Mercredi 20 janvier 2010 à 19:59

A peine le soleil perce les nuages que déjà l'orage menace de nouveau.
Je ne veux plus de cris, je ne veux plus parler face à des murs, pourquoi me mettre constament toute ces barrières?http://manon.cowblog.fr/images/yanntiersen.jpg
Pourquoi tous mes potes se barrent peu à peu, pourquoi d'un coup je l'ai fait plus chier qu'autre chose? Pourquoi tous le monde bad? Pourquoi tu ne me laisse pas partir, putain... Je ne peut plus faire semblant, je ne peux plus me lever sans sentir ce poids qui me coupe le souffle sur mon torse. J'ai envie de hurler tous les matin lorsque tu viens si doucement me réveiller. J'ai envie de te dire que je te hais et que je t'aime à la fois. Que je ne veux plus de te voir, que tu dois partir loin, que jamais plus tu ne me feras tous ce mal que tu me fais depuis 5ans. Que je ne te fuis pas toi mais ta follie, ta maladie et tes crises de nerfs. Basta. J'ai trop donner je ne peut plus. Casse toi, tu sais que tu me reprendra avec tes jolies mots bien facilement. Je craque toujours, ton odeur m'entête. Tu étais le seul putain. Le dernier seul être en qui j'avais confience. Maintenant le doute à tout pris, mon corps et mon ame. Il ne reste plus de place pour le reste. Tout est doute et peur. Je suis définitivement seul dans ton silence. De toute façon si je le rompt pour te faire parler ca va encore dégénerer. Je pleurs. De haine, de peur. Tu est un monstre dans une si belle image. Il a fallus que je me détache de ma mère, cela ma pris tant de temps. Enfin je respire et arrive a avoir une relation normale grace à beaucoup de distance... il faut maintenant que j'abandonne mon père? Seule image positive dans ce tableau catastrophe d'une tempète en pleine mer? Il me rester toi et mes espoirs, mes rêves. Tu te révèle être un monstre insoupsonée. Qui me veut du bien au fond? J'ai l'impression d'être enserclé par une meute de loups. Même chez moi plus rien n'est rassurant. Je ne suis désormais bien nul part. Ni dans ses bras, ni dans ma chambre, ni en ville.... nulle part. Je voudrais partir... partir au loin. Hassan? Le doute est trop présent. Il faudrait que je le vois pour le disciper... ou peut etre pas. Peut etre que l'évidence ce metteras égallement en moi, qu'il n'est pas là pour moi, mais pour ce que j'ai.
Chéri je paranoide. Je craque... c'est plus possible chéri j'arrive plus, je peut plus... C'est pas possible, c'est infesable. Je suis perdue. Rien n'est bon. Rien ne va. Que faire? Partir? Me battre? Ne pas partir? T'abandonner..? Oh non.... non non chéri je peut pas te voir partir. Ca m'est insuportable. Reste, reste encore. Et demain il faudra se lever...
Et hurler dans l'oreiller, again.

Vendredi 8 janvier 2010 à 22:38

http://www.ledevoir.com/images_galerie/d_40399_57209/avatar.jpg
Ma journée a commencer comme un horrible cauchemar.
J'étais aveugler par des larmes qui n'en finissait plus. A bout de souffle. A bout de nerf. A bout de moi... Je n'y arriver pas.
Je n'arrivai ni a surmonter le faux espoir que la neige m'avait fait miroiter, ni le fait que j'allais devoir faire un oral d'Eco. Cela étais insurmontable, telle une montagne tellement haute quelle dépassait les nuage que je devais franchir en courant et sous des mitraillettes en folie.
Et puis finalement je n'ai pas fuit lorsque j'en avait eu l'occasion et l'envie... et tout ses retrouners. Miraculesement, fabuleusement. Presque irréellement.
Le monde s'étais tourner vers moi durant quelques minutes pour me couver et me pousser vers le bien, le bon.
Puis Avatar... Je me suis perdue dans le 3D sans arriver à en revenir.
Comme toute les histoires de tribues sensible, en connection avec la nature, le sentiment que tu vie, tout est connecter. Des sociétés de biens pure ou la mort est un crime ultime, ou le respect est une fontation indestructible... J'adore ces atmosphères.
Au point d'en être déprimer après... de ne plus savoir qui je suis, ques que je fais. Je voudrais quitter ce monde pour un meilleur. Mais il n'existe pas.
Je suis folle.
J'aurais aimer l'embrasser sous la neige... Tu me manque Hassan.

Mardi 5 janvier 2010 à 22:17

La reprise...
Et cette putain de mélancolie, cette impression d'être un fantôme qui se traine dans les couloirs.
Qui n'est pas une impression. Ma voix ne porte pas, personne ne l'entend, mes blagues tombent dans le vide, et mon sourire avec.
Ici je suis bien, je suis moi. Mon père me voie, m'entend, on rit tant et tant... Pourquoi suis-je si différente au lycée? Pourquoi ai-je tant peur de me lacher comme je le fais ici? C'est inévitable. Dès qu'une personne autre que mon père ou mon frère rentre dans la pièce la vrai s'enfuit au fond de son trou et reste une Camille muette, perdue, en stress sans aucune répartie, sans humour. Seule un regard triste accueil le visiteur suivie de la fuite la plus discrète possible. Parfois quelques paroles arracher tant bien que mal a mon corps. Je ne veux pas dormir.
Je ne veut plus vivre au milieu de gens. Laisser moi ici, dans cette petite bulle d'amour paternel a l'abris du temps qui passe, a l'abris des gens, de la méchanceté, du mépris, du jugement, des remarques, du stress, de la technologie, des pressions, du bac, de l'avenir. Abandonner moi la je pourrais vivre couper du monde indéfiniement ici. A remettre du bois dans Calcifère, a jouer a mist en mangeant des chocolats et en buvant des vervaines comme une petites vieille. A inventer des languages musicaus internationnaux avec mon père autour d'un piano, et rire encore et encore de nos délires, de notre immagination trop grande pour être enfermé dans ce monde si clots et triste. Pour danser encore sur du Goldman, pour m'endormir avec mon chat qui ronronne. Pour l'aimer, le faire aimer la vie une nouvelle fois, l'emmener la ou il n'ose plus aller, le forcer a être con, fou, débile... et le voir sourire.
Parce que ça m'avait tellement manquer et que ça m'a demander plus de force que je ne pensait en avoir.
Que je voudrais vivre ces instants jusqu'au dernier sans en perdre une seconde.
Je t'aime papa. Tu est le premier homme de ma vie.
Personne ne te remplaceras jamais.
Parce que tu est l'homme le plus merveilleux au monde.
Il n'y a que toi qui m'a compris.
Je ne sais pas comment je vivrai le jour où tu nous quittera...

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast