Tout n'est que trouble et incohérence, sans logique, comme bercé par un flot liquide inhéxistent d'un monde inexistant.
Pourtant elle regardais ce monde calme et beau sous des air d'une musique, sans entendre les paroles, ou sans arriver à comprendre le sens d'une chose qui étais pourtant sa propre langue. Ou peut être qu'elle comprennais mais que ce n'étais que moi car elle retenais quelques larmes tandis que la femme qui conduisais et lui décrivais semble-t-il les vérités du monde. Elle non plus
Elle s'est affaler sur une chose molle, douce et verte, sans prendre la peine de parler a son père, de tout façon il ne la regarder pas, absorder dans un problème que
Elle se souvient d'un crépuscule, d'amis autour d'une table basse a manger des choses. Elle se souvient des voix, elle se souvient de ne pas arriver à faire semblant, elle se souvient d'avoir fait la fière pour masquer malgré elle la peur mais surtout... surtout du souvenir ou l'un deux avait parler a une petite boite noir dans une autre langue, une qu'elle aimait et détester à la fois, une qui lui avais manquer. Elle étais sa maladie et son remède à la fois, elle sourrit alors qu'elle avait plus mal sue si elle avais subit les peines du monde réunis.
Elle se souvient des mots, elle se souvient des gestes tandis que moi,
Il n'y a pas de fin à cette histoire. Pas de moral. Seul les survivants de la tempère peuvent en raconter l'histoire. Moi j'ai fuit avant.
Sans doute n'y a t-il point de fin, car... au fond... tout est.... néant.