Jeudi 15 octobre 2009 à 20:54


Si seulement tout pouvais être plus simple...


Si tu étais ici... j'en rêve, dans mes longues heures d'ennuis.
J'aimerai prendre mon bus et savoir que tu m'attend en face de l'entrée. Attendre la fin d'un cour interminable en me réconnfortant que ton visage d'ange soit derrière la porte et me souris. Te retrouver le week end, le soir, n'importe quand n'importe où. Te voir tous les jours jusqu'au jour ou tu ne voudra plus de moi, sentir ton odeur, tes regards. Te parler a n'en plus finir, des nuits entières, que tu m'emmene dans des coins perdus.
On se perdrais dans des champs, on pourrais etre heureux sans prise de tête. Constamment ensemble. Plus jamais seul...comme tu disais.

A la place je doute sans fin, je me bat contre ma famille, je la déçoit. Je blesse mes parents.
Je te laisse moi qui avait promis... J'attendrais, je chercherais sans fin une solution mais le fera tu, toi? Je pourrai écouter sans fin la fouine lire tes textos, rien ne prouve, tes mots disent des choses mais seul tes yeux ne te trahissent jamais. Tes yeux ils sont a des milliers de kilomètres... Ques que je deviens moi si ils m'interdisent de te voir? Je vais tout tenter, je m'arracherai les veines si je savais que ça les ferait changer d'avis. Je peut pas abandonner. Je pouvais pour tous les autres mais pas toi. Avant c'était facile je ne leurs avais pas donner ce que je t'ai donner... le sais tu ca? L'importance que ca a? Je devrais avoir un copain d'ici tu vois, dans la logique des choses, être comme tous ces jolies couples qui semble s'etre tout betement trouver, sans problème. Je ne peut pas. Je ne l'ai pratiquement jamais put. Je n'y arrive pas. Je me met au fond de ma classe, je regarde tout ces mecs qui viennent de grandir, enfants. En tant qu'amis ils sont adorables mais je n'aurais jamais aucun désir pour eux. Ils sont coincés, ou tous pareils avec leurs masques respectifs: mec décontracte qui se la pète, celui a la mode qui fume, le coincé qui tente de faire comme les autres... Je n'en peut plus. J'aimerais que les gens soit simplement eux. Sans chercher sans cesse l'approvation des autres pour croire exister. Je ne peut pas les aimer. Ils n'existent pas a mes yeux. Ils n'ont pas de personnalité, pas de vécu, des clones immondes... Je suis définitivement un martien sur cet planète France. Incapable d'aimer, incapable de rentrer dans le moule, incapable de vivre betement heureuse une vie banale, incapable d'être tout bètement.

Je rève la nuit, des images de toi flash sans cesse mon cerveaux dans la journée
Si je n'arrive pas a te revoir...


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Dimanche 13 septembre 2009 à 14:44


Je vis dans le bonheur fragile de ne pas arrivé a comprendre
qu'il soit possible d'être aimer.
Mais de l'etre pourtant, bel et bien.




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Mercredi 9 septembre 2009 à 16:23

J'aimerai pouvoir encore marcher des heures sous la lune du ramadan, dans les ruelles terreuses avec lui. A écouter les mêmes chansons en boucles en se tenant la main quand l'obscurité est trop grande pour que quiconque du village ne nous voit. Danser sur la route, me murmurer un "Vo tarbetl". J'aimerai pouvoir encore le tentait allonger sur la route en sachant qu'on ne pourra pas ce soir aller au bout. J'aimerai retourver la chambre 105 de l'hotel Oudaya. J'aimerai sentir de nouveau son odeur entêtante. J'aimerai encore vivre ses silences, ses regards. J'aimerai pouvoir vivre encore un miliard de fois ces soirées dans le sable a se cacher dans la couverture de la nuit et faire semblant que l'on entendait pas les autres qui nous chercher. J'aimerai retrouver cette complécité qu'on avait créé si vite. Ses "oh putaiiiin c'est ramadannn", ses fesses toutes dures, ses hésitations et ses principes, son respect, sa patience, ses peurs et sa jalousie. Chaque jour je revis dix fois ce que l'on a vécu. Tout ce que je ne mérite pas, mais que j'ai reçu. J'ai envie de lui parler, de le voir. Je me sentais si bien près de lui. Tellement moi. Tellement comprise, accepter. En sécurité.

Es-ce qu'il faut que j'y retourne?

Lundi 15 juin 2009 à 10:55





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U
ne morceau de pompe à huile posé sur ma table a manger,
Un petit mot d'une écriture aussi ancienne que celle qui me l'a écrite
"Pour que tu ne déprime pas trop pour le Bac de Français. Courage. Mamie
"
 

Dimanche 5 avril 2009 à 18:51

"J'étais une coquille creuse.
A l'instar d'une maison vide, abandonnée, j'avais été inhabitable durant des mois.
J'allais vaguement mieux, à présent - le salon était en meilleur état.
Mais ça n'étais que cela: une unique et toute petite pièce.
Jacob méritait mieux qu'une masure délabrée à restaurer.
Il aurait beau déployer des trésors d'énergie, il n'arriverait pas à me retaper.
[...] J'avais été cassée au-delà du réparable."

Tentation


Ce fut le cauchemar que j'avais imaginer, en pire même je crois.http://manon.cowblog.fr/images/photos/576264045.jpg
Il était là. Les rares millièmes de secondes ou mon regard se posa sur lui me déchirait ma plaie béante. Non ce n'était pas lui, il n'avait pas le même nom même si la prononciation aurait une similitude si troublante. Lui était dragueur, exubérant. Pourtant chaque cellule de mon corps le retrouver, le reconnaissait. Je pensais rêver. Je le sentais si présent, si proche. Quand il m'a effleurer de sa chemise fraiche et que son odeur s'est disperser en moi j'ai cru que la crise de panique aller me reprendre. J'avais tellement mal que j'ai cru ne plus jamais arriver a reprendre mon souffle. Le pire et que cette homme la ne me voyait pas, le seul de toute la soirée qui ne m'a pas vue, tel un fantome. Je le regarder danser en carressant les cheveaux de marie caroline endormit d'alcool. J'ai cru pleurer. Je n'ai pas tenu plus d'une seconde tellement sa vue me bruler les yeux. Il est le même mais son contraire. Le vrai ne voyait que moi quand les filles lui fesait les yeux doux, il était incontient de ce qui se passer en dehors. Lui draguer, à l'aise, sans jamais me voir. J'ai cru voir celui que j'aime vivre sans moi. Celui qu'il est peut être a des miliers de kilomètres. Et pour la première fois cette idée je l'ai vraiment sentit. Quand mon corps a faillit se mettre en boule pas mes tremblements alors que j'essailler de la controler il m'a enfin regarder. Un regard étonner. J'ai cru qu'il m'avait reconnue. Par delà d'aucune logique vue qu'on ne s'est pas connu. ce regard a durer une demis seconde avant de s'évanouir dans un rève inachever. J'ai imaginer un plan de chaufeuse et l'embrasser pour qu'il comprenne enfin. Mais ai bien sur renoncer. Conciente de la folie de mon imagination. Sa voix suave ma enivrait le temps de la soirée en coupant chaque fois un petit point de suture sur l'immensité de ma blessure, laissant pisser les sang a son aise. Pourtant je m'en foutais je le laissait faire seulement pour avoir un peu de Sa vois avec moi. Celle qui était toute près de moi avant. Dans mon lit son image était trop net pour la rare seconde que j'ai oser regarder dans sa direction. Mes liens on céder et la crise est venu. Mon corps tordu de douleur et cette envie stupide d'appeler mon Jacob pour qu'il me prenne comme un frère dans ses bras. En sachant malheureusement que malgrès tout ce qu'il dit je le détruirait.
J'aimerais que l'amitier fraternel entre fille et garçon existe sans se détruire.
Je t'aime Arno.

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