
Sinon le code, le code le code... Je m'y met depuis que je suis rentré de biarritz,en y allant en vélo sous un soleil de plomb, je l'aurai bien mérité ce permis! J'espère l'avoir vite même si je ne me fait pas trop d'illusion....
Ensuite c'est des vacanses, potes, entretien de la maison, courses, fainasses, picines... David vient en septembre, ca me motive pour le code.
Niveau amour c'est le bordel. Pire que jamais. Edward qui m'envoie que je suis la femme de sa vie, sans doute, aucun.
Retrouver un Jacob abandonner, et trop heureuse de n'avoir eu a le quitter un an, une maison vide et son odeur trop sucré pour y resister... et oui je sais je suis une mauvaise fille.
Je n'en peut simplement pus de me prendre la tête, je n'en peut plus de t'attendre mon ange, d'avoir peur. Je ne peut plus pleurer encore et avoir si mal. Mon coeur est plus sec que le desert. Je ne veut plus aimer comme ca, a en perdre la tête, a tout donner jusqu'a la mort. Je t'aimerai toujours, rien n'y changera cela. Tu reste l'homme que j'ai aimer le plus, car je ne peux plus aimer comme avant. J'aime Jacob, oui je l'aime sincèrement, ce n'est pas un jeu pervers, et non ce n'est pas à toi que je pensais quand il étais contre moi mais bien à lui. Je ne l'aime pas comme toi, mais je l'aime quand même.
D'un amour qui ne fait pas mal, de l'amour amitier qu'on a toujours eu entre nous. Un amour doux, qui ne craint pas la tromperie, ou des silences.
Je veux vivre sans prise de tête, sans être prisonnière d'un geste de toi, une regard qui pourrais me détruire en cendres.
Alors j'avance, je prends ce qui m'est donner ce soir et on verra bien demain.
Finallement Bella se fait Jacob... je quitte peut être définitivement son histoire!
J'ai des envies pleins la tête et une envie de croquer la vie à pleine dents, les oreilles emplit de musique, le sourrire bien grand, et surtout si bien entouré.... Je veux des soirées de follies entre potes, la mer, et du Jacob dans ma maison trop grande et trop vide.
Biarritz a était comme ca... un moment de bonheur pure.
J'en reparlerai peut être plus tard... si ca vous intéresse!
Jvous envoie une tite photo de mon labret quand même ;)

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Samedi 3 octobre 2009 à 16:52

En attente d'un appel. Je doute comme toujours. Pour rien. J'ai peur et ca ne changera pas de ci tôt je pense. Peut etre que j'aurai peur toute ma vie qui sait. Journée mélancolique, j'ai envie de pleurer pour rien, sommeil encore. Envie de le voir. Bientôt sans doute.
C'est trop compliquer l'amour. J'ai enviede fuir, comme a chaque fois que ca me met un tout petit peu en danger. Je me dit "arrete tout". C'est plus facile, peut etre trop. Fuir c'est simple. C'est moi qui fait mal pas moi qui prend. Mais ca ne rime a rien. Encore plus cette fois que les autres. Il ne me reste que ça. Si j'abandonne il n'y a plus que cette routine, douce certe mais qui n'avance pas. J'ai besoin de ces choses habituels qui semble ne jamais sarreter, ca me rassure, je dois etre un peu otiste pour ca. Lui, c'est le bonheur, pur. Si il n'y a plus cette attente de le voir il n'y a plus de but, plus d'envie de voir demain, car demain est comme hier, comme aujourd'hui. Alors je vais partir, de toute façon il n'y a plus rien a détruire en moi. Le mal je le connais trop, je lne e crains plus. Je me refais les One Tree Hill... Un gout de seconde me reviens, Peyton reste mon mirroir. Ques qui a changer depuis deux ans? Rien, ou si peu finallment on se sent changer mais on fond peu de chose on changer. Je reste la même fille perdu dans un monde qui va trop vite pour elle. Je n'ai pas grandi, j'ai stopper a la seconde. Peyton a évoluer, elle est maman. Je n'arrive pas a l'accepter, je revois en boucle la saison 2, pas la suite. Moi je n'évolue pas, j'ai toujours dans un coin de ma chambre "People always leave", parce que c'est toujours aussi vrai. Arriverai-je un jour a ne plus avoir peur? A regarder demain sans avoir peur de l'abandon de ne pas etre assez? Es-ce que je me trouverai bien un jour? Es-ce que quelqu'un m'aimera, me supportera longtemp? Es-ce que j'arriverai a vivre avec cet homme sans avoir peur tout les jours qu'il ne veuille plus de moi?
Je ne sais pas ce que j'ai aujourd'hui.
Tout me reviens d'un coup sans que je sache pourquoi. A enfouir le passée des fois ca ressort. J'ai peur de quitter le lycée, ma routine, le Bus et la musique ou je songe baloter par les ronronnements du moteur, ces couloirs si familiers, ces amis, ces fous rires, ces confidences, la pelouse, le stade et tout ces souvenirs. C'est ici je suis née vraiment, quand je suis entré en seconde. Et partir c'est un peu comme mourir... J'me sent bien ici.
J'ai peur du futur, je sais que je me rève sans faire d'effort pour réaliser mes rèves, je n'arrive pas a trouver du courage et ca me désole. J'ai peur de ce que je vais bien devenir vue que l'échec est prévisible. J'ai peur de ne jamais faire d'humanitaire et ca fait perdre tout le sens de ma vie, toute son utilité. Plutot mourir alors, que de jamais vivre ca.
J'aimerai rester dans mon lit, dormir jusqu'au vacanses, a m'empifrer de nutella en regardant des films. Voilà ce dont j'ai vraiment enive la tout de suite.


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<3

Dimanche 14 juin 2009 à 19:09

"Poupée avec l'amour t'as pris la poudre d'escampette
T'as desiré le coup d'foudre t'as dis bonjour a la tempete
Poupée, t'étais cette fille au pays des merveilles
Tu lui a ouvert ton coeur plutot que de t'ouvrir les veines
Je sais, t'as vu en lui ce que seul toi pouvais comprendre
T'étais petite, il était grand il était tendre, je sais
[...]
Poupée t'as debarqué seule sur un quai d'gare
tu venais d'ici, de là bas et t'allais nul part, poupée
 
t'avais de grands yeux bleus mais cernés de noir
C'était peut etre la raison de ton depart qui sait?

lui il a vu que t'étais frêle, que t'étais vraiment dans la merde
il t'as dit t'es trop belle viens je t'emmene, poupée
A cet instant c'est devenu ton mentor,
ils avaient tort les gens, l'espoir existe encore
Tu sais, ton innocence lui a transpercé le coeur
tu étais son evidence il été ton ame soeur, je sais
Rien ni personne ne peut juger les gens qui s'aiment
ni leur desir, ni meme la folie qui les prennent, poupée
Elle était loin cette solitude dans le wagon,
prison dorée t'as pris perpete dan son lacon, poupée
Chez lui c'était le paradis sur terre
[..]
Poupée tu n'voulais pas laisser le temps te demolir
T'avais retrouvé le sourire, t'étais redevenu solide je sais,
Vous etiez deux enfants perdus a l'abandon
Vous etes devenu deux amoureux contre le monde poupée,
Petite sirene, tu nageais dans l'ambulance deambulant parmi les gens
rêvant d'une vie beaucoup moins chiante, je sais

T'avais grandi avec lui et tu mourrai avec lui,
c'était le seul a t'avoir redonné la vie, poupée
ton visage avait retrouvé sa lumiere,
petite fille sage deviendra t-elle une meurtriere, qui sait?
pour ses beaux yeux plus rien n'était impossible
C'etait l'amour du vice l'amour du risque, poupée
Tous les matins il se levait aux aurores, il te disait:
Ma fée je m'en vais juste nous chercher de l'or, tu sais
le monde s'acharne a faire de nous des incapables..."





Je m’attache a des etres en perditions, toujours. Des etres mal dans leur peaux, un peu perdu, un peu a la traine, ou isoler des groupes. Le mal m’attire comme un émant. La force d’un etre me facine. Je tombe amoureuse de l’inverse de mes amis, des etres d’une force qui me fascine, un inacessible amour aussi. Je dois etre une tragédiène, attirer par l’impossible destin d’aimer ce qui n’est pas pour moi. Pour en revenirs a ces etres je prend comme un but de les élevers, de les rassurés, de les faire évoluer, devenir fort, j’y met du temps,et toute mes forces, comme si c’était ma raison d’être, mon role, enfin, dans cette société. Puis je les voit qui s’envol, bien plus haut que je n’avais espérer les voir voler un jour…Et me retrouve seul au sol, a les regarder faire des danses dans l’air, si a l’aise que je ne les reconnaît presque pas.Je ne me suis pas rendu compte que moi, pendant ce temps là, je n’avancer pas. Que moi la grande sœur je pouvait passer a petite sœur. Qu’ils me regarderaient d’en haut un jour, tous envoller a faire des galipettes dans les airs devant mes yeux aux sols souriants...




Dimanche 11 janvier 2009 à 17:34


"moi je voulais croquer la vie toi tu voulais croquer mes lèvres
tu m’as demandé mon avis je t’ai demandé une trêve
tu n’avais pas l’air ravi mais mon  cœur était en grève."
Marlich Tunisiano
http://manon.cowblog.fr/images/photos/palestinien.jpg
Nouveauté sur le blog. Après la rubrique "Il y a un an" vous avez désormez la rubrique "Citations" juste en dessus.
Sinon c'est encore et toujours un big bordel chez moi... Fou hein?
J'ai l'impression de m'enfoncer bien bien. Ma mère me fait psychoté à force de me répéter que je suis misanthrope, que je m'enferme, que je n'aime plus personne, que je vais finir hermite. J'ai toujours eu peur des gens, j'ai toujours fuit devant tout et n'importe quoi pour un peu de solitude. C'est pas nouveau. C'est tellement plus facile d'être face à soi même. C'est tellement plus rassurant. L'homme est trop imprévisible, trop gourmand en sourrire. Seule je fait la gueule à moi même. Ca ne dérande personne. Pour autant je ne suis pas triste. Je suis même super heureuse. J'ai pas besoin de sourrire pour montrer que je suis heureuse. L'homme me fait peur. Depuis toujours. Je me rappelle avoir 5ans, n'avoir jamais vue de films qui font peur et réver que ma famille se fesait exterminés dans un bain de sang... Ca me fait encore des frissons quand j'y pense. Je suis une trouillarde qui bats sa peur en la fuillant. Mais la c'est plus que ça. Je ne sais pas. Je ne sais plus rien de ce que je suis de ce que je fait, vers ou je vais, vers qui? Vers quoi? Ma vie est un long fleuve qui coule sans savoir pourquoi ni comment. Je pense à Aaron et je crois trouver un but... Je pense à Lahsen en lisant mon livre et ca me fait mal de l'avoir autant blesser. Je repense a cette idée que je m'était faite il y a longtemps comme quoi chaque homme et femme à sa moitier manquante quelque part dans le monde et qu'il ne suffisait que de la trouver. Idée bien miélleuse je vous l'accorde. Cette nuit, vers les coup de 5h du mat cette nouvelle idée est venu à moi. Si le nombre d'homme est impair, alors le dernier chiffre est seule, il n'a pas son double. Et si l'erreur ferait qu'il soit condamné à ne pas avoir de double. Condamner à ne pas aimer. Condamner a ne pas dire "on". Je me suis dit que peut être j'était le dernier chiffre. Le chiffre qui n'a pas son image. Comme dans "La nuit des temps"... J'ai philosophé comme ça un bon bougt de temps durant le nuit à enfiler des idées comme un petit avec des perles de toutes les couleurs sans chercher à donner une quelcunque régularité à son travail. Je me sentais vraiment seule se soir la. La nuit me fait ressentir ça. Jamais compris pourquoi. Parfois je lui parle. A cette homme. A ces hommes. OU qu'il(s) soi(en)t. Qui s'auront me faire réver et m'emmener la où je n'aurais pas put aller seule. Puis la réalité me rattrappe bien vite. Mon coeur étouffe. Ma solitude bien aimé m'urle de reste bien tranquille face à mon piano et d'oublier tout cela. Alors je me lève et regarde le soleil se lever, les pied nue dans la neige, et je dit au revoir à la lune qui m'a si souvent éclairer dans mes interminables nuits. Je pense à mon père pendant que mes pieds se congèlent, a ma mère a qui j'ai dit adieu, ma famille si étrange, à la vie que je meine. Parfois je ne sais plus pourquoi je fuit tant que ça. J'ai envie de forcer la porte et me bouger le cul. Je ne sais pas si je suis anormale, si j'ai besoin d'un psy, ou si c'est juste une passade. J'ai peur de chercher toute ma vie une terre qui n'existe pas. Je repense à cette question que je Lui avait poser qui m'a hanter toute ma vie a laquel Elle m'a répondut si étrangement: tu est née pour quelque chose, tu découvrira pourquoi un jour...
J'espère qu'Elle a résond.

Manon*
Photo d'un palestinien après un bombardement
je met cette photo en soutien pour ces deux pays qui s'entre-tue et en l'espérance d'un avenir meilleur.

Jeudi 27 novembre 2008 à 19:32


"J'sais qu'l'effort est une force que j'maitrise peu
et j'sais aussi qu'c'est le parapluie qu'il faut quand sur tes joues il pleut
Mais dans ma tête j'entends des coups de flingue incessants,
un braconnier a laissé des plumes de colombe, plein de sang.
J'voulais apprendre à donner, j'ai appris à tout manger
apprendre à pardonner, j'ai appris à me venger,
j'voulais apprendre à aimer, j'ai appris à haïr
j'ne voulais pas ramer, j'l'ai fait, avec un gros navire
j'ai voulu eviter la pluie, j'l'ai affrontée en t-shirt
j'la voulais pour la vie, j'ne l'ai eue que pour un flirt...

J'me sens, comme une bouteille à la mer, noyé dans les vagues de la mélancolie d'la vie
Comme une bouteille à la mer, j'me sens...
SOS
Comme une bouteille à la mer, à la recherche d'une ville d'un navire
qu'on puisse me repêcher et lire ce qu'il y a dans mon coeur,
ce qu'il y a en moi
Comme une bouteille à la mer, j'me sens..."

Soprano
Comme une bouteille à la mer

http://manon.cowblog.fr/images/photos/uronf735.jpg


Ca y est Mr Love est en couple. Marquer sur facebook. J'ai tout a coups détester le prénom Mathilde qui il parait a une coupe de cheveux magnifique. Ca tue tout le fantasme. Les compliments de ses potes m'ont bazarement ennerver. Ce n'était qu'un fantasme! Un simple fantasme qui fait du bien. Qui fait un peu réver. Ma chaine eu soudain l'envie de lacher. Dans un hasard trop significative. Qui me frustre un peu plus. Je regarde presque avec peur le petit coeur avec sa chaines éparpillers sur le bureau qui s'accroche autour comme pour préparer le coeur a une possible nouvelle chute. Sinon toujours la meme chose, la course, le ralage de ne pas avoir plus de temps pour soi. De ne pas pouvoir plus respirer. Puis mes idées qui vagabondes. Après Elle aujourd'hui c'est bizarement Ghaouti qui m'est revenu a l'esprit. Mon année de 5 ème, ma tête entre enfant et ado, mes cheveux long et brosser, mon pull violet et noir, ma guitare, msn. Mais surtout Ghaouti. Ses textos piquer sur le portable de son frère (puis sa mise en prison...) des regards affolants a travers toute une classe, ce regard qui ne m'a jamais quitter une seconde quel que soit le cour ou les réprimendation du prof, des chansons d'amour chanter au sièges juste derrière soi, des justifications par milliers mais jamais l'essentiel. Encore un pourquoi qui résonne. Je ne supporte décidément pas les énigmes, je les retourne et retourne sans fin dans un espoir vain de trouver enfin une réponse valable. Serai-ce le seul moyen de marquer indélébilement ma mémoire? Vue que tout le reste méchappe? Son amour qui ne demander que ma présence et moi qui voulait plus. Ces nuits sur le bords de la fenettre a regarder sa cité qui ne dort jamais. A imaginer ce que je ne pouvai connaitre, a y chercher une réponse. Pourquoi ne pas s'aimer en toute paix? Me protéger, une peur, une religion, une idée ressus, un manque de confiance en soi, en moi. Tout est sans doute vrai mais peut etre faux. Des mots a travers une salle de Francais, des CDs de rap gravers, UNE chanson. Un trajet dans le bus. Des milliers de sous-entendu subtils, un reegard noisette a tomber. Quatre ans mais je n'oublie pas. C'était mon première amour. Vincent sera pour demain? Qui sait. Ils sont tout deux intégrers dans mon etre d'une façon si intègre que c'est a peine si je réalise que cette partie de moi viens d'eux. Je m'en rend compte, la , en l'écrivant. Sa chanson je l'écouterai toujours avec bonheur, tout comme la chanson qu'il me fredonner. Ca me fera toujours un sentiment étrange quand je le verrai.
J'ai envie d'écrire, encore encore et encore.
Plus rien ne me vien pourtant. J'aimerai etre amoureuse, abandonner en quelqu'un de confience, mis allonger avec bonheur.

Manon*

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