Samedi 24 février 2007 à 14:32

    Le blog a été découvert par une amie proche.
J'y ai réfléchi mettre un mot de passe ne servirait a rien et reviendrait à écrire au papier puisque personne ne pourra le lire à part moi.
Pour l'instant je le laisse telle qu'elle.
Déjà parce que je sais que cette personne ne me jugera pas.
Pour le reste je doit encore y réfléchir.
C'est étrange parce que lorsque je passe de mon blog secret a celui connu on dirait que l'on passe du Ying au Yang.
Mon moi Noir et mon moi Blanc c'est très bizzar.
Surtout que j'aime les deux.
Je n'ai pas grnad chose d'autre a dire vue que je ne sais plus trop ques que je peut dire et ce que je ne doit plus dire.

Manon*

Dimanche 18 février 2007 à 21:24

    L'impression de n'etre rien.
Que mon existence et moi même est moche et triste.

Je doit me battre chaque moments contre ma timidité et cette barrière qui refuse de me faire avençait. La flème égallement moi qui avant été si tonique.
Ma chair demande de bouger courir, fraper mais ma tête dit non.
Ma tête en a marre de cette vie pitoillable.
Je voudrais etre , oui simplement etre.
Que l'on me rassure, que l'on me dise que je ne suis pas si nul que sa, que je fait des choses bien comme mes dessins en tout genre ma musique ou mes photos.
Que l'on aime ce que je suis.
Oui je suis égoiste et je veux de l'attention.Parce que personne ne me voit, parce que je suis seule et que ma vie est enuilleuse a mourir.
J'ai peur, peur de vivre une vie sans la réussir, peur de soter un jour puis le regrété...
Si seulement j'était moins seule et si seulement j'était plus normal....

Manon*

Mercredi 14 février 2007 à 20:11

    Au fils du temps sur ce blog.
A le pofiner, écrie ma vie surtout.
 
 
Je m'y sent bien et une sensation de liberté fait de ce blog quel que chose de merveilleux.
La promesse d'une vie meilleurs que la mienne sans doute.
Il pleut sur les carreaux et mon chat ronronne sur le lits.
La douche chaude ma endormie, je suis sur un nuage, loing très loing de tout.
J'adore la pluis.
Depuis toujours je crois. Je me revoit petite courant sous la pluis jusqu'a ce que l'eau atteigne ma peau.
Alors je rentré me sécher.
Je ne sais pas comment expliquer, marcher sous la pluis c'est magique. Un monde paralelle.
Je suis tellement loing que je mélange bonheur et malheur je ne sais plus de quel humeur je suis c'est le flou ...puis cette mélancolie qui revient sans cèsse.
Je me demande à quoi sa rime tout sa.
D'écrire dans le vide des choses que personnes ne prendra le temps de lire.
Parce que les gens sont préser, parce que l'on s'en fou d'une ado en déprime.
Parce que le monde est sourd et est égoïste.
Mes plus beau texte je les ai toujours écrit dans des moments de mélancolie ou de détresse, sa fait bizzar de ce dire que la douleur peut faire de belle chose...
C'est pour sa je pense que je suis sensible au dire des gens sur ce que j'écrit parce que malgrès tout c'est une partie de mon coeur de mon etre et de mon âme que je livre...
Dessin de moi durant les longues heures d'histoire ...
 
Manon*

Vendredi 9 février 2007 à 16:20

    La prof a retourner sa veste.
Elle a juste parler que je la chercher constament et que je semblait vouloir lui parler, sans arriver a dire quoi. Elle a dit que je ne devais pas la confondre avec une soeur jumelle.
C'est vrai que j'ai
souvent appeler ainsi la personification de la  personne à qui je parler sur mon journal intime.
Elle a peut etre raison que je la cherche mais je ne cherche rien à lui dire.Je me suis attacher à elle, ce n'est pas de l'amour comme certain le penserait c'est de l'amour d'une soeur proche, très proche, un coté amie, et un autre maternel. Une mère meilleurs que la mienne.
Je sais je suis dure en parlant de ma mère.
Parce que pour moi ma génitrice je ne l'aime pas comme une mère, je l'aime, oui, mais mon amour maternel reste en suspent comme un enfant attend son père le soir.
En tout cas c'est vrai que je ne devrait pas donner autant d'importance à cette femme.
Malgrès tout je m'y suis attacher et je n'y peut rien.
Les gens comme sa j'en est perdu beaucoup sans en retrouver, alors forcément on s'y acroche lorsqu'on en voit un.
Besoin d'attention surment. L'attention, le regard tendre d'une mère compréansive...
La compation d'une amie et la complicité d'une confidente...

[ désolé petit problème pour les photos: à venir . ]

Manon*

Mercredi 7 février 2007 à 11:09

    Voilà.
Ce sera mon dernière article d'expliquation, de "remise à niveau" de ma vie. Je devrais faire d'autres rappel mais il ne prendront pas des articles entiers je pense...
Au bout des 3 premiers mois de cortisone de mon père, j'ai vraiment réaliser que toute ma vie aller changer et que mon père ne pourra plus jamais faire sa passion...le planeur. Et que mon père ne sera plus jamais le père que j'ai connu. Qu'il sera différent.
Encore en pleine adolescence, je n'est pas encore sur de moi, je me chercher encore. J'était dans une mauvaise passe.
Alors quand la maladie de mon père est m'est "tomber" dessus je me suis enfermer sur moi même, dans ma bulle pour me construire. Me dire qui j'était pour afronter la maladie de mon père, l'axepter et en même temps mieux l'aider...
Je n'était en dépression j'était seule.
Je n'arrivait pas à parler de sa a mes amis ni à qui que ce soit alors je prennait sur moi. Toutes la journée j'écouter les histoires des un des autres (parce que depuis mon enfance les gens aime se confiait a moi et je ne sais pas pourquoi . ) j'encaissait toujour et encore.
J'arrivait chez moi et aider mon père dans toutes les taches de la maison.
Je fesait le maximum et tanter avec peine de lui remonter le moral et c'était sa le plus difficile je pense.
Je donnait tout, absolument tout , sans consétion.
Le soir parfois je pleurer sur mon oreiller et pourtant je tenait et quand j'y réfléchit je ne sais comment j'ai pu faire.
Je voulais, j'en suis sur, dans une toute petite partie de moi, me prouver que j'était assez forte pour tout endosser.

Je suis peut etre forte je n'en sais rien mais ma sensibilité m'avait tellement fait soufrir que je voulais me prouvait que je n'était pas si faible que sa.
J'ai réussi, oui, mais je ne m'érite aucune gloire.
Je n'est pas fait d'exploit. Je voulais protéger mes proches...bref je n'en sais rien.
Lorsque je me suis sentie mieux je suis, lentement, sortit de ma bulle.
Apparement cela n'a pas suffit à ma prof de Français qui "s'inquiéter " pour moi. Cela fait trois moi qu'elle me "arcelle" qu'elle m'obsede avec ses "psy" et "bord de dépression".
C'est faux. Je vais bien, il me faut juste du temps pour me reconstruire.
Bouchés les trous qui on était former même si il restera des balafres.
Mais elle s'obtine à vouloir m'aidait et moi je l'apprécie pour son geste.
Je l"aime" pour ce qu'elle est et pourtant elle me bouzile la vie.
Je la haï quand elle me parle en privé et lorsque je suis chez moi son image d'ange revient sans cesse.
Enfin mon père vient de sortir de sa salle et j'attend son coups fils...
J'ai peur....


Manon*

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