"J'ai envie de pouvoir ecrire Je t'aime .. En pensant à toi . Je veux pouvoir te prendre dans mes bras .Je ne sais meme pas à qui, ni de qui je parle. Ma situation s'agrave . J'ai Besoin de quelqu'un qui prend soin de moi, qui me dit toujours tout ba des mots doux . Des mots doux qui me réconfortent quand je ne vais pas bien. J'ai envie qu'on me prenne par la main, qu'on m'emmène loin, très loin ..."
Ca va ça viens.
Tel un coup de vent qui vient perturber une plaine calme. Des rafales de vents qui n'abandonnent jamais.
Parfois elles apportent à leurs dépends une musique apaisante, due au bruissement des brins, au goutte de pluie sur le sol sec, et aux grognements des milles et uns animaux, oiseaux qui vivent sur cette plaine. Parfois ce déchainement provoque une contradictoire inspiration pour l'artiste qui y repose en paix et qui se fait prendre par la tempête. Les anciens dise que cette plaine était une femme du village qui a sa mort hanta l'endroit jusqu'à ne faire plus qu'une entre terre et âme. Depuis l'herbe y pousse parfaitement, les bêtes y vivent et se reproduisent dans une paix total, l'eau du ruisseau n'y a jamais était taris. Mais l'on raconte également que cette terre n'accueil pas facilement les hommes. Les chasseurs furent les premiers a subir ses colères. Ils vinrent un dimanche ensoleiller attirés par le gibier si peu craintif et si prospère. Ils n'urent le temps d'appuiller sur la gachette de leurs fusils à pompes que le tonnerre éclata avec une fureur et une imprévisibilité qui désabilisa les pauvres hommes. Le ruisseau se transforma en torrent et une pluie battante pleura l'offence des hommes. Un peu plus tard, un paysan pensa transformer la plaine en un immence champs, attirait par la nature qui y poussait si facillement. Le paysan commenca a pioché sous un ciel couvert d'hiver le sol si fertile et humide de cette plaine. Mais a peine eu-t-il commençait que la terre se dessecha sous sa pioche et que l'herbe soulevait si épaisse et gorger d'eau se dessecha. Il s'obstina a piocher, encore et encore, pensant trouver une réponse plus rationnel. Rien n'y fit. Chaque pioché était plus déssecher et infertille que l'autre, remplit de cailloux calcaire. Déçu et épuiser le paysan abandonna et tourna les talons. Quand il se retourna il vit le ciel se déchaina et le ruisseau se déborda de son lit, engloutissant le travail si pénible qu'il avait effectuer durant toute l'après-midi et y voir pousser en quelque secondes de nouveaux une herbe florissante. Durant des années la plaine resta dans son calme toujours perturber par des colères et torrents de larmes inexpliquers. Un jour un homme se passionna pour l'histoire de cette plaine. Il parla a tous les anciens qui pouvait connaitre chaqu'un des fait de cette endroit ou les fleurs résistait au gèle mais ou la tempète se déclancher pour si peu. Cet homme chercha l'histoire de la femme disparu. Que finallement presque tout le monde avait oublier si ce n'est qu'elle était la plaine. Il construit un cabane a la limite de l'entré de la terre si redouter par les anciens, un peu dans les bois juste au dessus de la plaine afin d'y avoir une vue imprenable. Il y rentra lentement, avec précotion, en fesant attention a chacun de ses pas de ne pas abimé une fleur, ou une fourmis invisible. Il se rendit compte que les brins s'écartés sous ses pas si il allait suffisament lentement. Il compris que les légendes étaient vrai et que cette plaine était bien en vie. Elle lui dictait son rytme, son comportement. Il arriva au bord de la falaise de la plaine. Il s'allongea et les brins s'enfuirent. Il posa une main sur la terre et sentit un infime battement de coeur. Il y passa des journées entières, a dessiners les fleurs, a y chanter, a y jouer de la guitare. Et bientot il se rendit compte que les fleurs ne fesait que s'embélire de jours en jours, le vent petit à petit l'accompagna dans ses chansons et les oiseaux siflait ses airs de guitare... Au fils de ses ballades les brins d'herbes finir par le guider vers les endroits les plus beau de la plaine, ils ne se poussaient plus sous son passage, ils lui indiquers ou aller. Des pierres plattes apparurent bientot entre la petite maisonnet et le ruisseau créant un chemin blanc dans la verdure. Tout deux communiquaient. Parfois Il lui parlait. "Comment veux-tu que je t'offre de fleurs si c'est a toi que je dois les arrachers?!" et le vent rillait. Il paraittrait qu'une nuit on ai vue un femme au corps translucide dans une grande robe de soie blanche danser un slow au bord de la falaise avec l'homme. Elle était, dit-on, d'une beauté sans fin. Une beauté...
Immortelle.
Manon