Samedi 27 février 2010 à 17:48

http://manon.cowblog.fr/images/happinessweb.jpg
"quoi de neuf fouiny baby"
Je souris. La voix de la Fouine se confond avec la tienne. J'ai toujours l'impression de t'entendre quand je l'écoute. Quoi de neuf fouiny baby... Comme si tu me le chuchuter à l'oreille. J'ai les larmes aux yeux d'hier soir, j'ai les larmes de cette journée avec Batoul, j'ai les larmes de ce paquet remplis d'attention, de cadeaux et de petits mots, j'ai les larmes de tous ces soirs où mon portable sonne et que ta voix d'ange m'acceuil. J'aurai jamais cru que mes 18ans soit aussi beau, j'aurais jamais espérer autant de bonheur, je me fous des cadeaux malgrès qu'ils soient fantastiques et beaucoup trop beau, tout ce que je veux je l'ai, tous ces proches pour qui je voudrais mourir et qui sont la. Toutes ces personnes qui m'aime qui sont si adorable et drôle. Tous ces fous rires et ces calins, toutes ces paroles, ces attentions... Même dans la rue ou dans un restaurant nous étions assaillis d'adorable gens. Des sourires et des clins d'oeils. Perturbant.
Je suis fatiguer, épuiser, morte de cette semaine. Je dors et profite de chaque autres secondes de leurs présense. Vivre d'amour et d'eau fraiche. Ca correspond bien à ce week end.
Un serveur japonais à la même carure que lui j'ai crus mourir. Comment un asiatique peut me le rappeler? Le même dos, les mêmes épaules... Incroyable.
J'aimerais que ce week end ne finisse jamais.... Pourtant la réalité me rappelera bien trop vite, malheureusement.
Alors je profite encore un peu des bien fais du hammam et du massage, pense a la paela de demain, Jo, Mag, Leila, Mahmoud...
Et laisse tomber les devoirs pour aujourd'hui.


Mercredi 24 février 2010 à 11:33

http://manon.cowblog.fr/images/normal017.jpg
La nuit étais tomber sur ce jour où j'étais officiellement adulte. Et la lune m'éclairais, comme toujours, veilleuse de mes nuits, rassurante, tellement une lanterne pour l'enfant apeuré. La fatigue du Bac blanc m'avait fait éteindre l'ordinateur qui me raconter sans fin de belles histoires de vampire au nom d'Ange et le sommeil avait pris mon être et fermer mes yeux sans que je m'en apersoive pour une fois. Une heure plus tard, lorsque les rêves avaient pris sur mon âme abandonné et que biensûr, toujours ce même visage s'imposait à moi, le téléphone me réveilla en susaut. Je décrochais sans vraiment en avoir conscience et sans même regarder de qui venais cet appel, chose rare. J'étais encore dans mon rêve, encore quelques chose de rare. Je n'arrivais à me réveiller, a comprendre, le sommeil m'emprisonnais dans ses bras jaloux, voulant continuer ce beau rêve, et je l'aurais bien voulu aussi, ce qui ne pouvait arranger les choses. Puis soudain tout est devenu clair, tout s'est éclairer en moi, j'en ai presque sursauté en entendant la voix que je venais de quitter. Cette voix... celle que je reconnais sans avoir besoin de regarder le numéro. Je crus soudain continuer mon rêve, ne jamais m'être réveiller. "Bon anniversaire mon coeur..." la voix suave et grave fit trembler tout mes membres. Etais-ce possible que quelques mots me mette dans cette état là? La conversation fini. Je tremblais comme si j'avai froid. Pourtant j'avais presque chaud. L'effet de surprise ajouter au sommeil avait décuplé la puissance de ce que me fais sa voix en temps normal.
Je souriais enfin sous cette lune rieuse, j'étais en paix, de nouveau intégrer au bonheur et pour quelques minutes encore... Demain serais tellement pire qu'il fallais que j'en profite. En pensant à cette journée et cette voix... j'étais comblé. Je n'avais pas besoin de cadeaux. C'étais tellement bien rien qu'en attention et jolie mots. Je me fiche de chercher a savoir qui y a penser qui n'y à pas penser. C'est qu'ils soient là...
Et je m'endormis ainsi, le sourire au lèvres, chopin dans ma tête...

Mardi 9 février 2010 à 18:31

http://manon.cowblog.fr/images/dscf0015.jpg
En haut du toubkal
Encore une vacance sans toi.
Encore une vacance sans Maroc.
Encor
e une déception.
Encore des semaines à entendre mon père me mettre la pression.
Encore des journées à travailler.
Encore des heures à réfléchir à un avenir qui je ne veut pas voir.
Des nuits à regarder des films, à s'évader, des cornichons sur les lèvres, des rayons de lune.
Encore...
Des repas de famille qui me mettent la pression pour mes "qualités culinaires". Mais au moins du temps doux et d'amour, d'attention et de famille.
Encore des week-end a fuir mes peurs chez mon fréro a crier et devenir fou pour quelques jeux vidéo débiles.
Encore des cinémas entre potes.
Encore peut être une soirée.
Un voyage vers la neige de quelques jours. Pour soufflé, pour pleurer ton absence...
Car tout peut être merveilleux, doux et gentil, ou tout peut être travail et prise de tête, ca ne change rien, nan rien du tout.
J'ai toujours mal, je cris toujours sans savoir pourquoi la nuit. Parce que je tombe par malheur sur une photo de toi et que je crois toujours mourir.
J'ai toujours cette pulsion qui me pousse vers toi, qui me pousse a tout faire pour te retrouver.
J'oublie toujours ta beauté, j'en ai toujours le souffle coupé. J'oublie toujours ton sourire, ta voix au bout du téléphone me surprend à chaque fois.
Je vais devenir folle, on va m'enfermer dans un hopital psy oué, j'vais mal finir les gars je le sent bien.
Je pète les plombs. Rien, rien, rien ne me fais du bien. Je voudrais danser, puis je voudrais hurler, ma peine, oui je voudrais hurler tout ce qui reste au fond. Je voudrais huler, hurler, HURLER ma haine. Huler l'injustice. Hurler l'amour. Hurler le manque. Hurler le mal. Hurler les pleurs au fond. Hurler ce monde à la con. Hurler ces jugements des gens. Hurler ces regards. Hurler ma peur. Hurler ma haine putain oué ma haine. Celle que je découvre. Que je ne connaissais pas avant. Car je l'aime mon père comme personne au monde et que je le hais si profondément aussi... Je n'ai jamais autant aimer, je n'ai jamais autant haïs. Je ne dessine plus, je ne joue plus, je ne lis plus, je ne pleure plus.
Je dance dans la nuit, je me laisse partir dans la musique pour appaiser mon être, Retenir encore ces hurlements, ces blessures et cette haine sourde.
Je voulais seulement un peu d'amour...
Qui peut juger cela, qui peut me m'interdire, de quel droit, hein? Tu peut me le dire? De quel droit peut on rendrre malheureux nos proches sous prétexte que l'on pense que c'est le mieu pour eux? Qui sommes nous pour juger cela? Qui sait ce qui peut me rendre heureuse ou malheureuse? Occupée vous de vos fesses bordel. J'me débrouille bien mieux seule sans vos regards accusateurs.
Je deviens folle oué. Je débloque. Je vais finir chez ces psy tordus qui me sécherons le cerveaux, qui m'extrérons le moinde petit détail de ma vie dans une curiosité perverse. J'avalerais les cachets et je deviendrais un légume.
Oué tu vois j'ai plus d'avenir parce que j'suis plus normal, enfin encore pire qu'avant quoi. Tu vois. C'est pas qu'un sentiment, j'ai déjà trop vécu.
Détruisé moi, ligotez moi, troturé moi, faite ce que vous voulez de moi, faites moi avaler toutes les sciences du monde, faite moi rentrer dans le moule, metter moi dans un métier tranquille et un bureau éclairé et coloré, une maison, un mari non désirable et un petit toutou. Fouré moi dans une vie. Avec les papoteries des femmes-facebook comme amies, avec des habitudes débiles et des peurs simples sur l'actions du KAT40 ou l'assurance vie...
J'en ai plus rien à foutre.
Plus rien nan. Rien ne m'attaque, rien n'a d'importance. Allez vous faire foutre.
Je prendrais soin de ma famille, vivrer les jours qu'il faut vivre.
Jusqu'a...
Je sais pas

Vendredi 5 février 2010 à 15:29

Bon anniversaire mon petit blog chéri
3 ans déjà
<3
http://manon.cowblog.fr/images/anniversairegateauanniversaireu10236022.jpg

Mardi 2 février 2010 à 21:35

http://manon.cowblog.fr/images/Nadim.png

Ne plus respirer. Avoir mal. Ne plus vouloir ouvrir les yeux le matin.
C
rier intérieurement "non". Pas encore, laisser moi encore planée dans le sommeil.
Laissez moi dormir encore un peu et être une heure encore a ses côtés.
Pourtant des sourires, des amitiées nouvelles et belles, des fous rires et des confidences. Et d'autres qu'on perd, qu'on apperçois parler et rire. Ces mêmes réactions qui ont disparut face à moi, pour rester une moue absente. Des textos, du manque qui tue. Car malgrès tout le bonheur du monde, malgrès les larmes dans le cinéma, malgré ces gens qui m'entoure et m'aime, malgré tout ce que j'ai et que je n'ai pas eu souvent. Je ne peut plus être pleinement heureuse. "Sur la tombe de mon coeur, les chrisantèmes ont fleuris" me dit Diam's et je trouve ça tellement vrai. Il n'y a aucune issue. Un ange m'attend avec des bras si doux moi qui me suis brisée la dernière fois. Pourquoi rester encore là? La vie, tu ne m'a pas encore assez tester? Je n'ai eu droit qu'a si peu de temps? J'aurais voulu tellement et tellement plus... Ne le mériterai-je pas?
Débiles pensées, toujours les mêmes. Insoluble.
On devient quoi si on ne se voit pas, si il n'y as aucun espoir?
Ne plus respirer... Je branche le mp3.
Et respire le temps d'une chanson. Dans le couloir je rier, pleurer presque de ses chansons. Seule elle arrive a me toucher à ce point, a me connecter, me plonger et me rassurer.
Je ferme les yeux... Sans la musique je ne suis rien. Je ne peut vivre.
La nuit je me réveil crispés, en boule. Il parait que je cris la nuit.... Respirer, détend toi.
Ca devrait aller. Demain journée avec ma tite Christelle et une partie de crèpes. Un peu de vacances avant le jour j. Des films et des trivial poursuites. Des malchanses et des fous rires.
Mais la nuit est tombée sur mes cils, et tu reprend le contrôle de mon côrps...
J'ai peur, Hassan.



pix: mon tit Nadim again, parce qu'il est trop chou là!

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast