Dimanche 14 juin 2009 à 19:09

"Poupée avec l'amour t'as pris la poudre d'escampette
T'as desiré le coup d'foudre t'as dis bonjour a la tempete
Poupée, t'étais cette fille au pays des merveilles
Tu lui a ouvert ton coeur plutot que de t'ouvrir les veines
Je sais, t'as vu en lui ce que seul toi pouvais comprendre
T'étais petite, il était grand il était tendre, je sais
[...]
Poupée t'as debarqué seule sur un quai d'gare
tu venais d'ici, de là bas et t'allais nul part, poupée
 
t'avais de grands yeux bleus mais cernés de noir
C'était peut etre la raison de ton depart qui sait?

lui il a vu que t'étais frêle, que t'étais vraiment dans la merde
il t'as dit t'es trop belle viens je t'emmene, poupée
A cet instant c'est devenu ton mentor,
ils avaient tort les gens, l'espoir existe encore
Tu sais, ton innocence lui a transpercé le coeur
tu étais son evidence il été ton ame soeur, je sais
Rien ni personne ne peut juger les gens qui s'aiment
ni leur desir, ni meme la folie qui les prennent, poupée
Elle était loin cette solitude dans le wagon,
prison dorée t'as pris perpete dan son lacon, poupée
Chez lui c'était le paradis sur terre
[..]
Poupée tu n'voulais pas laisser le temps te demolir
T'avais retrouvé le sourire, t'étais redevenu solide je sais,
Vous etiez deux enfants perdus a l'abandon
Vous etes devenu deux amoureux contre le monde poupée,
Petite sirene, tu nageais dans l'ambulance deambulant parmi les gens
rêvant d'une vie beaucoup moins chiante, je sais

T'avais grandi avec lui et tu mourrai avec lui,
c'était le seul a t'avoir redonné la vie, poupée
ton visage avait retrouvé sa lumiere,
petite fille sage deviendra t-elle une meurtriere, qui sait?
pour ses beaux yeux plus rien n'était impossible
C'etait l'amour du vice l'amour du risque, poupée
Tous les matins il se levait aux aurores, il te disait:
Ma fée je m'en vais juste nous chercher de l'or, tu sais
le monde s'acharne a faire de nous des incapables..."





Je m’attache a des etres en perditions, toujours. Des etres mal dans leur peaux, un peu perdu, un peu a la traine, ou isoler des groupes. Le mal m’attire comme un émant. La force d’un etre me facine. Je tombe amoureuse de l’inverse de mes amis, des etres d’une force qui me fascine, un inacessible amour aussi. Je dois etre une tragédiène, attirer par l’impossible destin d’aimer ce qui n’est pas pour moi. Pour en revenirs a ces etres je prend comme un but de les élevers, de les rassurés, de les faire évoluer, devenir fort, j’y met du temps,et toute mes forces, comme si c’était ma raison d’être, mon role, enfin, dans cette société. Puis je les voit qui s’envol, bien plus haut que je n’avais espérer les voir voler un jour…Et me retrouve seul au sol, a les regarder faire des danses dans l’air, si a l’aise que je ne les reconnaît presque pas.Je ne me suis pas rendu compte que moi, pendant ce temps là, je n’avancer pas. Que moi la grande sœur je pouvait passer a petite sœur. Qu’ils me regarderaient d’en haut un jour, tous envoller a faire des galipettes dans les airs devant mes yeux aux sols souriants...




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