Mercredi 29 avril 2009 à 16:01

Tout reprend son court trop vite.
Mes humeurs, mes doutes, même celle que j'étais redevenus au Maroc n'a pas survécu deux jours dans ce monde ci.
Je bats et je commence vraiment à fatiguer. Comme lors de mes périodes d'insomnies total, je ne sent la fatigue que lorsque le sommeil me revient un peu. Avant je suis étrangement en pleine forme. Une forme fictive, mais qui est là quand même. Il m'a fallut retoucher a un peu de liberté et de bonheur pour me faire de nouveau ressentire ce feu qui brule en moi. Impétueuse tempête qu'il faut canalisé. Canalisé dans le bon. J'esseille sans fin de transfomer le mal qui est en moi en bon. Peut être que finallement je suis une mauvaise personne. Je fait le mal autour de moi. J'en suis consiente. Ma mère est plus épanouit sans moi. Mon père l'est toujourshttp://manon.cowblog.fr/images/photos/Espoir.jpg quand je suis loin. C'est une vérité, les gens qui s'approche trop de moi, du fin fond de mon coeur, et y reste trop longtemp se font détruire systématiquement, involontairement mais obligatoirement. Je ne sais plus me laisser aller auprès de quelqu'un sans doute, la confiance n'existe plus chez moi. Dur vérité. Finallement il ne faudrait plus que je parte a l'étranger, il faudrait que je m'engloutisse dans ce monde fictif comme je l'ai déjà fait, que je m'assome de travail pour ne pas penser à ce qui m'entoure et atendre que mes études passent, que mes progets se fondent et que je décolle enfin de la France pour ne revenir qu'occasionnellement, peut etre jamais. Il est inévitable qu'un jour je parte pour toujours, loin. Il est peut etre alors préférable que personne ne rentre dans mon coeur, ici ou partis il n'y a pas de place pour un "nous". La liberté a un prix lourd. Es ce que je veux payer ce prix? Quand je voit des hommes comme Yahya ça fait longuement hésiter. Il faut que je me replonge dans mes livres en oubliant ces trous et ces manques. OUblier aussi mes actes manques. Pourquoi es que je n'accepte que quelqu'un rentre dans mon coeur qu'a l'étranger et lorsque je sais que je ne resterais pas? Seulement quand je sais qu'il ne faut penser qu'a aujourd'hui? J'aurais un problème avec le futur... C'est clair que oui, rien que l'idée me fait trembler de peur. Le futur... Carpe diem, voilà qui m'arrengerais bien. La-bas tout a l'air si simple, tout les pieces du puzzls sont remises à leurs places et ma tête est si légère... Il pense pouvoir m'aider, il lui faut du temps qu'il m'a dit. Je connait la bombe qui peut est amorcé par un telle travail. Je ne veux surtout pas qu'il se la prenne. Tout sauf ça, il faut que je l'évite. Le code le bac, ca pèse un peu plus, j'aimerais que tout ça soit enfin fini, qu'on en finisse je n'en peut plus. JE cherche un chemin alors qu'on me la déjà tout tracer, il faut que j'attende patiament que la france m'autorise a enfin choisir ce que je fait de ma vie. POurtant je suis perdue, je ne devrais pas y'a qu'a suivre mes années lycée... Je chercher toujours un but, un projet, chose stupide je n'ai de temps, pour rien. Désolé pour ce flot de choses, faut que tout sorte, en espérant que j'y voille mieux après. Je n'aime pas Yahya, je ne crois pas, pas encore. Une semaine c'st tellement cours. J'ai eu peur du déjà vue, ce n'était pas le cas. C'était une bouée de sauvetage. C'est bizar, sa présence m'était naturel, comme si je l'avais déjà vue. Je voillais parfois mon frère en lui. Quand il était plus là, même au Maroc, je n'arrivais plus a respirer, j'étoufer, j'étais perdu. J'ai pas compris pourquoi sa présence ne déclancher pas en moi des signes d'amour ou de passion. POurtant j'avais besoin qu'il soit la, et en contact phsique avec lui. Comme si il n'était qu'une illusion pour moi si je ne le toucher pas. Ca fait trois jours que je suffoque. J'ai peut etre toujorus suffoquer. Avoir gouter au calme me le fait sentir. JE en sais pas. Que sais-je? Que saisje de l'amour? L'idéale de l'amour qu'on se fait réside dans celle qu'on a vue dans la relation de nos parents. C'est la seule réel relation amoureuse que l'on vit profondément. Cette idéale je l'ai créé sur une relation qui n'était pas amoureuse... Comme savoir ce qu'est l'amour, ce qui est du désir, de l'envie, de la survie, de l'admiration... Comment savoir ce que je veux lorsque ce qui dirige ma vie est la liberté et l'amour? Comment lié les deux? Comment appliquer le carpe diem lorsque mes jours sont d'un ennuis catastrophique? Comment ceuillir le jour si la rose n'est qu'un ramacide de pucerons? Je en comprend pas pourquoi des hommes si identiques entre maroc et france peuvent être si différents. Comment une population peut être si gai et si vivante et l'autre si hostère, raleuse et purulente... D'où vient cette différence? Une éducation, des principes, la religion, la vie? POurquoi les français sont t il aussi méchant les un envers les autres? Pouquoi doit on obligatoirement rentrer dans une case de la société, pourquoi la france nous enferme dans son pays en rendant les diplomes incompatibles avec le reste des pays? POurquoi es ce que je ne trouve pas ma place dans ce monde. Pourquoi es ce que ici personne ne me comprend alors que dans plusieurs autre pays les gens sont si psycholoques. Parquoi suis-je né ici, avec ces parents dépressifs. Pourquoi ne suis-je pas douer, et sage, comme le sont d'autres? Pourquoi n'ai-je pas confience en moi. POurquoi le doute ne peut partir de ma tête. POurquoi tout ce qui m'entoure reste sans cesse un éternel questionnement et pourquoi il n'existe pas de réponse absolue a la vie et tout ces problèmes qui me donne la migraine. Pourquoi, pourquoi pourquoi mon dieu je n'arrive pas a être heureuse de ce que j'ai, et vivre simplement parce que je vit sans me poser toutes ces questions qui me ronge et me détourne du but initial: vivre heureux.

Dimanche 26 avril 2009 à 16:26


Artiste:
Khaled
Chanson: Aïcha

Comme si j'n'existais pas
Elle est passee a cote de moi http://manon.cowblog.fr/images/photos/333333333333.png
Sans un regard, Reine de Sabbat
J'ai dit, Aicha, prends, tout est pour toi

Voici, les perles, les bijoux
Aussi, l'or autour de ton cou
Les fruits, bien murs au gout de miel
Ma vie, Aicha si tu m'aimes

J'irai a ton souffle nous mene
Dans les pays d'ivoire et d'ebene
J'effacerai tes larmes, tes peines
Rien n'est trop beau pour une si belle

Oooh ! Aicha, Aicha, ecoute-moi
Aicha, Aicha, t'en vas pas
Aicha, Aicha, regarde-moi
Aicha, Aicha, reponds-moi

Je dirai les mots des poemes
Je jouerai les musiques du ciel
Je prendrai les rayons du soleil
Pour eclairer tes yeux de reine

Oooh ! Aicha, Aicha, ecoute-moi
Aicha, Aicha, t'en vas pas

Elle a dit, garde tes tresors
Moi, je vaux mieux que tout ca
Des barreaux forts, des barreaux meme en or
Je veux les memes droits que toi
Et du respect pour chaque jour
Moi je ne veux que de l'amour

Aaaah !
Comme si j'n'existais pas
Elle est passee a cote de moi
Sans un regard, Reine de Sabbat
J'ai dit, Aicha, prends, tout est pour toi

Nbrik Aicha ou nmout allik [Je te veux Aicha et je meurs pour toi]
'Hhadi kisat hayaty oua habbi [Ceci est l'histoire de ma vie et de mon
amour]
Inti omri oua inti hayati [Tu es ma respiration et ma vie]
Tmanit niich maake ghir inti [J'ai envie de vivre avec toi et rien
qu'avec toi]

Lalala....lalala...

Vendredi 17 avril 2009 à 18:24

http://manon.cowblog.fr/images/photos/orage.jpg
Plus qu'une petite heure de répis solitaire dans ma chambre française avant que tout s'eccelère et que je me retrouve pour la deuxième fois, au Maroc.
Mon arceleur téléphoner s'est finallement montrer et s'est révéler être les 3 suisses...
Pourtant la tension étrangement ne s'est pas évaporer. Un reste de ma nuit d'halucinations de la veille me reste comme un microbe dans un plaie. Ce sentiment que tout s'accélère, qui tout arrive, si vite. Je l'attend et pourtant j'en ai peur. Sans savoir ce que j'attend, c'est la mort qui vient? Ce putain de but que je cherche a trouver pour ma vie? Que je sent si fort? Ou des aliens venus me chercher? Dans ma transe tout pouvait avoir un sens. Et je sentait cette chose qui s'approcher sans savoir si c'était un bien ou un mal. Un bien après un mal. Et cette orage qui s'approche, qui tonne de plus en plus proche. La pluis qui tambourine mon plafond donne des allures de fin du monde. Blink que je mets en boucle une dernière fois avant de m'en séparer 10jours. Pourtant déjà l'appel de ma voix sonne faux. J'ai presque sursauter en ne sentant pas les larmes qui arrivaient. J'ai regarder mon portable et les milliers de textos si récent afiichant un nouveaux nom. C'est con ses mots ne me font que si peu de chose. Je le connait a peine. Il est déjà engager comme personne ne l'a fait avant. J'ai failli m'arracher la peau quand j'ai vue que son anniversaire tomber le 2 aout. Je suis maudite avec cette dâte je pense. Je ne sais plus ce que me dit la vie. Peut etre que je ne l'écoute plus comme avant. Comme avec tout le monde a qui je fait répéter cent fois ce qu'ils vont faire pendant les vacanses. Parce que je ne suis plus là ces derniers temps. Ce type cette impatience je la sent de trs loin. Seule quelque rare personne me sorte momentanément de mon état l'étergique, Nora et Arnaud principallement. Les deux personnes vital pour moi. Je pense a ce qui pourrait m'attendre a l'arrivée a l'aéroport et ça me fait froid dans les dos. Alors je ferme soigneusement ce chapitre dans mon petit cerveau. Je me demande si je suis encore capable d'aimer. Et la réponse non me parer si vrai. La preuve, un mec génial me tombe sous le nez dans une providence trop grosse pour que la vie l'est fait inconciamment, il tombe a fond sur moi en deux deux et je tourne de l'oeil... J'ai un vrai blocage je coirs que c'est clair. J'ai peur de ma compétence, je me trouve tellement gamine, tellement inexpérimenter, j'ai tellement peur de la réaction du type, j'ai tellement le sentiment de ne pas arriver a laisser rentrer quelqu'un dans ma vie, de faire l'effort de le voir souvent, de me laisser simplement aller sans peur... Tout ça d'un coup me terrifie. Je n'y arriverais jamais.
Passez tous de bonne vacanses. Une chose est sure, vous allez vraiment me manquer

Dimanche 5 avril 2009 à 18:51

"J'étais une coquille creuse.
A l'instar d'une maison vide, abandonnée, j'avais été inhabitable durant des mois.
J'allais vaguement mieux, à présent - le salon était en meilleur état.
Mais ça n'étais que cela: une unique et toute petite pièce.
Jacob méritait mieux qu'une masure délabrée à restaurer.
Il aurait beau déployer des trésors d'énergie, il n'arriverait pas à me retaper.
[...] J'avais été cassée au-delà du réparable."

Tentation


Ce fut le cauchemar que j'avais imaginer, en pire même je crois.http://manon.cowblog.fr/images/photos/576264045.jpg
Il était là. Les rares millièmes de secondes ou mon regard se posa sur lui me déchirait ma plaie béante. Non ce n'était pas lui, il n'avait pas le même nom même si la prononciation aurait une similitude si troublante. Lui était dragueur, exubérant. Pourtant chaque cellule de mon corps le retrouver, le reconnaissait. Je pensais rêver. Je le sentais si présent, si proche. Quand il m'a effleurer de sa chemise fraiche et que son odeur s'est disperser en moi j'ai cru que la crise de panique aller me reprendre. J'avais tellement mal que j'ai cru ne plus jamais arriver a reprendre mon souffle. Le pire et que cette homme la ne me voyait pas, le seul de toute la soirée qui ne m'a pas vue, tel un fantome. Je le regarder danser en carressant les cheveaux de marie caroline endormit d'alcool. J'ai cru pleurer. Je n'ai pas tenu plus d'une seconde tellement sa vue me bruler les yeux. Il est le même mais son contraire. Le vrai ne voyait que moi quand les filles lui fesait les yeux doux, il était incontient de ce qui se passer en dehors. Lui draguer, à l'aise, sans jamais me voir. J'ai cru voir celui que j'aime vivre sans moi. Celui qu'il est peut être a des miliers de kilomètres. Et pour la première fois cette idée je l'ai vraiment sentit. Quand mon corps a faillit se mettre en boule pas mes tremblements alors que j'essailler de la controler il m'a enfin regarder. Un regard étonner. J'ai cru qu'il m'avait reconnue. Par delà d'aucune logique vue qu'on ne s'est pas connu. ce regard a durer une demis seconde avant de s'évanouir dans un rève inachever. J'ai imaginer un plan de chaufeuse et l'embrasser pour qu'il comprenne enfin. Mais ai bien sur renoncer. Conciente de la folie de mon imagination. Sa voix suave ma enivrait le temps de la soirée en coupant chaque fois un petit point de suture sur l'immensité de ma blessure, laissant pisser les sang a son aise. Pourtant je m'en foutais je le laissait faire seulement pour avoir un peu de Sa vois avec moi. Celle qui était toute près de moi avant. Dans mon lit son image était trop net pour la rare seconde que j'ai oser regarder dans sa direction. Mes liens on céder et la crise est venu. Mon corps tordu de douleur et cette envie stupide d'appeler mon Jacob pour qu'il me prenne comme un frère dans ses bras. En sachant malheureusement que malgrès tout ce qu'il dit je le détruirait.
J'aimerais que l'amitier fraternel entre fille et garçon existe sans se détruire.
Je t'aime Arno.

Vendredi 3 avril 2009 à 22:11

"Je peut plus respirer dans ce monde parmis vous"
KYO
http://manon.cowblog.fr/images/photos/1110785114.jpg

Un enterement,
J'en vois à la télé, j'entend des gens aller, pleurer. On me décrit des personnes, des beaux discours sur leurs vies. Des fleurs, des pleurs...
Et soudain j'ai vue mon enterrement, et tout un tas de questions qui me font sourrire, tout un tas de vérités qui apparaitrons par la force de ma mort.
Qui viendra a mon enterement si je meurs demain?
Qui pleurera, je pense savoir, qui aura un vrai chagrin? Es-ce qu'Elle viendra? En noir au fond du cortège.... Crachera t elle sur ma tombe? Ou cachera-t-elle une larme au fond de ses paupières noires? Quelqu'un aura-t-il seulement l'idée de l'inviter. Qui se sera dit que cela m'aurai fait plaisir, qui aurait jurer que cela m'aurait déplus. Es-ce que ceux que j'ai abandonner pour différentes raisons surmonterons l'affront et la haine pour venir quand même? Qui viendra alors que je ne m'y attendais pas. Qui ne viendra pas en sachant que je n'aurai pas voulu de tristesses? Qui aura choisit les fleurs en pensant que c'était mes préférers? Qui viendra chaque semaine avec un café pour faire comme si j'était encore là. Pour continuer une rontine qui ne semblait jamais s'arreter. Qui se battra auprès de ma famille pour avoir un objet juger le plus représentatif de ma personne. Que prendron t il. Ma veste en cuir? Mes bijous? Mes tonnes et tonnes de cahiers noircis? Ma guitare? Mon piano? Mes CD? Mes dessins? Qui donnera un portrait frappant de ma personne. Qui me connait sans le montrer. Viendra-t-il des Etats Unis? Du Maroc?
Un enterement est révélateur des sentiments enfouie des gens.
Une perte, un danger révèle les plus grandes peurs, celle ou sa concience viens vous faire des reproches.
Qui viendra seulement pour se dire qu'elle n'a pas a s'en vouloir, de toute façon elle ne peut revenir en arrière vue que je ne suis plus là.
J'aimerais assister a mon enterement.

 

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