Dimanche 31 mai 2009 à 19:21

"Just to be with you, all my life"
"Elle veut qu'on s'inquiète pour elle
Elle a peur de prendre de la bidoche
Elle panique..."
"Dit moi oui..."
"Do you hear me?
I'm tolking to you"
"Ce monde est fait pour toi, t'endors pas
Ca va aller t'en fais pas"
"I miss you"
"On m'a dit que la vie c'est qu'une étincelle avant l'obscurité
Juste un passage, un arc-en-ciel, une étrange absurdité"
"j'ai manquais d'air, je m'en souvient,
Toutes ces années sans toi sans rien"
"Si moi je suis barge ce n'est que de tes yeux
Car ils ont l'avantage d'être deux"
 


 
...Ne vivre que d'amour


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Jeudi 28 mai 2009 à 22:13

Psy 4 de la Rime - Dans les bras de Gabriel

Parti avant celle qui m'a fait venir
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Parti avant celle que j'ai fait venir
C'est Kassim, ma mort m'a privé de l'avenir,
plus de formules, dans notre circuit les engins n'ont qu'une place,
vachement étroite hélas.
J'sais pas si vous entendez le texte.
J'simule la verité, j'vexe plus que je fais prendre conscience, barbot.
Tout comme Di Caprio j'ai dit au revoir du paquebot,
et lève l'encre, j'ai pensé aller, mais pas retour,
entre les deux extremités y a mes tours, les années, l'amour, la fougue, la pauvreté.
Entre ces deux extremités j'avais le temps d'oeuvrer pour mon retour,
j'suis un cancre,
j'ai négligé le coeur pour nourrir que mon ventre,
ça m'pèse lourd, vu que pour toi p'tit je suis un exemple,
écoute l'homme qui appelle les mains sur la tempe.
(Maman, il est ou papa?) Je suis en voyage le trajet est long,
j'sais pas si j'ai pris assez de bagage, mon trajet est long,
venez pas pleurer sur mon point de départ, non.
Demandez pardon et coupez ce cordon
qui lie mon, existence à la votre,
mon ésprit qui vous hante, sommeil de plomb j'suis votre klaxon.
Filtrer mes emotions c'est mon vivant.
Chaque épreuve a son degré d'effort,
tu pleures M'man, j'te vois, faut pas.

[Soprano]

Il est souvent trop tard
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quand on s'rend compte de ce qu'on a plus,
et ça j'le sens depuis que Gabriel m'a pris le pouls.
On s'prend des jumelles, alors qu'le bonheur est sous nos yeux.
J'regrette tant le temps que j'ai passé à être loin de vous.
Déjà qu'j'suis de nature solitaire,
j'ai mis dans le ventre de mon temps l'rap comme seul ver solitaire,
au lieu d'le consacrer a mes freres qui ne cessent de grandir.
J'éspère que tout ce que j'ai bâti puisse embellir leur avenir.
Nan, m'noyez pas d'vos larmes,
elles n'abreuvent aucune tristesse et ne font repousser aucun arbre.
La vie file à une telle vitesse
qu'elle nous condamne à être des saules pleureurs.
Restez des chênes juste pour mon âme.
Au moins pour tous ces fans sensationnels,
d'ailleur c'est pour eux que dans l'rap j'étais inculpé de crime passionel,
mais aussi pour Street Skillz,
et tous ceux qui ont essayé d'porter les peines d'un être qui n'a rien d'exceptionnel.
Bercez moi avec la mélodie du rire à Maman, que ce moment
soit suspendu dans le temps, éternellement.
J'parle à vous Sakina, Jamal, Zak et Naima,
P'pa, M'man,
Je vous aime en m'endormant.

[Don Vincenzo]

J't'en prie prend ma main, http://manon.cowblog.fr/images/photos/17220909183.jpg
avec toi une derniere danse,
demain qui sait ou je serai, donc j'ten prie, prend ma main.
J'y pense, à cette danse, car toi et moi on vient de loin,
C'est flou comme ce mauvais oeil de loin mais qui souvent vient des tiens.
Une valse avec toi, pour avoir un oeil sur le monde,
sourd et muet comme le regard de la Joconde.
J'ai vu des larmes qui coulent,
et nottament des balles qui tombent,
J'ai vu des mecs cool, et à la fois le sourire de leur ombre,
leur âme s'envole, et leurs silouhettes deviennent sombres.
Et j'pense à ce jour ou on va rompre,

Cette fois il me semble que j'suis pris pour cible,
tout le monde veut sa part, donc l'être humain finit par ne plus etre sensible,
et toi sincère, quand tu m'disais qu'on etait juste des pions,
affamés devant un bout de pain, et qu'on allait se quitter a la fin.
A la fois j'dois etre digne, comme la foi dans ce Din,
Salaam aux pères et frères dont leur âme se perdent au ce cimetierre,
aux frères et autres Muslim, que Dieu vous garde
avant que le retentissement de la fin vous bombarde,
moi il est temps que j'y aille,
donc j'vous tire ma révérence,
j'me taille vers l'Au-Delà, et les corbeaux m'présentent leurs condoléances...

Lundi 25 mai 2009 à 21:56

Mon moral fait de grandes vagues,
Ca va ça viens sans aucune logique. Aujourd'hui je plane, j'ai besoin de contact, de calins. Tout me parait parfait, a sa place. J'ai l'impression d'être la seule a ne pas souffrir de la chaleur. Je la trouve bizzarement parfaite. Copier coller de celle du Maroc. Je suis en harmonie. BIen dans chaque cellule de mon corps malgrès que tu n'y soit plus pour stimuler le tout. Mais tout peu basculer demain, pour rien ou si peu. Avant hier j'étais encore un zombie. Juste pour une stupide promesse que tu n'as pas tenu. Moi et ma pricose des promesses. Certain s'accroche a des "je t'aime" on des blocages. MOi c'est les promesses. Je ne peut rien promettre sans etre sur de l'honnorer. Stupide, puérile. Le soir, seule ton image m'envahie de nouveau. Je n'arrive pas a la combattre, je ne sais pas quoi en faire. Tu me manque? Horrible, déchirant. Ques que je dois faire? T'oublier? Non je ne veux pas. T'aimer? SI risquer... Quel avenir? Ne pas penser a l'avenir penser a au présent, le présent c'est quand tu est la, c'est quand je te revérrais. Esce que tu m'aime? Es ce que tu ne m'a pas oublier? Non ta voix au téléphone... elle était si douce... Tant de filles doivent te tourner autour, sale garce. Il faudrait que je connaisse tes sentiments, partir seraine. J'ai toujours peur de me prendre des coups. J'ai toujours envie de prévoir a l'avance le mal pour m'en protéger. Il faut que j'arrete. Je sais. Je m'enferme en voulant ne plus avoir mal. Regarde moi. Regarde moi comme je fuis moins depuis mon retour. Regarde comment je vis maintenant grace a toi. J'aimerai que tu me voit. J'aimerais que tu sois la.
Tout est si étrange dans ma vie depuis ce jour. Tout a basculer brusquement. Bizar la vie des fois non? Ques que tu attend de moi la vie au juste? J'ai l'impression que tout est tracer d'un coups. Qu'enfin tout a pris ton sens. Ces 15j prévus c'était comme une évidence pourtant ca parait impossible a aboutir. ll faut que je fouille. Que je me batte pour trouver des gens?
Comment oublier en gardant ce qu'il y a bien de toi? Sans ton idée en moi ma vie perd son sens.
Je divague. Je dit trop. Trop vite. Sous le flot des vagues. Comme toujours.
Ca va super, ca va pas du tout. Le baro de mon humeur fait les grands stressser en bloquant en bas, puis en haut.tellet une droguer.
Trop de question trop désitations, trop de peur.
Mais beaucoups d'amis qui rendent la vie belle ici malgrès tout.
Yahya dit moi ce que je dois faire, dit moi a quoi tu pense...

Samedi 16 mai 2009 à 14:53

"Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ;
Et, rose, elle a vécu ce que vivent les roses, L’espace d’un matin."


J'ai voulu te regarder droit dans les yeux par les étoiles, le ciel était voilé, tes yeux me fuillés, pour ne pas me dire la vérité,
J'ai voulu hurler, j'ai voulu pleurer, j'étais vide, comme une coquille cassée
J'ai voulu dormir pour oublier, me suis retrouver dans un coma que j'aurais voulu éternel s'il suffisait de le cueillir,
Je me suis réveiller dans un doute encore plus dur que ma veiller,
J'ai eu envie de vomir a n'avoir plus rien avoir a donner, je n'avais pas faim, tout semblait être horriblement dégueux,
J'ai cliquer avec acharnement sur actualiser, a en péter mon ordinateur, croire que je rêver,
J'ai voulu lire a me perdre dans une autre histoire pour ne plus penser a la mienne, je n'en n'avais plus la force,
Je suis rester immobile et les yeux dans le vide des heures, toute une nuit et toute une matinée, incapable de bouger, incapable de faire un choix pour fuir, un choix pour faire, juste faire quelque chose
J'ai cru sourire en voyant le mal, ton imperméable me coller encore, alors j'ai voulu le jeter et embrasser la douleur, je n'en ai pas eu la force non plus,
J'ai voulu alors me battre comme tu aurait voulu, je n'avais plus envie de suivre tes conseils,
J'ai cru vouloir envoyer des SOS mais les ai effacer, je connaissait les réponses par coeur, elle ne m'aurait en rien aider,
J'ai chercher en vain des explications, j'ai voulu croire en toi, c'était pas possible, pas imaginable.
La dernière fois j'ai douter bêtement, j'ai cru des choses indignes de toi, pourquoi pas encore cette fois? Tu disait toujours que je te juger mal. Je voulais trop prévoir le mal avant qu'il arrive. Mais peut etre que la aussi c'était un mensonge, peut etre que tout l'ai. Comme Vincent, tout est mensonges. Les hommes sont eux même un mensonge? Un songe. Qui fait croire et qui s'efface quand l'espérance est encore si douce? Comment, toi, tu a put me faire ça? Comment j'ai crut autant en ces choses? Pourquoi, pourquoi tu m'a fait tout ça pour te casser après? J'ai des trous de coma, je ne me souvient plus de ce que j'ai fait, la folie a pris mon corps, plus rien de réponder. Déconnecter du monde, de tout ce qui m'entourer. Saoul, shooter, désespérer. Je crois que j'ai fais des conneries. Encore. Je me hais. J'm'excuse. Ca serre a rien mais j'ai plus que ça. Des excuses du fond du coeur pour mes proches d'être si dur a vivre. LE temps n'a plus d'importance. Ni ce que j'en fais. Je l'ai laisser couler a la vitesse qu'il  veut. Je ne le voit plus. Les minutes, les jours peuvent partir au loin, qu'importe? Ques qui a de l'importance au fond? Ma carte d'histoire est raturé, la migraine, je n'arrive a rien. Déjà j'arrive de nouveau a bouger. Un peu. Je vacille et lance les talons aux loins. Le soleil m'importe. La vie la mort le bonheur le malheurs, les progets, l'avenir, les souvenirs. Tout s'envolle comme étranger a moi. Même la nature m'est indifférente. Envie d'arracher tout ce qui passe. Mes cours, mon jardin, jeter la bouffe, le fric, l'argent, l'or, les cd, ma guitare... tout. Je n'ai plus besoin de rien. Je ne veux pas me laver, je ne veux pas tout ces objets autour de moi. A quoi peuvent ils me servirent?
Ca passe dans ma tête est me laisse le visage froid sans expression, les yeux vides sans énergie qui regarde cette rose sécher dans mon cahier...
ta rose, celle que ta donner a moi, Ouarda.
Comment a tu pu..?

Rose, elle a vécu ce que vivent les roses, L’espace d’un matin.


Jeudi 14 mai 2009 à 10:41


Je crois que...
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JE SUIS JALOUSE

trop de fille sur son facebook, j'avoue c'est débile mais j'y peut rien

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