Samedi 28 novembre 2009 à 23:43

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Les plus belle rencontre c'est celle qui nous tombe dessus.
Incompréhensible, surprenante.
Parfois sans s'en rendre compte on perds de vue des gens. On les rencontre dans des endroits incongrue. Ils réapparaissent comme ils sont venus et repartis, un beau matin, par un hasard, un mot... Alors que tout paraissait etre un jour normal. Encore un jour sans grand sentiment. Et puis tout bascule. Le sourire vous reviens, des anciens sentiments, des anciens souvenirs gravés. Retrouvé un être exeptionnels, une complicité et un humour sans pareil. Mon Petit Nadim comme tu m'a manquer sans que je le sache. Suffit qu'il revienne pour me souvenir.
La vie est vraiment étrange, elle me surprend a chaque tournant. rester des années loin de ma soeur et un jour une lettre... Pourquoi ce jour? Un jour dans un méli mélo de plein d'autres? La retrouver...
"Tu est heureuse" m'a demander Lise... et j'ai eu presque les larmes aux yeux car la réponde m'était pour la première fois de ma vie évidente. Oui je suis heureuse. Malgrès les fluctuations, les moments de doutes, de peur. Je vais bien. Tout le monde me reviens et me soutient.
Et les nouvelles confidences, qui me font pleurer. Tant de larmes en ce moment, tout s'évacut. Parce que cela ne risque plus de m'affaiblir. Les larmes de peur pour mes proches, du passé... tout part. Redevenir présent pour ceux que j'aime. De moins en moins dans mon monde je reviens les gens.
Doucement, par a coups, biensur il y a encore des jours où je voudrais disparaitre sous ma couette et m'empifrer de chocolat.
Nadim... qui l'aurait cru. Et des promesses. Sourires.
C'est beau l'espoir. C'est beau l'amitié.
La vie, qui est tu au fond? Aussi changeante et étonnante...
Cruelle et généreuse par intermitance...
Je lève mon verre a la vie, à Nadim, mon précieux ami.
Je prie pour que ta vie te face plus de cadeaux.

C'est ça fait ton mac ;)

Dimanche 22 novembre 2009 à 23:00

"Tu m'as demander tout à l'heure ce que veulent les filles... elles veulent seulement un homme qui veut bien d'elles."

Dimanche 15 novembre 2009 à 17:58

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Pendant un bref moment, tout étais différent.
Quelque chose s'étais établis, quelque chose de profond.
Le temps s'est arrété, le mouvement aussi.
On a tous ressentit cette conivence.
Et la vie a reprit son cour.



Vendredi 13 novembre 2009 à 18:02

Aujourd’hui j’ai 15 ans,
Paraît que tout va bien dans ma vie…
En vrai je fais semblant, mais je m’accroche et je respire.
Je fais partit de ces jeunes perdus, souriant par politesse,
Entourés mais pourtant si solitaire...
15 ans de vie, 30 ans de larmes
Versées dans le noir quand le silence blessait mon âme.
Plutôt banal pour une gosse de mon âge,
Le cœur balafré de rage
J’aimerais pouvoir vivre en marge,
Cette vie de merde n’a que le goût d’un somnifère mais je me dois de les rendre fier eux qui me croient si solitaire.
Si vous saviez seule dans ma chambre comme je souffre,
J’ai le mal de l’ado en manque à bout de souffle...
Eux ils sont fort, moi je ne suis rien
Rien qu’à mon mentor, face à l’adulte je le sais bien mais raper c’est pas un jeune qui peut paraître à l’abris,
Car vos mots le pousseront à mettre un terme à sa vie…

Je veux…
Je veux partir pour mieux revenir
Et devenir quelqu’un, quelqu’un de bien parce que je reviens de loin…
Je veux…
Je veux partir pour mieux revenir ... et devenir quelqu’un…

Au nom des jeunes incompris qui luttent contre eux même,
au nom de ceux qui savent combien nos vies sont malsaines.
Toujours sourire et faire semblant de s’aimer,
Mais dans le fond on se déteste on aimerais pouvoir céder.
Pourquoi l’adulte ne sait pas ce que je sais,
Pourquoi me prend il pour une môme quand il croit me renseigner.
Pourquoi m’empêcher de grandir avec mon temps,
Pourquoi me faire croire que la vie n’est qu’une suite de bon temps.
Ne vois tu pas sur mon visage comme j’ai mal,
Comme je ne te crois pas quand tu me parles d’espoir.
Ne vois tu pas cette ambition qui me ronge,
cette envie de faire parti de ceux qui ont marqué le monde.
Selon vous je vois trop haut, j’ai des envies démesurées,
Arrêtez de voir trop bas, ne chercher pas à nous tuer,
Laissez moi libre sur terre et dans ma tête vous êtes fait donc ne faites pas de moi ce que vous êtes.

Je veux…
Je veux partir pour mieux revenir
Et devenir quelqu’un, quelqu’un de bien parce que je reviens de loin…
Je veux…
Je veux partir pour mieux revenir ... et devenir quelqu’un…


Hôpital d’Orsay, 1995,
J’étains en train d’agoniser,
Moi je n’ai pas osé le flingue.
Tout en douceur j’ai gobé mes cachets,
En douceur je partais me cacher tout la haut...
Mélanie, petite fille fière et bonne élève
a tenté de fuir la vie à coup de somnifères sur les lèvres...
Mélanie, si forte aux yeux des gens, marquée à vie par son trop plein d’intelligence...
Les jeunes comme moi savent que nous ne sommes pas comme eux,
Peut être que l’on en sait trop,
Peut être que l’on ne vaut pas mieux,
Mais ce qui est sur c’est qu’on voudrais devenir quelqu’un, quelqu’un de bien parce que nous repartons de rien,
Et peut être qu’un jour on pourra regarder nos mères et leur dire pardon de ne pas avoir su te rendre fière.

PS : Ce que j’ai fait s’appelle une T.S.
Pour certains un S.O.S, pour d’autres une preuve de faiblesse.

Mercredi 11 novembre 2009 à 22:55

Ca va pas. Pas du tout, ce soir. Aujourd'hui. Hier. Avant Hier. Demain sans doute.
Ca ne va plus en faite. Je bascule, me prend les pieds dans le mélimélo de ma vie.
Pas assez de sa présence, trop de truc chiant, triste et prise de tête.
Je merde, je pète les plombs pour un rien. Parfois quelques minutes je me fait pousser des ailes.
Un peu d'énergie qui s'envolle vers mes amis avant que je ne replonge.
Mes amis, les lettres de ma soeur et le dessin. Voilà tout ce qui me reste, me tien hors de l'eau.
Je suis fatiguer. D'etre si mal.
J'ai une envie incoditionner de m'acheter une tonne de fringues, de bijou stupides.
Besoin de compenser ce que je fais d'habitude avec la nourriture?
Maigrir, etre belle, me sentir bien. Pour avoir ca de moins a porter.
Parce que ton abscence devient trop pesante en ce moment.
Vraiment trop. Il faut que je te vois c'est physique.
Je meurs a petit feu. Je me consume. Rien en m'émeut, rien n'attire mon attention ou ne me passionne.
Je reste la. Même mes journées de repos je ne fais rien.
Une vrai loque. Je pense a toute les choses qui devrait me motiver a me bouger.
Un miliard de choses a faire. Envie de télécharger toute la musique du monde.
Faire le plein de nouveau vinyls...
Plus de sous. Je voudrais etre miliardaire.
Moi qui ai toujours détester faire du shopping... Ca va vraiment pas!
Je sais pas quoi écrire. J'aimerai me poser. Ne plus subir cette blessure au moins quelques secondes pour reprendre mon souffle.
Mais j'y arrive pas. Rien ne sort. Ques que je peut écrire a part que ton abscence me tue?
Que faire de plus...

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