Jeudi 4 décembre 2008 à 22:45


"J'ai envie de pouvoir ecrire Je t'aime .. En pensant à toi . Je veux pouvoir te prendre dans mes bras .Je ne sais meme pas à qui, ni de qui je parle. Ma situation s'agrave . J'ai Besoin de quelqu'un qui prend soin de moi, qui me dit toujours tout ba des mots doux . Des mots doux qui me réconfortent quand je ne vais pas bien. J'ai envie qu'on me prenne par la main, qu'on m'emmène loin, très loin ..."

Un blog d'une inconnue perdue parmis tant d'autres

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Ca va ça viens.
Tel un coup de vent qui vient perturber une plaine calme. Des rafales de vents qui n'abandonnent jamais.
Parfois elles apportent à leurs dépends une musique apaisante, due au bruissement des brins, au goutte de pluie sur le sol sec, et aux grognements des milles et uns animaux, oiseaux qui vivent sur cette plaine. Parfois ce déchainement provoque une contradictoire inspiration pour l'artiste qui y repose en paix et qui se fait prendre par la tempête. Les anciens dise que cette plaine était une femme du village qui a sa mort hanta l'endroit jusqu'à ne faire plus qu'une entre terre et âme. Depuis l'herbe y pousse parfaitement, les bêtes y vivent et se reproduisent dans une paix total, l'eau du ruisseau n'y a jamais était taris. Mais l'on raconte également que cette terre n'accueil pas facilement les hommes. Les chasseurs furent les premiers a subir ses colères. Ils vinrent un dimanche ensoleiller attirés par le gibier si peu craintif et si prospère. Ils n'urent le temps d'appuiller sur la gachette de leurs fusils à pompes que le tonnerre éclata avec une fureur et une imprévisibilité qui désabilisa les pauvres hommes. Le ruisseau se transforma en torrent et une pluie battante pleura l'offence des hommes. Un peu plus tard, un paysan pensa transformer la plaine en un immence champs, attirait par la nature qui y poussait si facillement. Le paysan commenca a pioché sous un ciel couvert d'hiver le sol si fertile et humide de cette plaine. Mais a peine eu-t-il commençait que la terre se dessecha sous sa pioche et que l'herbe soulevait si épaisse et gorger d'eau se dessecha. Il s'obstina a piocher, encore et encore, pensant trouver une réponse plus rationnel. Rien n'y fit. Chaque pioché était plus déssecher et infertille que l'autre, remplit de cailloux calcaire. Déçu et épuiser le paysan abandonna et tourna les talons. Quand il se retourna il vit le ciel se déchaina et le ruisseau se déborda de son lit, engloutissant le travail si pénible qu'il avait effectuer durant toute l'après-midi et y voir pousser en quelque secondes de nouveaux une herbe florissante. Durant des années la plaine resta dans son calme toujours perturber par des colères et torrents de larmes inexpliquers. Un jour un homme se passionna pour l'histoire de cette plaine. Il parla a tous les anciens qui pouvait connaitre chaqu'un des fait de cette endroit ou les fleurs résistait au gèle mais ou la tempète se déclancher pour si peu. Cet homme chercha l'histoire de la femme disparu. Que finallement presque tout le monde avait oublier si ce n'est qu'elle était la plaine. Il construit un cabane a la limite de l'entré de la terre si redouter par les anciens, un peu dans les bois juste au dessus de la plaine afin d'y avoir une vue imprenable. Il y rentra lentement, avec précotion, en fesant attention a chacun de ses pas de ne pas abimé une fleur, ou une fourmis invisible. Il se rendit compte que les brins s'écartés sous ses pas si il allait suffisament lentement. Il compris que les légendes étaient vrai et que cette plaine était bien en vie. Elle lui dictait son rytme, son comportement. Il arriva au bord de la falaise de la plaine. Il s'allongea et les brins s'enfuirent. Il posa une main sur la terre et sentit un infime battement de coeur. Il y passa des journées entières, a dessiners les fleurs, a y chanter, a y jouer de la guitare. Et bientot il se rendit compte que les fleurs ne fesait que s'embélire de jours en jours, le vent petit à petit l'accompagna dans ses chansons et les oiseaux siflait ses airs de guitare... Au fils de ses ballades les brins d'herbes finir par le guider vers les endroits les plus beau de la plaine, ils ne se poussaient plus sous son passage, ils lui indiquers ou aller. Des pierres plattes apparurent bientot entre la petite maisonnet et le ruisseau créant un chemin blanc dans la verdure. Tout deux communiquaient. Parfois Il lui parlait. "Comment veux-tu que je t'offre de fleurs si c'est a toi que je dois les arrachers?!" et le vent rillait. Il paraittrait qu'une nuit on ai vue un femme au corps translucide dans une grande robe de soie blanche danser un slow au bord de la falaise avec l'homme. Elle était, dit-on, d'une beauté sans fin. Une beauté...
Immortelle.


Manon

Samedi 27 septembre 2008 à 20:52


"Don't you belive,Girl,
you changed the world, for me"

Change the world finger 11

C'est de nouveaux le calme plat. Le calme après la tempête. Ou le virus qui fait son nid dans tous mon corps. Qui n'en sortira plus. Mais ne vous en faite pas c'est un très bon virus. Je me perd dans des saisons de House entière. Ça m'engloutit. Juste un regret qu'il ne soit pas en anglais, pour mieux s'y croire. La vie passe lentement. J'ai les yeux toujours au bord du cœur mais les nerfs en sont plus éloigner. Je n'ai rien a dire par ce qu'il ne se passe rien. Juste le léger ballotage entre amis et cours interminables... Je n'attend rien. Ce qui en surprendrait plus d'un. Mais ce qui me prouve que c'est bien fort que ce que je n'ai connu au paravant. Différent plus tot. Ma vie est loin d'être moche. Elle a une saveur très légère que ma papille sous les épices n'arrivait plus a sentir. Mon cervaux s'envole sans cesse. Jamais racrocher a un soupcon de réalité. Ce qui est bien c'est que rien n'y parait. Le regard des gens qui me pesai tant s'est évanoui. C'est comme si il n'exister plus rien autour de moi. Je suis dans une bulle inaccessible.
Je suis bien.

Manon*

 

Dimanche 3 août 2008 à 17:16

"[...]et si tu n'exister pas il faudrait t'inventer... et ce serait dur."
Aline VALLEE


Dans une semaine c'est déjà fini... c'est passer tellement vite. Je ne me suis rendu compte de rien. Tout était parfais. Tu m'envoyer des textos et des mails plus magnifique les un que les autres. Il n'y a aucun doute dans ton amour. Es-ce cela qui ma fait basculer? Douter? J'ai tout arrêter. En me réveillant j'ai sentit l'évidence, j'ai pas voulu te mentir, ne serai-ce qu'une journée. Je t'ai écrit un immense mail. Tu ne le recevra que dans une semaine. On m'a adopter ici c'est tellement beau. J'ai retrouver la maison de mon enfance. Celle remplit de rire et de gros gouter. La maison ou il y a des gens qui vivent dedans. Rien que de retrouver ma maison venelloise me fait peur. Je me sent tellement bien ici. Je ne sent même plus le manque de ma famille. J'en ai une, ici. J'ai Eric, comme un père, qui m'écoute, me prend dans ses bras. J'aimerais tellement partir un an ici. Ne plus voir cette France si coincé et pervertit dans son image dégrader du sexe, de la drogue et je ne sais quoi encore. Je n'en peut plus de mon lycée. Je n'en peut plus de jouer un rôle pour être accepter. Il me reste deux ans et ça me parait une éternité. Ca me parait insurmontable. L'année prochaine mon père veut que je retourne ici. Tout le monde ici est au ange. Moi aussi. Ca va être dure de me passer d'eux un an...
J'ai peur pour mon avenir amoureux. Vu qu'il n'y a qu'a l'étranger que je tombe follement amoureuse!
Je vous laisse...
Manon*

Dimanche 22 juin 2008 à 11:43

Extérieur: Le jardin remplit de mauvaises herbes
Intérieur de la maison: La fraicheur
Intérieur de moi: La pause tant attendu



    Ca était long et périeux... Je suis enfin seule chez moi mais pour trois jours seulement. Retomber à l'essentiel, dans le silence. Seule pour penser, calmer le stress, faire le point. Envoyer valser ma mère au loin, a coups de grands arguments, de force de persuasion et de répartit. Juste se faire de quoi survivre, un plat de pâte, des crêpes en pain et des fruits. Ne plus penser, écrire a s'en vider. Te retrouver en m'endormant sur ma terrasse, mon visage baigner dans les étoiles que l'on regarder tout les soirs ensemble. M'endormir et me réveiller sans ton sourire pour me soulever. Cela me manque. Je ne parle pas du manque de corps, de se désir qui me ronge depuis si longtemps. Tu me manque, toi, ta personnalité, il me manque ton sourire, il me manque tes arguments, ta vision du monde. Il me manque ton rire quand je te contredisais, quand je te plaquer contre tes arguments qui se contredisais. Il me manque ton espièglerie, tes yeux pétillants d'amour. Il me manque tes tortillements lorsque tu n'oser pas dire quelque chose qui choque là-bas... Maintenant j'ai le temps, le temps de te retrouver. Le temps de penser, me vider de tout ce don je n'avait pas le temps de vider. Je me lève au aurore, ce que je ne fait jamais, et je regarde le soleil se lever. C'est ma plus grande nourriture. Tant qu'il ne fait pas chaud je rend le jardin plus beau, j'arrache, je fait le tris des bonnes et mauvaises choses que ce soit dans tout les sens du termes. Je me nourrit de livres, de musiques lorsqu'il fait trop chaud, et je tris également la maison. Je ferme cette année en rangeant mes cours de 2nd. Je range Ses lettres sans les relire. Je les connait par cœur. Aujourd'hui elles m'écœurent. Le silence me fait du bien. La solitude me fait du bien. Le soleil me réchauffe. La vie est simple dans cette maison.

Manon*

Jeudi 1er mai 2008 à 11:45

Extérieur: affalé sur la terrasse

Intérieur: La vie.

     Il ma répondu. Bloquage devant mon portable. total. Il a répondu. Je lis et relis sans fin ces trois bougts de phrases qui me tiennent au plus haut. Je rit. J'ai réussit mon DS de math commun. J'ai encore une chanse de passer. Bonheur simple. Venu de la bas. Qui me porte encore. Je pète mon plombs. Faut laisser passer la pression! Télécharge pleins de chansons Walt Disney. Le roi lion, les aristochats, pocahantas tout y passe! Je dansse, les membres dans tout les sens sous "akuna matata" en hurlant dans toute la maison "AKOUNAMATAAAA mais quel mots magnifiqueeeee, AKOUNAMATATA quel chansse fantasticcccc". A fond. Mon père rigole à n'en plus finir. Il part se coucher. J'enclanche avec la valse d'Amélie poulain. Je me concentre. Vachement essouffler de mes aventures! Je prend toute la place de la cuisine et entame ma valse. Je ferme les yeux. Troune tourne... pense a Batoul qui m'a appris a faire la valse. Je fais mon carré. Je tourne. Je sens contre moi la peau qui sent le tabac. Je souris. "Pourquoi était tu si loin de moi?"Je tourne. Le tempo monte crechendo. Je tourne. Il me fait tourner plutot. De plus en plus vite. "Reste ici. J'ai besoin de toi." La tête qui tourne. Continuer. Encore. te serrer encore contre moi. Je sais que tu est là. ton âme sort de moi pour mieu te retrouver. La musique s'arrete. Moi aussi. J'attérit. Les fesses sur le carrelage. Froid. Le silence. Je me couche.

Manon*

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