Mardi 24 février 2009 à 12:15



"Nous sommes deux écorchés enfermés dans notre monde de rèves protecteurs, bulles increvables,
dans lequels le mien attend un signe du tien qui est tellement opaque que tu n'arrive a voir ce que j'esseille de te montrer."
De moi pour ma mère


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Premier jour de mes 17ans.

Le soleil ne cesse de briller depuis hier, comme pour m'annoncer l'avenir de cette année de jeunesse que je ne vivrait qu'une seule fois. Dans ma nuisette violette a volant je suis assise sur le bord de ma fenêttre. Emagasinant le soleil comme une boulémique en manque de nourriture. La compil' que l'on m'a offert qui tourne. Qui me fait sourrire, rire, pleurer. Parfois il me fait penser a ceux que je Lui offert, a Elle. C'est trop d'attention. Celle qui ma l'a offert est pourtant loin de la facination envers moi et ça me rassure. Les oiseaux chantents ces mélodies me sont habituelles, elles ont le dont de calmer tout mes tourments. La Bella format papier m'appele. J'ai comme un besoin de m'enfuirt dedant constant. J'ai l'impression deredevenir celle que je suis dedans. Comme lorsque je regarder les Frères Scott. "The boy saw a comet". J'ai tellement besoin de le revoir. J'ai besoin de redevenir moi. Près de lui plu
s rien n'exister, le temps, les gens, le monde entier n'exister plus, je ne m'en rendez compte que lorsqu'il fallait partir autre part... Ca me parait irréel aujourd'hui. Hier journée mytique... C'était de la bombe merci a tous (sauf le soir biensur ^^). Ma petite Nora t'es vraiment un ange sur terre. Même quand je m'enfonce dans mon monde en ne voyant plus personne autour de moi  tu es toujours la a me tirer de là. Je sais pas où tu trouve toute cette patience. Y'en a pas deux comme vous. Comment vous voulez que j'aille me dépécher des amis dans ma classe quand on vous a déjà?
Et bien voilà je crois que cette article n'ira pas plus loin. Cette journée s'annonce belle en companie de mon père. J'aime toujours autant.
Je m'enfile ma tarte au citron.
Je gacherais en récit idiot qi je continuer a écrire.

Manon*
 

Vendredi 13 février 2009 à 21:37




"Mourir c'est simple
C'est vivre qui est dure"
Dialogue de Twilight



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Mardi 10 février 2009 à 19:08


Laisse moi me vider la tête.
Enchainer sans rien te donner. Sans rien t'expliquer. Juste parce que ça me viens comme ça. Petite entré dans ma tête. Pas de logique.
Je sais pas pourquoi j'ai un besoin de parler soudain. Une crise d'angoisse. La première, une vraie de vraie. Peur de la solitude, de se silence. Ouvrir le portable, le refermer. J'ai envie d'appeler mon dernier sauveur. Entendre sa voix douce et rassurante. Mon meilleur ami c'est officiel. Cette envie constente d'être avec lui, d'être près de lui. Pas de l'amour pourtant. Je panique la qu'es qui m'arrive. "Elle a lu ton blog, elle le lit toujours j'en suis sure" pourquoi on me dit ça, c'est faux, c'est faux j'en suis sure. Ca me fait mal. "Elle ta laisser parce qu'elle voulait que tu t'envolle". Des conneries que je me dit. C'est tellement facile de me dire qu'elle me hait. Ses mots résonnes encore, assassin. Mon coeur qui a fait un rater, mon père qui rentre pour faire les math. Je m'en souviens comme si c'était hier. Non elle me hait. Le Tee-shirt d'Aaron contre ma peau nue. Moi dans lui. Il me manque. Pourtant je le sens avec moi. Il est devenu une partie de moi. Je n'ai pas peur de le perdre. La distance ne me fait pas peur. Une évidence. Il est mon évidence. Rêve étrange cette nuit il me demander en mariage. J'ose a peine l'écrire tellement c'est fou. Notre chanson que je remet et les image. Je me calme. POrutant cette peur qui reste qui me détruit. J'ai jamais fait de crise d'angoisse. Y'a ce prof d'éco qui m'a soufflé en me défendant avec rage et avec un regard bien fesant sur moi. Je ne comprend plus rien. Je crois que 'jaime me faire des objectifs bidons qui me détruisent un max. "Tu te coimplets dans ton malheur". Je ne m'en déferais jamais. T'a gagner j'aime me détruire. J'aime qu'on vienne m'aider. Princesse perdu en danger. Puis cette peur du regard des autres, de l'homme cette tension constante. Puis le "ceux qui pleur c'est des faibles, faut pas être faibles dans cette société sinon tu te fait bouffer". Désolé papa je vais me faire bouffer. Etre perdu. Ne plus savoir de quoi je suis capable. de quoi j'ai envie. Je ne sais plus qui je suis. C'est terrible. Forte, faible? Réservé, folle, fétarde, solitaire, extravaguante, amoureuse, froide, peyton, aventurière, réveuse, trop embitieuse, désespérer... ou une pauvre conne perdu dans son propre cerveaux. Je sais pas moi. Je suis tout et rien. Je suis psy et pas psy du tout. JE crois des choses et plus je me goure completement. PArfois je pense détenir une vérité alors qu'il n'existe aucune vérité ici bas. Parfois je crois aller dans le bon chemin alors que je tombe dans une impasse... Je crois en l'amour et puis je vois tout ces couples qui se trompent, se cherche sans se trouver. Tout ca pour exister. Etre quelqu'un au yeux des autres; Parfois je voudrait etre populaire et parfois je voudrai être invisible, partir dans un pay que j'aurai inventer vu qu'il n'en existe aucun assez bien dans ce monde. Le silence de lahsen me fait peur alors que c'est moi qui est voulu l'éloigner. Je me convinque de chose et puis je vacille toujours sur mes idées. Instable. Un jour je me dit que je vais tomber dans les bras d'un pauvre type et puis je pense a l'amour et je fait des faux espoirs a des mec extra. J'ai envie d'etre mistérieuse, que personne ne sache rien de moi et puis parfois ca part tout seul. Je saoul les gens. Quoi que je face je me sent conne, bête et moche. Y'a que dans son regard que je me sentais belle. Dans leurs regards en général. J'ai besoin d'un regard pour exister. Avoir le sentiment d'avoir le droit d'exister. Y'a tant de questions qui résonne sans fin dans ma têtes, tant d'envie, de recherche sans fin et de bonheur gaché. Tant d'espoir et de déseption. Tant d'énergie afin de trouver quelque chose qui n'existe pas. Je crois j'ai besoin de revoir le désert. Le bonheur c'est la bas qu'il est. Le bonheur c'est quand on survie. C'est un sourire tendu vers soi quand on se réveille. Le bonheur c'est voir son visage qui dort sur un canapé américain et se lever spécialement le matin pour le regarder des heures dormir comme un ange et avoir cette envie horrible de se blotir contre lui. De l'embrasse.
Le bonheur c'est sa main qui papillonne contre ta peau.
Je sais pas si je me fait du bien, ou du mal en baignant dans une mare de souvenirs tout le temps. Si je me régéneire ou pourri au milieu de cette eau. Parfois j'ai l'impression que ça m'est vitale cette zone de moi qui s'accroche de des images qui s'efface si vite. Parfois je fait un effort et sort et j'ai l'impression de vivre, de recevoir tant de sourrires, de regards, de sensation, d'odeur... "Dans ville il y a vie"... hi hi tu vois j'ai pas oublier la leçon. Je me souviens de tout, de trop de choses. Et a la fois pas assez. Certaine saccroche, souvent les mauvaises et le reste méchape inoxérablement. J'ai beau les écrires, vouloir les préserver certaines méchape toujours. Bataille perdu d'avance. Il y a toujours une seconde entre le moment ou on prend la photo qui échappe avant la suivante. Après certaine brule certaine sont flou, jeter, abimé, perdu... c'est comme ca dans ma tête.
Je ne prend plus soin de mes articles, je ne fais aucune présentation jolie, aucune couleur. Après 2 ans j'ai la flème. Je n'ai pas d'inspiration pour mettre des jolie choses pour vous rendre plus agréable la lecture. Cette article est une gros tas de bétises pourtant je vais esseiller de faire un effort. Ultime. Avant de plonger dans les desesperate pour partir dans un autre monde ou bien dans mes milles et unes nuits qui me rappel mon enfance et le maroc bien sur. Je m'invente des mondes. Je me met en boule souvent contre la vitre dans le bus et je me perd. Dans moi même. C'est tellement vaste dans moi, c'est tellement sans limite sans frontière, sans jugement. Y'a pas de peur, pas de fait pas sa, pas de faux espoirs, d'amour impossible, d'hésitations. Tu va ou tu veux. J'ai envie d'écirre a en usé les touches. Jusqu'a vidé tout. Qu'il ne reste plus rien et que je m'endorme pour une fois l'esprit vide. Je sais pourtant que c'est peine perdu. Que je n'ai jamais tout dit a personne. que ce ne sera sans doute jamais le cas. J'ai envie d'admirer les étoiles se soir l'esprit vide. Faudrait vraiment que je retourne au désert, seul endroit au moins ou je ne penser plus a rien et ou la musique ne me tenté pas. Ja n'avais pas besoin de fuir il n'y avait plus rien dans ma tête. Ce silence... je n'oublierai jamais se calme. Il faut que j'arrete de pensée a tout ça. Que je vive. Enfin. Que j'arrete d'attendre enfin et de décoller pour de bon au lieu de réver toujours. Que je me lance. Dans quoi? des idées et que des refoulements. Opposition dans ma tête. Déjà je sort samedi. Ca me rassure. Ca me fait plaisir d'y aller. Et ca c'est un truc de fou. J'ai même hate d'y etre. Ne plus me prendre la tête. Juste me fait un bon concert a ses côtés. Va surtout que je me concentre pour pas penser que mon mr Love sera avec sa copine a une fête a aix sinon ça va me bousiller la soirée. Ca m'énerve parce que je peut plus faire la correction orthographique et que depuis un certain temps je ne sais plus écrire. Ca m'énerve de repenser à Elle. Alors que la solution a l'énigme est si bête. Elle me détester, a un point que je n'imagine même pas. Qu'importe de comprendre pourquoi elle me hait. Ce qu'il ne faut pas c'est se dire qu'elle me voulait du bien en le fesant. C'est se leurrer. A affronter quelque chose mieu vaux que ce soit la vérité. Je devrais plus souvent l'affronter. Au lieu de me forger des rèves bien trop grand pour moi. Vincent m'énerve. Il me prouve a quel point on est semblable. A se caché derière nos rèves.
Je pourrais écrire encore des heures.
Mon cerveaux bouillonne ce soir.

Mardi 3 février 2009 à 19:34




Y'a dabord:

Se sentir immonde devant le mirroir
Une sensation paranoïac
Une énorme fautes d'orthographe sur un tableau de math
Un regard glacial dans un couloir
Suivit d'un brisage de coeur
Puis de doute sans fin
et d'une recherche de faux prétextes
Le stress de TPE
Une furieuse envie de tomber malade.
Ou de s'enfuir.
Une journée de merde quoi.

Puis il y a...

Un jolie mail en américain
Un petit mot sur mon mur par ma meilleur amie
L'envie de repartir

 
Je sais pas. Ce que je veux. Je sais pas. Ce que je suis. J'en ai marre. De cette envie d'être une fille super sans faire d'effort. J'en ai marre. D'être fatiguer avant l'heure, d'attendre qu'on vienne m'aider. J'en ai marre. D'avoir le doute d'avoir un jour une mère, d'attendre Carole encore et encore, de pensée au passé, de pensées aux érreurs, de me voir toujours faible et me réver forte, de voir mon téléphone sans message qui me donnerai l'espoir qu'on se remette ensemble, d'avoir honte de moi, de me désespérer poru si peu, de n'avoir pas étudier mon code, de croire en des choses impossible, d'être conne, de pas être là pour ceux que j'aime, de plus savoir faire de l'humour, de plus savoir être insouciente, de plus savoir faire la fête de pas me bourrer les gueules la tout de suite et de m'enfiller les pètes jusqu'a... plus rien.
Où je vais? Qui suis-Je BORDEL?
Je les vois, heureux, sur d'eux, pleins de malice, de farces faciles, si simples d'apparence. Je me sent sale, moche, nul, immonde. Avec mes vêtements bètes dans lesquels je me sent jamais moi, avec mes cheveux en vracs, mon air d'enterement constent et mon crayon qui coule. Je me bats contre moi même, et ca ca me tue encore plus. Etre fictive. Ca m'étonne pas qu'il me lance ce putin de regard de merde...
Pauvre conne.

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