Lundi 5 avril 2010 à 22:03



       Je ne sais comment commencer ceci, chttp://manon.cowblog.fr/images/orchidee.jpgar il n'y a ni de début, ni de fin à ceci.
Tout n'est que trouble et incohérence, sans logique, comme bercé par un flot liquide inhéxistent d'un monde inexistant. Je regardais la route, ou bien une autre? Je ne me souviens plus. Ni du moment ni de celle par lequel je voyais un disque jaune quelconque raser de ses lumières dorées la campagne qui semblais familière à celle que j'habiter. Du moins si le "je" est plus conventionnel qu'autre chose, car il n'existe de pronoms personnels pour le néant. Que suis-je? Quel visage peut ressemblais au néant? Quel irronie!
Pourtant elle regardais ce monde calme et beau sous des air d'une musique, sans entendre les paroles, ou sans arriver à comprendre le sens d'une chose qui étais pourtant sa propre langue. Ou peut être qu'elle comprennais mais que ce n'étais que moi car elle retenais quelques larmes tandis que  la femme qui conduisais et lui décrivais semble-t-il les vérités du monde. Elle non plus  je ne la comprennais pas.
Elle s'est affaler sur une chose molle, douce et verte, sans prendre la peine de parler a son père, de tout façon il ne la regarder pas, absorder dans un problème que je ne saisit pas et probablement pas même elle, elle n'avais pas vraiment chercher. Des phrases, des mots et des silences... des images, des sentiments et des déchirures... des regrets, des pleurs et des peurs. Tout mon néant fut ensevelit par tant de de non-dit. Il est dit que le premier amour est le dernier et je savais qu'elle le perdais. Les sourires menent toujours aux larmes. Sans doute trop de larmes pour si peu de sourrire. "Il aimais la mort, elle aimais la vie. Il vivait pour elle. Elle est morte pour lui" Pourquoi toute ces phrases m'assaillais? "Si tu ne m'aime pas alors qu'ils me trouvent ici."  Shekespeare étais en moi, il étais dans sa tête. Il étais la lune, il étais l'océan de larmes, il étais le plus puissant des rêves, il étais... le héros de sa prison d'argent et son geolier à la fois. Car elle étais prisonnière par des chaines invisibles mais inviolables. Quelques chose la retenais en cette endroit, dans ce point precis de cette univers, de cette dimension,de ce moment tandis que pour une raison inconnue une urgence, un cri, la poussais ailleurs. Qu'es qui étais dehors, qu'étais les mots, les choses? J'oublier tout, les noms, les synifications, les buts de chaques petites particules de ce monde, le trouvant de plus en plus flou mais aussi de plus en plus unis. Rien n'avais de sens ni même de raison car il n'y avais rien à comprendre. Ni bonne ni mauvaise décision, car au fond c'étais bien ce qui l'emprisonner, le choix. Trop fondamental, trop primordial pour arriver à le faire. Non il n'y avais pas de décision, que des choix, des déchirements, quoi qu'il en advienne. Pourtant aucun choix ne s'imposais et ne s'imposeras jamais. Elle as fait trop de mal autour d'elle et dois encore en faire. Elle as aimer et ne pourras plus désormais. Elle dois vivre, malgré l'horrible sentiment d'être morte déjà trop de fois.
Elle se souvient d'un crépuscule, d'amis autour d'une table basse a manger des choses. Elle se souvient des voix, elle se souvient de ne pas arriver à faire semblant, elle se souvient d'avoir fait la fière pour masquer malgré elle la peur mais surtout... surtout du souvenir ou l'un deux avait parler a une petite boite noir dans une autre langue, une qu'elle aimait et détester à la fois, une qui lui avais manquer. Elle étais sa maladie et son remède à la fois, elle sourrit alors qu'elle avait plus mal sue si elle avais subit les peines du monde réunis. J'aurais voulu lui arracher le coeur pour qu'elle puisse écouter sans souffrir. Puis un nom qui lui murtrie la poitrine pour la ravaler, des souvenirs qu'une autre parler, des endroits connus et des récits ressemblants a tant de ceux dits dans les endroit de sables.
Elle se souvient des mots, elle se souvient des gestes tandis que moi, je ne suis rien. Insignifiante insinifiante de la nature, sans nom et sans passé ni futur. Je l'ai quitter.
Il n'y a pas de fin à cette histoire. Pas de moral. Seul les survivants de la tempère peuvent en raconter l'histoire. Moi j'ai fuit avant.
Sans doute n'y a t-il point de fin, car... au fond... tout est.... néant.

La discussion continue ailleurs...

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