Samedi 27 septembre 2008 à 20:52


"Don't you belive,Girl,
you changed the world, for me"

Change the world finger 11

C'est de nouveaux le calme plat. Le calme après la tempête. Ou le virus qui fait son nid dans tous mon corps. Qui n'en sortira plus. Mais ne vous en faite pas c'est un très bon virus. Je me perd dans des saisons de House entière. Ça m'engloutit. Juste un regret qu'il ne soit pas en anglais, pour mieux s'y croire. La vie passe lentement. J'ai les yeux toujours au bord du cœur mais les nerfs en sont plus éloigner. Je n'ai rien a dire par ce qu'il ne se passe rien. Juste le léger ballotage entre amis et cours interminables... Je n'attend rien. Ce qui en surprendrait plus d'un. Mais ce qui me prouve que c'est bien fort que ce que je n'ai connu au paravant. Différent plus tot. Ma vie est loin d'être moche. Elle a une saveur très légère que ma papille sous les épices n'arrivait plus a sentir. Mon cervaux s'envole sans cesse. Jamais racrocher a un soupcon de réalité. Ce qui est bien c'est que rien n'y parait. Le regard des gens qui me pesai tant s'est évanoui. C'est comme si il n'exister plus rien autour de moi. Je suis dans une bulle inaccessible.
Je suis bien.

Manon*

 

Vendredi 19 septembre 2008 à 22:38


"You are the only one that needs to know
I'll keep you my dirty little secret"

My dirty little secret The all-American Reject



Je pète mon boulon. Un rien m'énerve, pour une phrase j'ai envie de gifler la personne et me tirait. Même mon père m'exaspère... c'est depuis que je sais que je n'irait pas aux states ces vacances. J'ai du plus y croire que ce que je ne voulais. Tout les souvenirs sont revenus a moi. Tout mon courage est partit en fumer. Où est il partit? Je ne sais pas... Je me sent seule face a tout ça. Incomprise dans ce monde ou tout le monde me dit "t'a pas mal a cause de ça quand même??!". Ben si, et personne ne s'en rend compte. Mon père s'en rend compte a ma tête, il devine toujours tout. Mais il ne comprend pas ce qui me détruit. Comment pourrait il comprendre quand chaque contact avec une personne est une épreuve insurmontable pour lui? Au lycée je suis un plein de colère. Du moins je l'était aujourd'hui. Ce soir j'ai envie de pleurer. Quand je vois celle que je deviens, ca me fait peur. Je suis comme morte de l'intérieur. Même le plus grande concentration dans mes cours ne m'enleve pas ce nouveaux sentiment de dépit. Je me fous de tout ce qui peut ce passer dans cette classe, dans ce cours, de ce qu'on y apprend et des gens qu'il y a dedans. Je m'en fou; J'esseille de me souvenir les jours de ma seconde, ceux ou l'on rigoler du matin au soir. Comme d'habitude mes souvenirs m'échappe, deviennent irréel face a mon sandwich et ma grande table vide du foyer. La il y a des nouveaux secondes qui rient sur les canapers du foyer après m'avoir contemplé avec dépit. Un jour, j'était a leurs places... Et pourtant je trouver déjà ma vie pitoyable. On ne se rend compte de son bonheur que lorsqu'il est révolu. Et aujourd'hui je ne veut voir personne, ne plus forcer ce sourrire si mécanique. J'ai envie de m'enfermer dans ma chambre et que personne ne se soucie de ce que j'ai vue que de toute façon personne ne peut ressentir ma douleur. A quoi bon s'inquiter alors?
Oublier le monde et ne vivre que de rève entre sommeil et réalité...

Manon*

Mardi 16 septembre 2008 à 19:23


"Où tu est, J'irai te chercher
Où tu vis, je saurait te trouver
Où tu te cache, laisse moi deviner
T'es sur la baie des anges, surement là-bas mon ange..."
Alter Ego, de Jean Louis AUBERT

Je ne vois même pas mes journées de lycées passer. C'est a peine si je regrette de ne parler a personne dans ma classe. Je me plonge toute entière dans mon cour, comme une enfante bien sage. J'en oublie toute notion de temps, pourtant rien ne m'intéresse dans ses cours. Juste le fait que j'y plonge assez pour que le temps passe vite. J'en oublie même qui a eu le courage de s'assoir à côté de moi. Parfois je me rapelle qu'il y a bien quelqu'un a côté de moi. Pour éviter de frustrer ces personnes qui n'y sont pour rien finallement je sort quelques questions, deux trois phrases. Tout retombe à plats. Forcément je n'écoute même pas la réponse. Je doit être devenue complètement asociale. Mais ques que cela peut bien faire finallement? Il ne reste que les meilleurs. Ceux qui se sont incrustés au début alors que je leurs tourner le dos, ceux qui m'ont tirer les vers du nez, et qui ont bien fait. Puis il y a ses amércains qui me font pleurer a chaqu'un de leurs mails. Je n'ai jamais été autant adopter de ma vie. Je n'ai jamais été autant écouter, entourer, cajoler, comprise... Et toi... le plus ange entre les anges qui m'accompagner partout, tel mon ange gardien, qui me tenait toujours la porte malgrès mais protestation (I'm not a princess!), qui me caressait les cheveux durant des heures en dessendans lentement vers le cou et mon visage quand tu sentait que je pensait bien trop tot a mon retour en France. Tes yeux noisettes qui devenait mielleux quand je te chatouiller, l'absolue inatention que tu préter au autres personnes. Tout ces jours ou tu était faché contre ta famille entière, moi qui avait peur que tu m'en veille aussi pour je ne sais quel raison, ton regard qui croise le mien, et ton sourire franc, étonné mais heureux qui fleurissait sur tes lèvres... Karla, ma meilleure amie de là bas, qui tien tout mes secrets, qui  me téléphonner juste pour me chanter la chansons d'Edit Piaf qu'elle venait juste d'apprendre au lycée. Elle qui m'a inviter a sa fête sans même me connaitre, et ne ma pas laisser seule une seule fois, vue que je ne connaissait personne. Son sourire et sa simpliciter. Tout ses petits mecs qui me laisser toujours la place pour jouer avec eux a des jeux vidéos ou j'était totallement nul. Tous et toutes avec leurs gentillesses natuelles, leurs compliments constants. Même mon anglais médiocre devenait dans leurs bouches " So nice accent!"... Même la pire de mes bétises qui aurait put couter 2000$ était "No problems! We love you!". J'en pleure encore. Comment font-ils? Comment ne pas les aimer au point de ne jamais pouvoir les quitter?
Mais j'ai une vie ici, j'en suis conciente, ma famille, mes amis, les endroits qui ont bercés mon enfance, ces odeurs et ces repères... Je crois toujours que je ne vais plus souffrir en voyagant, faire comme tout le monde, être ému par un paysage et repartir en me disant avec envie que je vais retourver ma petite france. Mais c'est le contraire, j'éparpille les pièces de ma vie et de mon bonheur au fils de mes voyages. Mais ces pièces sont de gens, je ne peut les rameners en un seul endroit désormés. Je suis condamné a vivre sans une partie de mon bonheur. Ou a oublier que l'autre partie existe, quelque part, au lointain. Peut être les étaient-elles déjà éparpier à ma naissance, et que je devais les trouver... Mais que faire maintenant?
Attendre... toujours. Ma vie est une attente sans fin.
Mon prof d'eco est sexuellement insuportable! Comment résister? Je n'arrive plus a suivre son cour tellement mon esprit vagabonde dans des proget fou avec lui. Un coups je me voit en tête à tête avec lui a la cantine, sa main sur la mienne. un autre au fond d'une salle vide ou je déboutonne sa chemise chocolat entre deux baisers enflammés, un autre encore chez lui avec son bébé dans les bras et moi dans le siens...
Une vrai torture!
Je vous laisse je me suis bien trop lacher ce soir.

Manon*

 

Samedi 13 septembre 2008 à 18:04


"Ils ne vivaient plus, Ils étaient seulement en vie"
L'enchanteur de BARJAVEL

J'ai mal a la tête depuis l'évènement de jeudi. Ce matin ça a empirait. Tel un étau qui écraser le cerveaux. C'est le choc il parait, je me défend pour être blinder en cas d'attaque nouvelle. Il va falloir que j'aille voir mon ostéopathe de nouveau! Pour l'instant le médecin m'a mis sous haute dose de tout les calmants de la douleur qui existent et un anti-stress... Autant vous dire que je suis shooté aujourd'hui! Ma vie de lycéenne change complètement en ce moment. Vue que personne ne me parle: Je ne parle a personne! Et donc écoute chaqu'un de mes cours. Je crois que c'est la première fois de ma vie que je prend un cours du début à la fin ! Ca m'aidera sans doute dans mes notes... Je fais tout mes devoirs aussi. Nouvelle nouveauté mais pour une autre raison: Ca m'empèche de penser. De me rappeller l'avant. Me rapeller a quel point j'était bien la-bas. Je ne cherche pas a oublier, juste a y pensre le moins possible, laisser ce souvenir en un brouillard léger qui me laisse faire passer le temps a toute allure sans chercher plus du present, n'etre là que pour le minimum. Si j'y pense c'est encore trop fort, je me replit contre moi même, les bras autour du corps, je n'arrive plus a bouger, je tremble. Ce qui me fait le plus de bien c'est de voir que mes amis ne se tirent pas comme j'en avait eu peur. On se voit dès que l'on peut, on mange ensemble, bouffer d'oxygène. Il n'ont pas trouver des amis mieux pour l'instant ! Et rien n'a changer, on parle toujours autant, on ne s'est pas éloigner malgrès les différences de classes. Ca fait du bien. J'avais eu peur de recommencer a zéro, pour trouver quoi?
Je mégare. Je suis un peu perdu. Comment faire un texte structurer lorsque l'on se perd sistématiquement?
Jusqu'a aujoud'hui j'avais l'impression constente de toujours devenir mieux que celle que j'était avant. Aujourd'hui j'ai l'impression de régresser. D'avoir tellement voulu devenir l'image de ce que je suis que finallement je suis devenu son contraire.
La perfection n'exite pas. La perfection était dans les yeux de quelqu'un d'autre.
Sauf que j'ai perdu de vue cette éclat.
Et je ne suis plus moi.

Manon*

Jeudi 4 septembre 2008 à 19:20


 
"Quand la vie vous a fait don d'un rêve qui a dépassé toutes vos espérances, il serait déraisonnable de pleurer sur sa fin"
Stephenie MEYER Facination



Ça y est, la rentrés est déjà passée. C'est a peine si j'avais aperçue que la précédente était fini. Depuis mon retour des US je n'ai plus aucune notion du temps. Tout défile devant mes yeux sans que je m'en rende compte. Pour la première fois je rentre sans me forcer. Je me fiche de plaire ou non au gens. Je me fiche de leurs jugements à mon égart, de leurs regards de travers. Je n'arrive même pas à me forcer à sourire. C'est presque troublant. Je me regarde sourire dans le miroir et ça me parait tellement faux. Mes yeux ne répondent pas a ce sourire. Ils ne sont pas présents. Je ne suis jamais présente. Je n'arrive à m'accrocher à aucune conversation. Le fil m'échappe inévitablement. Puis je retombe, face a mon interlocuteur sans savoir de quoi l'on parlait, déjà. Pourtant je suis entouré, et pour la première fois depuis longtemps je me rend compte a quel point bien. Mes amis vont me manquer terriblement et je ne serais pas si heureuse sans eux. Ces trois filles particulièrement a qui je peut me confier comme a personne. Puis ma famille, mon père particulièrement, puis le retour d'une mère plus attentive, plus compréhensive... Beaucoup d'espoir qui devrait me poussait a être au vivant, présente. Mais rien n'y fait. Je ne suis pas la. Je ne le suis jamais.
Je me trouve stupide.
Moi qui pensait connaitre ça tellement, qu'il serait facile de lutter...

Manon*

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