Mardi 12 mai 2009 à 21:33

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Etre première de ma classe au bac Blanc d'Svt avec un 16,5...
J'aurai jamais cru que cela aurais pus m'arrivé un jour. A peine oser le penser. Ne le dites pas trop fort. La vie pourrais se rendre compte du nombre de bonheur qu'elle me donne et en être jalouse a vouloir me reprendre tout.
Première. Je n'en reviens pas, moi petit bidule tout minuscule et insignifiant.
Sinon des textos qui coule a flot avec des jolies sourrires que ma bouche fait sans que je la commande. Amusement futils, de jolies enfantillages. Le soleil reviens, avec une chaleur que je ne sent pas, encore habituer au soleil marocain. Un prof d'éco jaloux xD. Des envies de plages et de glandages. J'aime ma vie, je m'ennuie en cours, je m'ennuie avec les gens de ma classe. Mais ça c'est rien. De grosses bouffées d'air quand je soort, que je les voit. Toutes ces jolies têtes qui me disent, allez viens là on va penser a autre chose. Tous ces visages qui sont si important. Tant de sourrire et de vie autour de moi que je ne voyait pas, que parfois encore j'oculte malgrès moi. Je découvre la vie. Je né une deuxième fois. Tu a du reprendre un autre trek sans t'arreter... Encore une semaine a attendre. A cliquer sur actualiser sur la page de mes mails juste avant d'éteindre enfin l'ordi. Tu me manque c'est epouvantable, tu hante mes rèves sans fin. Des tonnes et des tonnes d'images que mon cerveaux créé sans fin pour avoir l'illusion que tu est la. Les cerises sont bien juteuse dans le jardind de ma mère. Je me suis assise sur le bord de la fenettre, a bout de bars comme dans mon enfance... j'en entendais presque la voix de ma grand mère qui m'engueuler. Ca ma fait rire au milieu des chant des oiseaux. J'ai picorer en tantant de cracher les noyeaux le plus loin possible, comme je fesais avec ma meilleur amie... Et le bonheur était en moi, dans chaque cellules de mon corps. "Roméo s'est assis au pied d'un pêcher pour rêver qu'il le commet avec sa maîtresse" je me nourris de Roméo et Juliette. Leur passion m'amuse, sans aucune raison ni recule a leur passion. Ils sont mignons. Ma mère me fait du chantage pour le Maroc et je la laisse faire. Cela m'amuse, gagner un rendez vous avec toi cette été par des notes... tellement gamin. Envie d'aller au concert et d'annuler le gala de Nora. Envie de vourir dans le sable, de danser, d'acheter des tonnes de fringues débiles, de rire, de passer une semaine non stop avec mes amis, de partir ou on veut, d'avoir mon code, mon bac vite vite vite, de plus voir les gens de ma classe, de dormir la tete dans les étoiles chaque soir... Envie de vivre chaque seconde comme si c'était la dernière. Oué ça ce serait super.
La vie est belle, t'avais raison petit berbere.
Je t'aime

Samedi 9 mai 2009 à 18:59

http://manon.cowblog.fr/images/photos/hippieswoman.jpgJe ne me suis jamais sentis aussi bien de ma vie. En harmonie totale avec moi-même.
Mon père m'observe d'un oeil drôle, complètement paumé face a mon bonheur. Hier en m'emmenant au car il m'a dit "Je suis content que tu sorte un peu. Tu me faisiat de la peine a rester cloitré à la maison comme ça". Mon pauvre papa... Il avait l'air si soulagé. Ca m'a fait de la peine et plaisir à la fois. De la peine parce que je me rend compte que si lui me déprimer, moi je fesait de même. Plaisir parce que mon bonheur déteint sur lui. Je fut pas déçu de ma soirée. Je me suis surprise a arriver à regarder un film légèrement gore sans être mal après. Aujourd'hui un peu de vélo, je suis cuite à point. Psychologiquement et physiquement vidée. Et bien... Si bien... Yahya c'est pas possible qu'es que tu m'a fait? Quel drogue peut me faire planer comme ça, si longtemps? Alors que je n'ai aucun signe de vie de toi, alors que je vois de la rage et du mépris dans tout les regards des gens ici. Et pourtant même pour eux j'ai de l'amour à revendre, du temps à donner.
Ce soir je dort à la belle étoile, je suis heureuse.
Il fallait que je l'écrive, je ne trouve pas d'autre mots, rien ne peux l'exprimer autrement.
Je vais bien, je suis heureuse, heu-reuse.
Merci petit berbère.

Mardi 24 février 2009 à 12:15



"Nous sommes deux écorchés enfermés dans notre monde de rèves protecteurs, bulles increvables,
dans lequels le mien attend un signe du tien qui est tellement opaque que tu n'arrive a voir ce que j'esseille de te montrer."
De moi pour ma mère


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Premier jour de mes 17ans.

Le soleil ne cesse de briller depuis hier, comme pour m'annoncer l'avenir de cette année de jeunesse que je ne vivrait qu'une seule fois. Dans ma nuisette violette a volant je suis assise sur le bord de ma fenêttre. Emagasinant le soleil comme une boulémique en manque de nourriture. La compil' que l'on m'a offert qui tourne. Qui me fait sourrire, rire, pleurer. Parfois il me fait penser a ceux que je Lui offert, a Elle. C'est trop d'attention. Celle qui ma l'a offert est pourtant loin de la facination envers moi et ça me rassure. Les oiseaux chantents ces mélodies me sont habituelles, elles ont le dont de calmer tout mes tourments. La Bella format papier m'appele. J'ai comme un besoin de m'enfuirt dedant constant. J'ai l'impression deredevenir celle que je suis dedans. Comme lorsque je regarder les Frères Scott. "The boy saw a comet". J'ai tellement besoin de le revoir. J'ai besoin de redevenir moi. Près de lui plu
s rien n'exister, le temps, les gens, le monde entier n'exister plus, je ne m'en rendez compte que lorsqu'il fallait partir autre part... Ca me parait irréel aujourd'hui. Hier journée mytique... C'était de la bombe merci a tous (sauf le soir biensur ^^). Ma petite Nora t'es vraiment un ange sur terre. Même quand je m'enfonce dans mon monde en ne voyant plus personne autour de moi  tu es toujours la a me tirer de là. Je sais pas où tu trouve toute cette patience. Y'en a pas deux comme vous. Comment vous voulez que j'aille me dépécher des amis dans ma classe quand on vous a déjà?
Et bien voilà je crois que cette article n'ira pas plus loin. Cette journée s'annonce belle en companie de mon père. J'aime toujours autant.
Je m'enfile ma tarte au citron.
Je gacherais en récit idiot qi je continuer a écrire.

Manon*
 

Mardi 27 janvier 2009 à 21:40





JSUIS HEUREUSE





Vendredi 16 janvier 2009 à 22:55


"C'est de l'antagonisme que naissent la beauté et la richesse."
Il était une fois peut être pas Akli TADJER

http://manon.cowblog.fr/images/photos/AkliTadjer.jpg
 
Je m'allonge avec bonheur dans mon cocon de chambre. Heureuse, simplement. Parfois je me demande comment en étant si facillement satisfaite de si peu je peut être si malheureuse le reste de la semaine. Le lycée m'achéve cette année. Il me bousille le moral. Pourtant rien que l'idée de le quitter me hante. Le bus et ses moments de songeries qui m'ont si souvent aidée sous un air des psy4... Je suis épuiser. Je tremble comme une feuille depuis 5h du soir. C'est ainsi que mon corps a toujours manifester la fatigue extrème. Ma seconde soeur s'est égallement confier sur le fait qu'elle s'en voulait de ne pas passer plus de temps avec moi... Je me sent vraiment insensible comparer à elles. Le désir de liberté et les multiples blessures me force sans cesse a repousser toute attachement. S'attacher c'est s'emprisonner. Combien de fois cette phrase m'est revenu? Je me rend compte grace à elles a quel point cette règle est a appliquer avec modération. La télé lance de nouveau le sujet si sensible dans ma famille, l'audela, les médiomes, les rêves prémonitoires. Je tremble deux fois plus, déjà les larmes aux yeux. Les mêmes histoires de famille reviennent qui sont si interessant mais si effrayante pourtant. Je ne sais pas pourquoi cela ma perturbe autant. Ce n'est pas vraiment de la peur. Je ne sais pas vraiment décrire ce sentiment. Je tremble et j'ai envie de pleurer, pleurer, pleurer comme une Madelaine. Moi qui ai tant de mal avec les larmes! Mais ce sujet c'est automatique. Je repense a tout mes rèves. Ces rèves horribles de meurtre. Dès l'age de 3 ans. Je part dans mes pensées, de souvenirs. La mort. Tojours ce même thème. Pourquoi? J'esseille de ne plus y penser. Parce que je sais que sinon la nuit va être longue. Le lycée, l'avenir, le code... encore des sujets a évités. Y'a un amas dans ma tête de choses que je ne suis jamais arriver à écrire ne serai-ce que sur un morceau de papier, pas même à murmurer tout bas. Il y'a a tant de choses qui me hante et remonte en même temps à la surface. J'étouffe. Je me sent rejetter par ma classe. J'ai envie de fuir. Je n'aime pas les gens sans doute parce qu'eux non plus ne m'aime pas. Je coule sans savoir quoi faire. Je ne sais plus quoi faire de deamin pour qu'il soit mieu remplit d'espérance. Je ne sais plus comment aider mon père. Je ne sai splus comment gérer ma vie. Je ne sais plus aimer. je ne sais plus prendre de choix. Je ne sais plus travailler, me concentrer. Je ne sais plus vivre. Je ne sais plus faire la fête. Je ne sais plus faire de l'humour. Le plus étonnant est que ce qui me reste est une chose que j'ai peu connu dans ma vie: de la détermination. Et ca me réussit. J'apprend le piano a une vitesse vertigineuse avec détermination et obstination. comme une prenve de ma valeur, une leçon que je veut donner a moi même pour me prouver que je vaut quelque chose lorsque je le veut. Me rassurer sans doute pour la fac... qui me désespère plus que tout.  Et pourtant demain je dort et j'ai une tonne de desperate a me faire durant la nuit. Et rien que ça me fait sourrire, et tout d'un coup je me sent bien. Dans le calme, dans mon univers. J'ai l'imprestion de posséder le temps. De me dire que j'ai le droit de croire que le temps guérira mes blessures.
Je devrais voir un psy selon vous?

Manon*

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