Samedi 24 octobre 2009 à 19:41

Il suffit que je relise quelques lignes de notre histoire pour que tout me revienne.
Ta présence m'a manquer mon ange. Cela fais un moment que je ne te sentais plus si près que ça. Je t'avais perdu de mes pensées, éloigner pas le doute que d'autres m'ont fait avaler. Tu étais partie au loin mais je relis "Tu ne seras plus jamais seule". Je ferme les yeux, et je te sent près de moi mon ange, tu me chuchote et tu m'embrasse. Douce illusion. Une illusion que tu m'a promis. Je dois devenir folle. Je te prend pour mon double. J'ai peur d'écrire et de me dire "Quel cloche" des mois après quand tu seras définitivement loin de moi. Le moment où je douterais même de ce texte, de ces souvenirs que je n'arriverais plus a faire ressortir de mon cerveaux a mes sens. Mon coeur j'ai peur de te perdre si tu savais. J'ai peur d'oublier à quel point j'ai put être heureuse et d'être engloutir par ce rythme tiède de vie. Car ici il est tellement facile de t'oublier. Rien ne me ramenne a toi a part la musique. Rien ne prouve que mon rève à belle et bien exister quelque part dans le Maroc, quelque part dans une chambre, avec toi. Que tout était vrai. Ici mon corps fini par croire plus au rêve qu'a la réalité. Mais ce soir tu est là, ca me rassure. Un soir de sauver. J'hésite a donner la lettre. Si je part ses mes amis que j'abandonne, soirée tellement attendu, tellement importante pour moi comme pour elles. Peur aussi. De me tromper sur tout. M'aime tu toujours, habibi...? Ou n'as tu plus la force d'y croire, de chercher quoi dire sur un texto, tout comme moi? Encore cette putain d'envie que tu soit ici, en France. Une vie banale, d'un couple banale. Un maroccain et une française, rien de choquant. De jeunes fous amoureux, étrangement similaire sur tout point de vue. Une Manon au masculin. Qui aurait cru que ça exister. Reste. Reste encore malgrès les difficultés. Ne pas penser au futur. Seulement au présent. La maintenant. Le présent c'est quand tu est là. Tant que tu est là, le futur ira bien. Je n'aurais jamais cru que les liens du corps me face faire tout et n'importe quoi. L'abandon est un mot banis depuis ce fameux jour en ce qui te concerne.
Je voit ton regard, caramel liquide, es-ce possible que tu ai oublier?
Nbrik...


http://manon.cowblog.fr/images/howel5calc.jpg

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://manon.cowblog.fr/trackback/2922201

 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast