Jeudi 26 juillet 2007 à 17:55

    Je vois que mes vieilles connaissances ne change pas beaucoups.
Tout ça me fait froid dans le dos.

    Dans leurs tête l'amour n'existe pas, ou ne veulent plus le voir qu'en sais-je. Tout est question d'experience de ne pas être seule. La peur du ridicule. "Il m'a plaquer. J'me suis pris la honte.". Vous ne vous rendez pas bien compte je crois. Je vois tout le monde ce jeté sur la moindre occasion de ce faire un mec de plus... A quoi bon.
Je trouve ça tellement bète sérieux. Vous n'avez plus aucune fièreté, plus aucun sens.
Je vais parètre très vieille fille dans cette article mais voilà...Le faites est là.
J'ai divergé en un mois seulement. de ne plus les voir je me suis retrouver face à ce que j'était.
J'ai rencontré de nouvelles personnes.
Et aujourd'hui je me rend compte de la futilité de tout ça.
Je sais que mes amis de Collège vont sans aucun doute me maudire après tout ça.
Je vois leurs délires de chicha, les mecs, les mecs, les mecs. Il n'y a plus que ça.
"Il me faut un mec viteeee !".
Des conneries tout ça.
Je pensait être anormal et c'est sans doute le cas. Moi je pense autrement et ce que je pense vous semblera con.
Moi j'aime les gens pour ce qu'ils sont pas par leurs taille, poids et beauté.
Ca j'men contre fiche. Les voyages et la vie ma montré que tout ça n'est rien.
Je ne suporte plus tout ce stratagème. Je ne supporte plus cette façon superficelle que ces personnes prennent car je les ai trop de fois écouté pleurer pour savoir que ce ne sont pas ceux qu'ils veulent montré.
Je ne dit pas que j'ai raison ni que je suis supérieur à quoi que ce soit. C'est ma vision des choses simples et sérieux...
Ca me dégoute.

Ma zik du jour

Manon*

Mardi 17 juillet 2007 à 22:33

    Mon père geule. Il geule il n'arrete pas.
J'en peut plus. J'en ai marre. J'en ai ral le cul.
Il est déspéré. Il en a marre lui aussi. Il dit qu'il va rasé la maison et partir loin. Il dit mais ne fait rien. Il n'aime plus personne. Il me détruit car nous sommes trop proches. Tellement que quand un des deux trébuches, l'autre tombe aussi. Il me fait mal. Il me martelle de ses mots même s'il ne sont pas pour moi. Il peste contre le monde. Il ne se bat plus contre le monde. Tout lui retombe dessus. Pourtant c'est vrai que je ne peut pas lui en vouloir. Non je ne lui en veut pas. Oui je lui donne encore tout.
Je lui donne trop.
Toi tu m'écoute.
Toi tu m'aime.

Et moi j'ai peur.

Mercredi 28 mars 2007 à 11:42

    Ptn* mais j'en ai ral le cul de tout.
De tout ses gens qui me prènne pour un putching ball.
J'ai peut etre l'air très forte, solide et stable à l'exterieur mais merde pesonne ne se souvient que j'était au bord du présipisse y'a à penne un mois !
Pour les gens je suis là que pour les écouter, encésser leurs malheurs, leurs tronches qui fait la geule, sans rien dire, et faire style sa me fait rien?
Mais merde je vit moi aussi ! Je pense, je réfléchit, moi aussi je pleure je ne suis pas une machine a enlever les problèmes.
Bien sur je le veux qu'il me parle si je peut leur enlever un poid, je le veux quelque part mais trop c'est trop.
Une qui ne veut pas avouer qu'elle va mal, l'autre qui ne veut ni manger ni dormir et qui ma demander d'aller voir la personne qui ma fait tellement souffrir pour lui dire qu'elle va mal, sa meilleur amie qui me fait la geule parce qu'elle pense que j'ai parler à la prof pour elle.
Deux chiente qui doivent me raconter leur vie à longeur de temps, et un qui se croit intéressent avec ses dessins de bagnoles...
Ptn mais j'ai envie de leurs dire: "Allez vous faire foutre !"
Que je reste simplement dans ses bras réconfortant a me laisser pleurer un bon coup pour reprendre. Bégné dans son parfum.
Si la seule personne proche qui connait mon adresse lit sa elle m'en voudra sans doute encore plus qu'avant...
Surtout que je sais que je n'en pense pas le centième.
C'est stupide ce que j'écrit j'aime les aidés, sa me fait même de la peine de savoir qu'ils vont si mal mais...
J'en ai marre, trop marre.
Sérieux.
Que l'on arrete le monde une heure pitier il faut que je respire, il faut que l'on me laisse aimer celui que j'ai trop attendue, il me faut du temps pour vivre la vie qui a bien faillie méchaper, il me faudrait du temps...le temps de vivre.
Laisser moi, bon dieu etre heureuse.
Et ne m'en vouler pas de l'etre.

Manon*



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