Lundi 22 juin 2009 à 19:06



"J'lève mon verre à ceux qui croient plus en rienhttp://manon.cowblog.fr/images/photos/trio.jpg
A ceux qui chaque matin s'étirent dans le brouillard
Et piquent du nez dans un café noir
A ces homme rouge rubi
A ces derniers levers de Soleil qui n'ont pas de prix
Et c'parvis napé de groseilles
A ces femmes qui au réveil ne sentent rien sous leurs mains
Ces mômes armés de fusils en treillis qui ne pensent pas à demain
J'lève mon verre à ceux qui dorment sous des tôles par-ci par-là
Et à tous ces morts de luxe qui pourrissent dans des villas [...]
Ceux qui ne voient pas la mort autrement qu'au combat
A celui qui croit qu'il s'en sortira, la chance sourit à ceux-là
A tous mes potes présents et à ceux déjà partis
A tous ceux qui n'ont pas voulu jouer par peur de perdre la partie
A ces sacrés souvenirs qu'on garde enfouis au fond de sa tête
Qu'on calme à coup de fummette chaque fois que le relent guette
Ces coeurs touchés, ces corps couchés, ces âmes fauchés
Comme un blé trop vert, maudit soit les moissons de la colère[...]
A tous ces gouvernements pourris, à tous leurs suicidés
http://manon.cowblog.fr/images/photos/dustinhoffman.jpg
A tous ceux qui sourient bêtement, à toi qui jète les dés
Même si des fois certains s'écrient "ça y est, c'est décidé, cette fois je le fais"
J'lève mon verre à ceux qui n'ont pas le cul béni par les fées
A toutes ces mères qui ne savent que trop bien, pour avoir veillé la veille
Que sur notre bonne vieille Terre rien n'est plus cher que l'oseille
A toutes ces balafres au sucre qu'une note salée laisse râler
La mère absence qui exulte n'est qu'une moitié sans rage
J'lève mon verre à ces poches trouées par les doigts
Et celles trouées par le poids des sous,
ceux qui ont toujours eu le choix
A toutes ces pensées rances qui n'enfantent que dans la souffrance
A ces immenses crétins qui nous appellent la sous-France
A ceux qui relativisent bien, à ceux qui m'en veulent ouais
Que ceux-là réfléchissent et disent bien
J'lève mon verre à ces troncs tendres, en leurs écorces de pierre et
A ceux qui en prennent plein les dents et malgré tout les serrent
A ces sacs Vuiton pleins, à ces cartons par-terre
A ceux qui partent pour dejame, qui reviennent avec du verre
A ceux qui se croient au paradis et qui ont les poils qui crament abusés
Ce nectar de la vie que la mort c'est quidam vient m'en user
A ce bon vieux bitume d'où nait le flash qui nourrit ma plume et vos yeux
J'lève mon verre à l'homme"


Mercredi 17 juin 2009 à 15:29




http://azad-musique.skyrock.com/
  --> Rêve brisé

"Il te dira que le sang est le même pour tous
Seules les couleurs changent
On fini de la même façon :
On tend la main aux anges "
Shurik'n La lettre

http://manon.cowblog.fr/images/photos/thE920E020la20menthe.jpgUn peu en manque j'avoue...



Y'a des fois des trucs qui se passent, on ne sais pas pourquoi. Pourquoi ce jour, pourquoi a ce moment, pourquoi ce cette façon.
Un destin. Parfois on se lève le matin et on se dit que ca va etre une journée pourrie. Que tout va etre banale et triste. On ne sait pas a quel point elle sera unique. Y'a des rencontres, des regards qu'on reçoit des fois qu'on aurait jamais put imaginer ou espérer. Le vie est quelque chose d'énigmatique. Parfois on est sur de géré son futur et tout s'écroule. On croit toujours que c'est la fin  que le mal ne peut donner que le mal et puis encore un truc qui était écrit pour nous et qui arrive. Qui nous relève et nous dit de continuer encore, qu'il est pas encore temps de partir.
Le mal, la destruction, la peine, rien n'est mauvais "ce qui ne te tue pas te rend plus fort". Peut etre pas plus fort. Pour etre heureux il faut avoir était malheureux. Détruire des fois  c'est parce que c'était pas le bon endroit pour ça. Fallait faire ailleurs, mieux.
Ché pas pourquoi j'écris ça.

Lundi 15 juin 2009 à 10:55





http://manon.cowblog.fr/images/photos/rainman.jpg

U
ne morceau de pompe à huile posé sur ma table a manger,
Un petit mot d'une écriture aussi ancienne que celle qui me l'a écrite
"Pour que tu ne déprime pas trop pour le Bac de Français. Courage. Mamie
"
 

Dimanche 14 juin 2009 à 19:09

"Poupée avec l'amour t'as pris la poudre d'escampette
T'as desiré le coup d'foudre t'as dis bonjour a la tempete
Poupée, t'étais cette fille au pays des merveilles
Tu lui a ouvert ton coeur plutot que de t'ouvrir les veines
Je sais, t'as vu en lui ce que seul toi pouvais comprendre
T'étais petite, il était grand il était tendre, je sais
[...]
Poupée t'as debarqué seule sur un quai d'gare
tu venais d'ici, de là bas et t'allais nul part, poupée
 
t'avais de grands yeux bleus mais cernés de noir
C'était peut etre la raison de ton depart qui sait?

lui il a vu que t'étais frêle, que t'étais vraiment dans la merde
il t'as dit t'es trop belle viens je t'emmene, poupée
A cet instant c'est devenu ton mentor,
ils avaient tort les gens, l'espoir existe encore
Tu sais, ton innocence lui a transpercé le coeur
tu étais son evidence il été ton ame soeur, je sais
Rien ni personne ne peut juger les gens qui s'aiment
ni leur desir, ni meme la folie qui les prennent, poupée
Elle était loin cette solitude dans le wagon,
prison dorée t'as pris perpete dan son lacon, poupée
Chez lui c'était le paradis sur terre
[..]
Poupée tu n'voulais pas laisser le temps te demolir
T'avais retrouvé le sourire, t'étais redevenu solide je sais,
Vous etiez deux enfants perdus a l'abandon
Vous etes devenu deux amoureux contre le monde poupée,
Petite sirene, tu nageais dans l'ambulance deambulant parmi les gens
rêvant d'une vie beaucoup moins chiante, je sais

T'avais grandi avec lui et tu mourrai avec lui,
c'était le seul a t'avoir redonné la vie, poupée
ton visage avait retrouvé sa lumiere,
petite fille sage deviendra t-elle une meurtriere, qui sait?
pour ses beaux yeux plus rien n'était impossible
C'etait l'amour du vice l'amour du risque, poupée
Tous les matins il se levait aux aurores, il te disait:
Ma fée je m'en vais juste nous chercher de l'or, tu sais
le monde s'acharne a faire de nous des incapables..."





Je m’attache a des etres en perditions, toujours. Des etres mal dans leur peaux, un peu perdu, un peu a la traine, ou isoler des groupes. Le mal m’attire comme un émant. La force d’un etre me facine. Je tombe amoureuse de l’inverse de mes amis, des etres d’une force qui me fascine, un inacessible amour aussi. Je dois etre une tragédiène, attirer par l’impossible destin d’aimer ce qui n’est pas pour moi. Pour en revenirs a ces etres je prend comme un but de les élevers, de les rassurés, de les faire évoluer, devenir fort, j’y met du temps,et toute mes forces, comme si c’était ma raison d’être, mon role, enfin, dans cette société. Puis je les voit qui s’envol, bien plus haut que je n’avais espérer les voir voler un jour…Et me retrouve seul au sol, a les regarder faire des danses dans l’air, si a l’aise que je ne les reconnaît presque pas.Je ne me suis pas rendu compte que moi, pendant ce temps là, je n’avancer pas. Que moi la grande sœur je pouvait passer a petite sœur. Qu’ils me regarderaient d’en haut un jour, tous envoller a faire des galipettes dans les airs devant mes yeux aux sols souriants...




Vendredi 12 juin 2009 à 15:25

http://manon.cowblog.fr/images/photos/GAd.jpg



Le voir,
Chanter PA PALA PA PA PA comme au stade pendant 10 minutes,
L'emmener dans des délires si loin du sketch qu'il savait plus ou il en était,
Lui faire chanter "Petit oiseau"
Crier, chanter, rire
BREF
Une soirée super

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