Dimanche 27 avril 2008 à 19:00

Extérieur: "tu n'a pas trop mal? Oh ma pauvre! et l'opération?

5heures!! Mon dieu.. De mon temps..."

Intérieur (de mon coeur): Le sang passe et toi tu t'accroche

    Je fuit dans la chambre vide de Kévin. Prétexte de DS commun de math. Brigitte qui se plaint constament+ sa mère la pipellette qui est choquer de tout+ son copain qui parle tellement mal que je ne comprend pas = fuite obligatoire ! Je recopie mon carnet de voyage. Cela début en 2005. Seul voyage que j'ai fait totallement seul avec mon père. La liberté total que donnait le camion refflut dans mes veines. Comme quoi je n'ai jamais était faite pour le stable et le fixe. Certaines expressions de gamine me font rire. Ainsi que mes fautes d'orthographes !! Je souris. Heureuse d'avoir réussit quelques choses autre qu'avec mon physique. Avec mon mental. Le sourire disparait. Parce que c'est grace à toi ce progret. Première penser à toi depuis un 3 semaines. N'ai même plus l'envie de te voir. Plus la force de te pardonner ton abandon. J'écrit en me perdant dans mes mots de gamine de l'époque. Je finit mon voyage par une conlusion qui me laisse pensive. Je fixe le coeur serré cette petite phrase de rien, bourré de fautes impensable:

"Nous qui étions si libre, retournons à la prison" La prison oui.

Aujourd'hui encore je le voit de la même façon cette France qui m'accueil à chaque retour. Je crois que ça c'est même accentuer avec le temps et que cela s'accentura encore. Je doit partir.

Absolument.

Vincent est de retour. Par texto. Veut qu'on se voit. Ca me saoul. Et me fait plaisir à la fois. D'avoir de ses nouvelles. Pas envie de le voir. Toutes ces histoires de mecs me saoul. Je ne sais plus qui est quoi pour moi. trop de pression, trop complications. Pas envie de me faire des pretextes. Après un an j'en suis plus à ça. J'y arrive pas c'est tout.

Manon*

Jeudi 3 avril 2008 à 20:23

Extérieur: Le bordel, les notes, l'envol

Intérieur (de moi): La fuite total

     Je fuis. Je fuis tout en fait. Ma fallut du temps pour le comprendre. Ben oui longue à la détente. Je fuis surtout l'amour. Horrible fait. Que je réalise aujourd'hui. Ca me dérange. Comme on évite la peste. Pourtant des mecs m'attirent, me poucent carrément à l'incroyable... Mais je bloque. De peur? De flème de tout recommencer à zéro? Reconstruire? Et accepter enfin que oui je dois passer à autre chose? Oui. En plus du paquet déjà lourd. Mais le plus bizzar c'est que même ceux qui ne m'intéresse pas, du tout, du tout, du tout  (lol on sait pas qui sait ca ! :p) ca me gène aussi... Ca me met en boule. Ca me ronge. Je fait de l'allergie. De l'allergie à l'amour...Pratique ! J'ai peur de me lancer. Surtout que j'ai jamais des sentiments plus que flou en ce moment. Toujours un qui fait basculer l'autre au dernier moment. genre "T'es tout palle ca va?" me tire doucement vers lui me serre contre lui "Maintenant ça va...". Horrible. Le coeur qui se retourne. Se vrille. Les limites qui craquent. Le ventre qui réclament. Me pouce à plonger. Dans l'odeur. Dans les bras. Non arrete. Partir. Sans être brusque. Pour pas risquer de sombrer"Je rentre en cours...". L'autre qui m'échapper des doigts. Dans les bras d'une autre. Encore. et toujours son regard qui me ratrappe. Me fait me relever. Faut que j'arrete. De m'accrocher pour rien. Et Lui* qui est amoureux. D'une fille qui s'en fou. Pas de moi. Même si il casse qu'esque ca donnera? Le même shéma que j'ai déjà vécu? Remplacement de la princesse? non plus jamais. Il faut que je fuis au moins ça. Je peut plus tenir un second rôle. Trop dure. Je fait quoi au milieu de tout ça? Et toi, si loin? Toi tu m'aurai aider. Toi tu te bart. Quand tout bascule. Partit de poker la vie. Passe du tout au tout. Sauf que dans ce pocket je sais pas bluffer. J'y joue toute entière. A quitte ou double. 

Manon*

 

Mercredi 27 février 2008 à 19:00

Extérieur: Nuit déjà...

Intérieur (de moi): Voudrait s'échapper

Désespérément

     Et bien voilà cela fait plus d'un an que ce blog existe. Un an déjà. Presque 100 articles. Drole. Passer vite. Trop vite? Passer devant mon (ancien) collège. Bizzar. Le prunier en fleur, rempli d'odeur de...toi? Inspiration ce soir d'écrire. Cela fesait longtemps que je reporté l'action. Je fuillais le clavier. Comme une peur de ce que je suis capable d'écrire. Perdu l'équilibre. Boussole brouiller. Ca tourne ça vire sans jamais ce désider sur un nord bien précis. Je vais peut etre partir à paques. Desert (et pas dessert pour les gourmands! ) et Maroc probablement. Puis surement San Francisco pour cette été. J'ai hate. Envie que ça se concrétise. Que je vais enfin partir. Oublier. Reprendre un cap et lever la tête. Pas que je sois très malheureuse. Juste...perdu? Toujours cet main que je chercher dans les draps glacée. Désespérément. Une main sans nom. Un homme sans visage. Mais un corps. Une chaleur qui casse ce froid mortel. Pas envie qu'il revienne malgrès ce que je peut dire. J'idéalise. J'oublie volontairement mais je sais. Pourtant je cherche. Cet main qui me hante. Tu va pas bien. Pas bien du tout. Tu parle pas. Normal. Tu fait toujours ça quand ça va au plus mal. Fermé. Pire que tout. Acheter plein de bouquins samedi. Télécharger 9 films. Je m'enivre d'images, d'au-dela. Je me fuis. Parce que je ne m'assume pas. Pas du tout. Ma pire énemis c'est moi.

Sur ceux, je vous laisse.

Manon*

Vendredi 25 janvier 2008 à 18:03

Extérieur: Ses "mademoiselle"qui sonnent en "Ma demoiselle"
Intérieur de moi: L'aurore

     C'est une magnifique journée...Vite un article !
Les textos, les amis, le calage, lui, ... Tout. On envoi en l'air les prises de têtes, le
manque cruel de sommeil et les pressions. On se shoote, on déconne. Puis je rentre chez moi, la douce mélancolie et le I-pod visser dans les oreilles. En défaisant ma valise, une petite enveloppe pleine à craquer est posé discrètement sur le coté façon "papa". Sourire.  On voit qu'elle à bien voyager avant de m'arriver. Date: trois semaines qu'elle est partie. Je reconnaitrai cette écriture permis toutes. 4 cartes postales. Plein de textes. Je pleurs j'ai des frissons. C'est magique. Incompréhensible et indescriptible. Je relis, encore et encore cette enfilade de mots. Je ne mérite pas tout ça. Tout ce bonheur là. Les gens me sur estime... Je ne suis pas si bien qu'ils prétendent que je soit. Je ne mérite pas un homme. Je ne mérite pas ces amis. Je ne TE mérite pas.
Pourtant ils sont tous là. Parfois je ne m'en rend pas bien compte. Aveuglé par le mal que mon père me fait avaler parfois. Ce père qui reste pourtant la personne que j'aime le plus au monde et ça je crois que c'est indestructible. C'est une fusion. Tout ce qui me reste de puissant de ma famille détruite. C'est ma vie. Qu'il soit détruis. Qu'il ne soit plus le même homme que j'ai connu... Cela ne change rien. Cette complicité est la même. Ce pouvoir de comprendre sans rien dire. Ce doute qui ne survient jamais. Cette façon de me prendre dans ces bras lorsqu'il sent que ça va pas. Il me détruit parfois c'est vrai. La fusion c'est aussi sa.
Quand il tombe je plonge aussi.

'Mon sushi à moi ! ;) "
Manon*

Mardi 15 janvier 2008 à 19:11

Exterieur: Prof suicidatoire

Intérieur de moi: Manque cruel

     J'hurle ce soir. Je pleurs. J'écris. Je tape. Je me cogne partout et laisse tout tomber. La chambre sans dessus dessous. Je craque. J'explose. Pourquoi je retient tout ça? En moi bien enfouit par mes rires. Par mon sourire. Gout d'année dernière. Je suis écorcher de partout putain. Les profs, les nuits, les cours, l'ennui,la fièvre, les urgences, le stress. résutat de mes deux dernières jours. Je sais même plus le gout de l'amour Je me perd. Es-ce que je l'aime en fait? Je ne sais plus quel est la part du besoin et de l'amour. Je sent de nouveau cette force, cette attirance des corps qui pourrait me faire jeté dans les bras de ceux qui s'approche un peu trop près de moi. Controle de moi même. Je suis en manque. En manque de corps. De bras bien viriles qui vous enlace si violament. Si fougueusement dans une ultime étreinte.  En manque de baisers brulants dans le cou. En manque d'affection et de caresse. Je me souvient de cet ancien homme à mes cotés. Je le regrette. Parce que lui je l'aimais vraiment Je l'aimAIS. J'ai peur de me tromper. De céder au desir et me faire décevoir par la réalité. J'ai peur de me faire avoir. Des bras ça détruit aussi parfois.

Je le sais trop pour ne pas me méfier...Pourtant voilà

Manon*

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