Dimanche 5 avril 2009 à 18:51

"J'étais une coquille creuse.
A l'instar d'une maison vide, abandonnée, j'avais été inhabitable durant des mois.
J'allais vaguement mieux, à présent - le salon était en meilleur état.
Mais ça n'étais que cela: une unique et toute petite pièce.
Jacob méritait mieux qu'une masure délabrée à restaurer.
Il aurait beau déployer des trésors d'énergie, il n'arriverait pas à me retaper.
[...] J'avais été cassée au-delà du réparable."

Tentation


Ce fut le cauchemar que j'avais imaginer, en pire même je crois.http://manon.cowblog.fr/images/photos/576264045.jpg
Il était là. Les rares millièmes de secondes ou mon regard se posa sur lui me déchirait ma plaie béante. Non ce n'était pas lui, il n'avait pas le même nom même si la prononciation aurait une similitude si troublante. Lui était dragueur, exubérant. Pourtant chaque cellule de mon corps le retrouver, le reconnaissait. Je pensais rêver. Je le sentais si présent, si proche. Quand il m'a effleurer de sa chemise fraiche et que son odeur s'est disperser en moi j'ai cru que la crise de panique aller me reprendre. J'avais tellement mal que j'ai cru ne plus jamais arriver a reprendre mon souffle. Le pire et que cette homme la ne me voyait pas, le seul de toute la soirée qui ne m'a pas vue, tel un fantome. Je le regarder danser en carressant les cheveaux de marie caroline endormit d'alcool. J'ai cru pleurer. Je n'ai pas tenu plus d'une seconde tellement sa vue me bruler les yeux. Il est le même mais son contraire. Le vrai ne voyait que moi quand les filles lui fesait les yeux doux, il était incontient de ce qui se passer en dehors. Lui draguer, à l'aise, sans jamais me voir. J'ai cru voir celui que j'aime vivre sans moi. Celui qu'il est peut être a des miliers de kilomètres. Et pour la première fois cette idée je l'ai vraiment sentit. Quand mon corps a faillit se mettre en boule pas mes tremblements alors que j'essailler de la controler il m'a enfin regarder. Un regard étonner. J'ai cru qu'il m'avait reconnue. Par delà d'aucune logique vue qu'on ne s'est pas connu. ce regard a durer une demis seconde avant de s'évanouir dans un rève inachever. J'ai imaginer un plan de chaufeuse et l'embrasser pour qu'il comprenne enfin. Mais ai bien sur renoncer. Conciente de la folie de mon imagination. Sa voix suave ma enivrait le temps de la soirée en coupant chaque fois un petit point de suture sur l'immensité de ma blessure, laissant pisser les sang a son aise. Pourtant je m'en foutais je le laissait faire seulement pour avoir un peu de Sa vois avec moi. Celle qui était toute près de moi avant. Dans mon lit son image était trop net pour la rare seconde que j'ai oser regarder dans sa direction. Mes liens on céder et la crise est venu. Mon corps tordu de douleur et cette envie stupide d'appeler mon Jacob pour qu'il me prenne comme un frère dans ses bras. En sachant malheureusement que malgrès tout ce qu'il dit je le détruirait.
J'aimerais que l'amitier fraternel entre fille et garçon existe sans se détruire.
Je t'aime Arno.

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://manon.cowblog.fr/trackback/2820935

 

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast