Vendredi 16 janvier 2009 à 22:55


"C'est de l'antagonisme que naissent la beauté et la richesse."
Il était une fois peut être pas Akli TADJER

http://manon.cowblog.fr/images/photos/AkliTadjer.jpg
 
Je m'allonge avec bonheur dans mon cocon de chambre. Heureuse, simplement. Parfois je me demande comment en étant si facillement satisfaite de si peu je peut être si malheureuse le reste de la semaine. Le lycée m'achéve cette année. Il me bousille le moral. Pourtant rien que l'idée de le quitter me hante. Le bus et ses moments de songeries qui m'ont si souvent aidée sous un air des psy4... Je suis épuiser. Je tremble comme une feuille depuis 5h du soir. C'est ainsi que mon corps a toujours manifester la fatigue extrème. Ma seconde soeur s'est égallement confier sur le fait qu'elle s'en voulait de ne pas passer plus de temps avec moi... Je me sent vraiment insensible comparer à elles. Le désir de liberté et les multiples blessures me force sans cesse a repousser toute attachement. S'attacher c'est s'emprisonner. Combien de fois cette phrase m'est revenu? Je me rend compte grace à elles a quel point cette règle est a appliquer avec modération. La télé lance de nouveau le sujet si sensible dans ma famille, l'audela, les médiomes, les rêves prémonitoires. Je tremble deux fois plus, déjà les larmes aux yeux. Les mêmes histoires de famille reviennent qui sont si interessant mais si effrayante pourtant. Je ne sais pas pourquoi cela ma perturbe autant. Ce n'est pas vraiment de la peur. Je ne sais pas vraiment décrire ce sentiment. Je tremble et j'ai envie de pleurer, pleurer, pleurer comme une Madelaine. Moi qui ai tant de mal avec les larmes! Mais ce sujet c'est automatique. Je repense a tout mes rèves. Ces rèves horribles de meurtre. Dès l'age de 3 ans. Je part dans mes pensées, de souvenirs. La mort. Tojours ce même thème. Pourquoi? J'esseille de ne plus y penser. Parce que je sais que sinon la nuit va être longue. Le lycée, l'avenir, le code... encore des sujets a évités. Y'a un amas dans ma tête de choses que je ne suis jamais arriver à écrire ne serai-ce que sur un morceau de papier, pas même à murmurer tout bas. Il y'a a tant de choses qui me hante et remonte en même temps à la surface. J'étouffe. Je me sent rejetter par ma classe. J'ai envie de fuir. Je n'aime pas les gens sans doute parce qu'eux non plus ne m'aime pas. Je coule sans savoir quoi faire. Je ne sais plus quoi faire de deamin pour qu'il soit mieu remplit d'espérance. Je ne sais plus comment aider mon père. Je ne sai splus comment gérer ma vie. Je ne sais plus aimer. je ne sais plus prendre de choix. Je ne sais plus travailler, me concentrer. Je ne sais plus vivre. Je ne sais plus faire la fête. Je ne sais plus faire de l'humour. Le plus étonnant est que ce qui me reste est une chose que j'ai peu connu dans ma vie: de la détermination. Et ca me réussit. J'apprend le piano a une vitesse vertigineuse avec détermination et obstination. comme une prenve de ma valeur, une leçon que je veut donner a moi même pour me prouver que je vaut quelque chose lorsque je le veut. Me rassurer sans doute pour la fac... qui me désespère plus que tout.  Et pourtant demain je dort et j'ai une tonne de desperate a me faire durant la nuit. Et rien que ça me fait sourrire, et tout d'un coup je me sent bien. Dans le calme, dans mon univers. J'ai l'imprestion de posséder le temps. De me dire que j'ai le droit de croire que le temps guérira mes blessures.
Je devrais voir un psy selon vous?

Manon*

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://manon.cowblog.fr/trackback/2769777

 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast