Mercredi 7 juillet 2010 à 10:04

Tel Bella ma vie suit ses chapitres d'une façon étrange.
Il y a un an, a peu de chose près, commence mon premier chapitre: la rencontre de mon Edward.
L'amour pur, l'amour vrai, l'amour plus puissant que les montagnes.
Un regard à vous faire perdre la tête. Timide et calme, mon semblable, mon double, mon miroir.
On s'est trouver comme on trouve sa moitié.
Puis, le deuxième chapitre arrive, un peu trop vite. L'absence, le manque, l'abandon, le doute, la peur et une douleur sans fin.
Puis mon Jacob me tend la main, contrairement à Bella je l'ai près de moi depuis plus de trois an maintenant.
Mon contraire, mon opposé, mon inverse. Constament a se chercher, se contredire, joueur, fou et drôle.
Je m'y réfugie, au prix de ses sentiments et de son coeur que je détruisais jour après jour au profit de mon repos, de ces quelques instants où j'arrivais enfin à respirer à oublier un peu ce trou béant dans ma poitrine. Dans un égoisme sans fin je lui faisait du mal en me soignant... et j'aimerais m'entailler les veines d'avoir était si affreusement cruelle.
Une sorte de troisième chapitre commence depuis une semaine, un chapitre étrange. Edward ne reviens pas apparement, enfin je ne sais plus.
Jacob suit le plan initial des Twilight, devenant possesif, jaloux et de plus en plus amoureux, au déclaration à vous fendre le coeur et a réveiller le mien.
Mais lui aussi se démarque, redémarant aussi son coeur, partager entre moi, celle qui n'a pas quitter ses pensées depuis 3ans et Elle, celle qu'il veut reconquérir...
Et la commence le cauchemar.
La ce n'est définitivement plus Bella et sa fin heureuse mais bien la mienne, la vie de Manon.
La commence la nouvelle pille de feuilles qui resteront dans le silence.
Celle racontant l'amour.
Celui destiné ne jamais exiter
http://manon.cowblog.fr/images/wwe4vdjy.jpg

Dimanche 6 juin 2010 à 22:23



Je t'aime

 

Vendredi 26 mars 2010 à 22:21

http://manon.cowblog.fr/images/hassan.jpg
Il faut que la lune me sourit dans un bus, en plein milieu de l'après midi.
J'ai envie de lui dire va t'en. Laisse moi tranquille je sais ce que tu me veux.
Je connais ta voix et tes mots doux chuchotés. Je connais tes mains, je connais tes lèvres... Part.
J'ai laisser tomber le collier...
Mais ce n'est pas passé. Combien y avait-il de chance pour que la lune soit dans le ciel a quatre heure, dans cette direction, que mon chemin passe dans cette angle, et que je me sois assise de ce côté du bus...? hein? Peu. Et pourtant c'étais aujourd'hui.
Mais ce n'est pas que la lune. Tout me ramène a lui. Le dessin accroché dans ma chambre, le collier, mes vetements, mon parfum, les photos, mon fond d'écran, les textos, la musique, la bague... tant et tant de chose. Insignifiante, indétectable pour mon père. Dans la rue avec Christelle en direction du cinéma j'ai entenud un marocain parler... C'était trop stupide de ce sentir si soulager d'entendre ces intonations, ces ''haa'', toutes ces petites expressions... J'ai crus devenir folle, j'aurai voulu embrasser l'homme, l'entendre à l'infini. J'ai rallentis d'un coup, me suis décalé vers lui, inconsciament. Mon dieu je me foutrais des claques. Jétais attirer. Comme un aimant par ce qui te ressemble. Puis une connection sur facebook et je tombe bien sur sur une photo de toi. Une si détailler. Bien loin de toute celle auquel j'ai put m'habituer depuis le temps. Le souffle court. Mon coeur est mort une deuxième fois.
C'est tellement plus facie de faire semblant au dehors. Je suis tellement loin de toi avec Christelle, avec mes amis, avec le lycée où lorsque je travail. Mais seule c'est insupportable c'est inhumain. Je me regarde dans le visage. Fantome, mort vivant ou zombie? Difficile à dire. Il n'y a rien dans mes yeux. Que du vide.
A quoi sert la vie? Question qui n'a pas de réponse. Je me suis rendue compte depuis quelques jours que je ne voulais rien. Je ne supporte pas l'idée de vivre une vie simple, des études, un boulot pendant quarantes ans a ammassé de l'argent... pourquoi? Pourquoi le fairais-je? Et le jour de ma mort je me dirais quoi, chouette j'ai rien fait de ma vie? Mais qu'en faire? Que puis-je faire de ma vie dans ce monde a part de ne rien en faire justement? Il  n'y a pas d'issus. Rien a construire qui doit être souvenus si ce n'est une année en Australie qui va m'éloigner pour toujours de ma famille. De toi... Peut etre que c'est ça ma vie. Un an de galère, mais au moins un an de vie, de vrai vie. Arnaud me provoque par ses jeux, comme d'habitude. Me forcer a ne pas être si sage. Me porvoquer pour faire ce que je n'ose faire.
Mais ces derniers temps ca n'a plus vraiment de valeur. Ma conscience, et puis ce n'est pas mauvais pour ma santé ou quoi que ce soit alors l'hésitation est présente. Quel importance au fond? Ques qui as de l'importance?Quel gamin! Et quel barge quand il veut quelque chose!
Plus de danger, plus rien a perdre. Alors tant qu'a perdre son  coeur je peut bien perdre mon âme. Sans coeur elle n'a plus vraiment de valeur si ce n'est de faire du mal!
J'aimerais te montrer ce que j'ai dans mon coeur. J'aimerais te montrer a quel point je t'aime à en creuver pour que tu comprenne...
Mais c'est impossible...
Jaimerais tellement t'avoir près de moi... Tout serais si plus facile.

Mardi 9 février 2010 à 18:31

http://manon.cowblog.fr/images/dscf0015.jpg
En haut du toubkal
Encore une vacance sans toi.
Encore une vacance sans Maroc.
Encor
e une déception.
Encore des semaines à entendre mon père me mettre la pression.
Encore des journées à travailler.
Encore des heures à réfléchir à un avenir qui je ne veut pas voir.
Des nuits à regarder des films, à s'évader, des cornichons sur les lèvres, des rayons de lune.
Encore...
Des repas de famille qui me mettent la pression pour mes "qualités culinaires". Mais au moins du temps doux et d'amour, d'attention et de famille.
Encore des week-end a fuir mes peurs chez mon fréro a crier et devenir fou pour quelques jeux vidéo débiles.
Encore des cinémas entre potes.
Encore peut être une soirée.
Un voyage vers la neige de quelques jours. Pour soufflé, pour pleurer ton absence...
Car tout peut être merveilleux, doux et gentil, ou tout peut être travail et prise de tête, ca ne change rien, nan rien du tout.
J'ai toujours mal, je cris toujours sans savoir pourquoi la nuit. Parce que je tombe par malheur sur une photo de toi et que je crois toujours mourir.
J'ai toujours cette pulsion qui me pousse vers toi, qui me pousse a tout faire pour te retrouver.
J'oublie toujours ta beauté, j'en ai toujours le souffle coupé. J'oublie toujours ton sourire, ta voix au bout du téléphone me surprend à chaque fois.
Je vais devenir folle, on va m'enfermer dans un hopital psy oué, j'vais mal finir les gars je le sent bien.
Je pète les plombs. Rien, rien, rien ne me fais du bien. Je voudrais danser, puis je voudrais hurler, ma peine, oui je voudrais hurler tout ce qui reste au fond. Je voudrais huler, hurler, HURLER ma haine. Huler l'injustice. Hurler l'amour. Hurler le manque. Hurler le mal. Hurler les pleurs au fond. Hurler ce monde à la con. Hurler ces jugements des gens. Hurler ces regards. Hurler ma peur. Hurler ma haine putain oué ma haine. Celle que je découvre. Que je ne connaissais pas avant. Car je l'aime mon père comme personne au monde et que je le hais si profondément aussi... Je n'ai jamais autant aimer, je n'ai jamais autant haïs. Je ne dessine plus, je ne joue plus, je ne lis plus, je ne pleure plus.
Je dance dans la nuit, je me laisse partir dans la musique pour appaiser mon être, Retenir encore ces hurlements, ces blessures et cette haine sourde.
Je voulais seulement un peu d'amour...
Qui peut juger cela, qui peut me m'interdire, de quel droit, hein? Tu peut me le dire? De quel droit peut on rendrre malheureux nos proches sous prétexte que l'on pense que c'est le mieu pour eux? Qui sommes nous pour juger cela? Qui sait ce qui peut me rendre heureuse ou malheureuse? Occupée vous de vos fesses bordel. J'me débrouille bien mieux seule sans vos regards accusateurs.
Je deviens folle oué. Je débloque. Je vais finir chez ces psy tordus qui me sécherons le cerveaux, qui m'extrérons le moinde petit détail de ma vie dans une curiosité perverse. J'avalerais les cachets et je deviendrais un légume.
Oué tu vois j'ai plus d'avenir parce que j'suis plus normal, enfin encore pire qu'avant quoi. Tu vois. C'est pas qu'un sentiment, j'ai déjà trop vécu.
Détruisé moi, ligotez moi, troturé moi, faite ce que vous voulez de moi, faites moi avaler toutes les sciences du monde, faite moi rentrer dans le moule, metter moi dans un métier tranquille et un bureau éclairé et coloré, une maison, un mari non désirable et un petit toutou. Fouré moi dans une vie. Avec les papoteries des femmes-facebook comme amies, avec des habitudes débiles et des peurs simples sur l'actions du KAT40 ou l'assurance vie...
J'en ai plus rien à foutre.
Plus rien nan. Rien ne m'attaque, rien n'a d'importance. Allez vous faire foutre.
Je prendrais soin de ma famille, vivrer les jours qu'il faut vivre.
Jusqu'a...
Je sais pas

Mercredi 20 janvier 2010 à 19:59

A peine le soleil perce les nuages que déjà l'orage menace de nouveau.
Je ne veux plus de cris, je ne veux plus parler face à des murs, pourquoi me mettre constament toute ces barrières?http://manon.cowblog.fr/images/yanntiersen.jpg
Pourquoi tous mes potes se barrent peu à peu, pourquoi d'un coup je l'ai fait plus chier qu'autre chose? Pourquoi tous le monde bad? Pourquoi tu ne me laisse pas partir, putain... Je ne peut plus faire semblant, je ne peux plus me lever sans sentir ce poids qui me coupe le souffle sur mon torse. J'ai envie de hurler tous les matin lorsque tu viens si doucement me réveiller. J'ai envie de te dire que je te hais et que je t'aime à la fois. Que je ne veux plus de te voir, que tu dois partir loin, que jamais plus tu ne me feras tous ce mal que tu me fais depuis 5ans. Que je ne te fuis pas toi mais ta follie, ta maladie et tes crises de nerfs. Basta. J'ai trop donner je ne peut plus. Casse toi, tu sais que tu me reprendra avec tes jolies mots bien facilement. Je craque toujours, ton odeur m'entête. Tu étais le seul putain. Le dernier seul être en qui j'avais confience. Maintenant le doute à tout pris, mon corps et mon ame. Il ne reste plus de place pour le reste. Tout est doute et peur. Je suis définitivement seul dans ton silence. De toute façon si je le rompt pour te faire parler ca va encore dégénerer. Je pleurs. De haine, de peur. Tu est un monstre dans une si belle image. Il a fallus que je me détache de ma mère, cela ma pris tant de temps. Enfin je respire et arrive a avoir une relation normale grace à beaucoup de distance... il faut maintenant que j'abandonne mon père? Seule image positive dans ce tableau catastrophe d'une tempète en pleine mer? Il me rester toi et mes espoirs, mes rêves. Tu te révèle être un monstre insoupsonée. Qui me veut du bien au fond? J'ai l'impression d'être enserclé par une meute de loups. Même chez moi plus rien n'est rassurant. Je ne suis désormais bien nul part. Ni dans ses bras, ni dans ma chambre, ni en ville.... nulle part. Je voudrais partir... partir au loin. Hassan? Le doute est trop présent. Il faudrait que je le vois pour le disciper... ou peut etre pas. Peut etre que l'évidence ce metteras égallement en moi, qu'il n'est pas là pour moi, mais pour ce que j'ai.
Chéri je paranoide. Je craque... c'est plus possible chéri j'arrive plus, je peut plus... C'est pas possible, c'est infesable. Je suis perdue. Rien n'est bon. Rien ne va. Que faire? Partir? Me battre? Ne pas partir? T'abandonner..? Oh non.... non non chéri je peut pas te voir partir. Ca m'est insuportable. Reste, reste encore. Et demain il faudra se lever...
Et hurler dans l'oreiller, again.

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | Page suivante >>

Créer un podcast