Mercredi 30 janvier 2008 à 19:31

Extérieur: Léonard di Vinci

Intérieur: Oui,non ,oui, non...

     Parait qu'a force de combattre son désir on s'use les nerfs. Ca doit surment être ça! Vraiment à bout de nerf, de force... Tout m'énerve, m'exaspère ou me démoralise. Completement lunatique. Ca me pèse. De sourire. Tout me demande un effort. Pourtant j'ai envie. Envie de rigoler. Envie de voir mes potes. Pourant quand j'y suis je me referme. J'y arrive plus. De plus en plus je n'arrive pas à masquer. Les cernes, les traces des horreurs de la nuits, les larmes qui me prennent n'importe quand dans la journée de plus en plus dure à repousser. Je vais pas craquer pour un rien! Moi qui penssait avoir résisté au pire Que l'amour ne serait plus qu'un amusement parque je ne pouvait plus aimer. Je ne voulais plus. Mais tout s'emelle. Mon coeur s'engueule avec ma tête. Ma tête avec mon coeur.... Un coup c'est l'un, un coup l'autre. Puis oui, puis non... Ca use. Ca me tue. Ce foudroillant désir qui réclame à chaque fois qu'il me murmue "b'jour ma( )demoiselle" avec la main froleuse en me fesant la bise. Qui pourrai me propulsé je ne sais où. Oubliant tout ce qui peut m'agasser en lui et même me repousser. Et ces images qui reviennent toujours en affilades lorqu'il a sa main dans la mienne. Ces affolantes images revenu du passé pour me rapeller un autre. Ca ronge encore plus. Liste du pour et du contre. Faut vraiment que je me décide.( Pour déjà ne plus me voir comme une grosse salope dans le miroir!!!) Une fois pour toute. Toutes les heures je me dit ça. Je prend une résolution. Et 5 min après je le sens près de moi, je reçois un texto.... Et Voilà que la torture recommence....

GRRRRR je pète les plombs je dois absolument te voir. ET que j'arrete de raller comme ça sur ce blog!
Manon*

Vendredi 25 janvier 2008 à 18:03

Extérieur: Ses "mademoiselle"qui sonnent en "Ma demoiselle"
Intérieur de moi: L'aurore

     C'est une magnifique journée...Vite un article !
Les textos, les amis, le calage, lui, ... Tout. On envoi en l'air les prises de têtes, le
manque cruel de sommeil et les pressions. On se shoote, on déconne. Puis je rentre chez moi, la douce mélancolie et le I-pod visser dans les oreilles. En défaisant ma valise, une petite enveloppe pleine à craquer est posé discrètement sur le coté façon "papa". Sourire.  On voit qu'elle à bien voyager avant de m'arriver. Date: trois semaines qu'elle est partie. Je reconnaitrai cette écriture permis toutes. 4 cartes postales. Plein de textes. Je pleurs j'ai des frissons. C'est magique. Incompréhensible et indescriptible. Je relis, encore et encore cette enfilade de mots. Je ne mérite pas tout ça. Tout ce bonheur là. Les gens me sur estime... Je ne suis pas si bien qu'ils prétendent que je soit. Je ne mérite pas un homme. Je ne mérite pas ces amis. Je ne TE mérite pas.
Pourtant ils sont tous là. Parfois je ne m'en rend pas bien compte. Aveuglé par le mal que mon père me fait avaler parfois. Ce père qui reste pourtant la personne que j'aime le plus au monde et ça je crois que c'est indestructible. C'est une fusion. Tout ce qui me reste de puissant de ma famille détruite. C'est ma vie. Qu'il soit détruis. Qu'il ne soit plus le même homme que j'ai connu... Cela ne change rien. Cette complicité est la même. Ce pouvoir de comprendre sans rien dire. Ce doute qui ne survient jamais. Cette façon de me prendre dans ces bras lorsqu'il sent que ça va pas. Il me détruit parfois c'est vrai. La fusion c'est aussi sa.
Quand il tombe je plonge aussi.

'Mon sushi à moi ! ;) "
Manon*

Mardi 15 janvier 2008 à 19:11

Exterieur: Prof suicidatoire

Intérieur de moi: Manque cruel

     J'hurle ce soir. Je pleurs. J'écris. Je tape. Je me cogne partout et laisse tout tomber. La chambre sans dessus dessous. Je craque. J'explose. Pourquoi je retient tout ça? En moi bien enfouit par mes rires. Par mon sourire. Gout d'année dernière. Je suis écorcher de partout putain. Les profs, les nuits, les cours, l'ennui,la fièvre, les urgences, le stress. résutat de mes deux dernières jours. Je sais même plus le gout de l'amour Je me perd. Es-ce que je l'aime en fait? Je ne sais plus quel est la part du besoin et de l'amour. Je sent de nouveau cette force, cette attirance des corps qui pourrait me faire jeté dans les bras de ceux qui s'approche un peu trop près de moi. Controle de moi même. Je suis en manque. En manque de corps. De bras bien viriles qui vous enlace si violament. Si fougueusement dans une ultime étreinte.  En manque de baisers brulants dans le cou. En manque d'affection et de caresse. Je me souvient de cet ancien homme à mes cotés. Je le regrette. Parce que lui je l'aimais vraiment Je l'aimAIS. J'ai peur de me tromper. De céder au desir et me faire décevoir par la réalité. J'ai peur de me faire avoir. Des bras ça détruit aussi parfois.

Je le sais trop pour ne pas me méfier...Pourtant voilà

Manon*

Lundi 7 janvier 2008 à 19:50

Extérieur: De la vie

Intérieur de moi: Beaucoups d'espoirs...

    Quel belle journée de rentré... Bouffée d'air de voir tous ces gens. De rire. D'oublier les tristes nuits. Puis la grande nouvelle. Il l'a quitter. Bonheur extrème. T'es tout près maintenant... C'est bizzar à la fois ça me fait peur. Moi et mes peurs de tout ! Enfin je suis heureuse ma fois c'est le principal. Tu me manque comme pas possible.  Un trou énorme dans ma vie. J'ai besoin de toi. Portable éteint. Aucun texto ne te parvien...

Aide moi. J'ai peur.

Manon*

Mercredi 2 janvier 2008 à 20:02

Extérieur: la hanche qui déclanche

Intérieur de moi: Pistolet chargée

 Voilà. Parait que nous sommes passer à un nouveau chiffre. Plus un 7 mais un 8. Ca s'exite, ça lance des pétard, ça ce bourre la gueule. Tout ça pour un 8. Et les "Bonnes anées" "Meilleurs voeux" "La santé surtout" "Oh oui la santé la santé"... Ques-qui à changer d'aujourd'hui et d'hier? Rien. Pourquoi l'homme se prend la tête comme ça? Les années... Notion inventer pur quantifier ce temps qui ne cesse de coulait sur nous. Ce temps qui ne s'arrete pas. Je ne comprend pas. Simplement parce que ce soir j'ai pas le coeur à la fête. Vraiment pas. Sinon bien sur j'aurai été "heureuse" de passer à un" 8". J'aurai hurler comme les autres. Passons. J'ai une siatique. Ca me rend mauvaise (vous avez pas remarquer?). Je fuit tout ces derniers jours. Je ne sort pas beaucoup et n'ai vue aucun amis. Faut dire que je suis en piteux état. Je me fait peur moi même dans le reflet du miroir. Ombre de moi même. Je ne sais pas ce qui m'arrive. Je suis triste. Perdue. Morte

Manon*

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