manon
Ecoutez d'où ma peine vient
Lundi 9 novembre 2009 à 18:58
Dimanche 8 novembre 2009 à 19:49
A quoi ça rime?
Toute cette chair qui dort. Ce coeur qui palpite si peu. Cette putain de vie. Calme. Rangé. Ou tu n'est pas.
A quoi ça rime?
Cette vie, ces cours, le futur invisible, inaxessible.
Ques que je veux vraiment, le plus au monde la tout de suite?
Si tout était possible quel futur je vois pour moi?
Médecin dans un petit village du Maroc ou tu viendrais?
Ici, entourer de vinyls et de dessin torturer, a la tête de Comet's Editions?
Es ce qu'un destin peu réellement me rendre heureuse, dans la durée?
Ou suis-je condamné a me réver une vie qui ne viendra jamais?
Arriverai-je a trouver un équilibre dans ce monde?
Arriverai-je a trouver en endroit ou je me sentirais utile, ou je me réaliserai, m'épanouirais, me lèverai avec l'envie d'avancer encore?
Une seconde je hais le lycée a en pleurer, a gratter des feuilles de dessins désespérer.
La seconde suivante je me plonge dans les livres.
Je suis instable, perdue, sur un cordage entre deux buldings qui devient de plus en plus fin au fils des jours ou je ne te vois pas.
Suis-je réellement capable de quelque chose, moi qui combat sans cesse mon propre cerveau pour me concentrer, pour sortir de mon monde pour me reconnecter a celui extérieur, qui lutte pour apprendre le minimum des leçons et passer le reste du temps, allonger sur ce lit a écouter de la musique.
A quoi ça rime?
De me persuader moi même que le rève de médecin est abordable par ma détermination?
A quoi ça rime?
De sourire et faire semblant d'aimer tout le monde?
D'etre gentille, me forcer a parler au gens pour ne pas etre associable? Pourquoi?
Avant je me fichais bien de ce que les gens pouvait bien pensait... es-ce toujours le cas?
Ques que je deviens?
Je n'avance plus.
Je bloque.
Stopper net.
Je n'arrive plus, a regarder demain.
Je n'arrive plus.
A vivre sans toi.
Samedi 7 novembre 2009 à 12:52
Petite Camille,
Je te vois grandir,
Doucement,
Et chaque jour devenir,
Un peu plus belle que le précédent.
Et je te regarde,
Ta beauté,
Ton bonheur,
Ta simplicité,
Ton innocence,
Et je me demande...
Pourquoi?...
Pourquoi moi,
J'ai grandi,
Malgrès moi,
Petit à petit.
Et Pourquoi,
J'ai perdu,
Cette gaïté?...
Pourquoi,
Je n'ai plus,
Que mes Regrets?
Je te regarde, Camille,
Vivre ton enfance,
Avec un peu d'envie,
Et beaucoup de souffrance,
De penser que pour toi aussi,
Un jour ce sera fini,
Tous ces jeux insouciants,
Tu aura tant grandie...
Camille, profite en.
Jous Camille,
Jous et ris,
Tes yeux sont encore tout baignés de joie.
Chante Camille,
Chante ta vie,
Tant qu'il y a encore des sourires dans ta voix.
Tu sais, je pleure bien assez pour deux,
Alors, laisse moi pleurer pour toi,
Et ris, ris encore un peu,
S'il te plait, Camille, fais le pour moi.
Ta grande soeur qui t'aime depuis toujours
Magali
Magali
Mardi 3 novembre 2009 à 22:54
Encore une pleine lune...
Une deuxième,
Encore une nuit qui va se passer sur le bord de la fenettre jusqu'a ce que ce bain de lune ne m'éclaire plus et disparaisse dans l'horizon pour m'abandonner sous un soleil violent qui me brule au lieu de soigner ma douleur.
Je regarde cette lune et c'est toi pourtant que je vois. C'est ta présence que je sent.
En ce moment j'aurais du la regarder avec toi. Dans tes bras.
La vie est cruelle parfois. Ce qui étonne toujours quand on l'a trouvé si généreuse quelques instants avant. Mais je ne vais pas me plindre, non.
J'ai déjà bien plus que ce que j'aurais oser réver vivre un jour dans ma vie. Tant que tu ne m'oublie pas je continuerais d'avancer. Tant que ces amis, beaux anges seront là, pour me faire rire dans la nuit d'halloween. Tant que mon petit monde tourne a peu près rond je réussirais a trouver un équilibre, un bonheur quelquonque.
Comment ai-je put rester si insensible a la lune tout ce temps? A ces changements? A ses heures de visibilité, a ces fois ou elle joue avec moi. Elle me surprend maintenant quand même en plein jour je l'apperçoit. Comme un clin d'oeil envoyer par dela les kilomètres. Suis-je totallement folle? Folle d'amour? Folle de toi?
Oui. Oui mon ange je suis barge, barge de toi. Lorsque ma porte s'est fermé pour me laisser après deux jours seule dans l'appartement une douleur inconsciente s'est emparer de moi comme l'orage, fugasse. Pourtant j'étais réellement heureuse quelques secondes avant, pas de semblant, pas avec elles. Le manque m'a poignarder, je me suis écrouler. Cela fesait une éternité que je n'avais pas sentit cette vieille blessure. Tu me manque tellement... Il me fallait toucher ta peau, sentir ton odeur, plonger dans ton regard. Il me fallait tes baisers enflammés. Tes yeux humides d'émotions. Tu voit comme je suis folle. Le poison est remonté et s'emparre de moi finallement tu vois. Ce n'est pas simplement une douleur, c'est de la survie. Il n'y a plus que toi. Pas d'autres possibilité. Toi ou plus rien. Ultime essaie. Ultime croyance.
L'amour doit etre une religion. Sans y croire, sans avoir une foi qui ne vacille pas face aux épreuves, sans confiance et un beaucoups de sacrifice et de bargerie rien n'existe. Comme Dieu a un athé.
J'aurais du etre avec toi... encore bien des lunes a voir avant que je retrouve le gout de ta peau. Tiendras t-on? Habibi y arrivera tu? M'aimera tu encore autant? C'est étrange je suis morte de peur et a la fois j'ai confience. Une confiance sans fondement ou presque, pourtant une confiance aveugle. Je me lance dans le vide en me disant qu'au moins je saurais. Sans confiance on ne peut savoir si cette confiance va etre trahi.
Je me sent seule ce soir. Abandonnée chérie. Je frissonne. Il fait froid sous ta lune. Il fait froid parce que je vois la lune qui disparait et que tu me quitte déjà derrière mon tôt. Bientot ta lumière ne m'éclairera plus et je disparaitrait dans le néant.
A demain chéri...
Nbrik
Une deuxième,
Encore une nuit qui va se passer sur le bord de la fenettre jusqu'a ce que ce bain de lune ne m'éclaire plus et disparaisse dans l'horizon pour m'abandonner sous un soleil violent qui me brule au lieu de soigner ma douleur.
Je regarde cette lune et c'est toi pourtant que je vois. C'est ta présence que je sent.
En ce moment j'aurais du la regarder avec toi. Dans tes bras.
La vie est cruelle parfois. Ce qui étonne toujours quand on l'a trouvé si généreuse quelques instants avant. Mais je ne vais pas me plindre, non.
J'ai déjà bien plus que ce que j'aurais oser réver vivre un jour dans ma vie. Tant que tu ne m'oublie pas je continuerais d'avancer. Tant que ces amis, beaux anges seront là, pour me faire rire dans la nuit d'halloween. Tant que mon petit monde tourne a peu près rond je réussirais a trouver un équilibre, un bonheur quelquonque.
Comment ai-je put rester si insensible a la lune tout ce temps? A ces changements? A ses heures de visibilité, a ces fois ou elle joue avec moi. Elle me surprend maintenant quand même en plein jour je l'apperçoit. Comme un clin d'oeil envoyer par dela les kilomètres. Suis-je totallement folle? Folle d'amour? Folle de toi?
Oui. Oui mon ange je suis barge, barge de toi. Lorsque ma porte s'est fermé pour me laisser après deux jours seule dans l'appartement une douleur inconsciente s'est emparer de moi comme l'orage, fugasse. Pourtant j'étais réellement heureuse quelques secondes avant, pas de semblant, pas avec elles. Le manque m'a poignarder, je me suis écrouler. Cela fesait une éternité que je n'avais pas sentit cette vieille blessure. Tu me manque tellement... Il me fallait toucher ta peau, sentir ton odeur, plonger dans ton regard. Il me fallait tes baisers enflammés. Tes yeux humides d'émotions. Tu voit comme je suis folle. Le poison est remonté et s'emparre de moi finallement tu vois. Ce n'est pas simplement une douleur, c'est de la survie. Il n'y a plus que toi. Pas d'autres possibilité. Toi ou plus rien. Ultime essaie. Ultime croyance.
L'amour doit etre une religion. Sans y croire, sans avoir une foi qui ne vacille pas face aux épreuves, sans confiance et un beaucoups de sacrifice et de bargerie rien n'existe. Comme Dieu a un athé.
J'aurais du etre avec toi... encore bien des lunes a voir avant que je retrouve le gout de ta peau. Tiendras t-on? Habibi y arrivera tu? M'aimera tu encore autant? C'est étrange je suis morte de peur et a la fois j'ai confience. Une confiance sans fondement ou presque, pourtant une confiance aveugle. Je me lance dans le vide en me disant qu'au moins je saurais. Sans confiance on ne peut savoir si cette confiance va etre trahi.
Je me sent seule ce soir. Abandonnée chérie. Je frissonne. Il fait froid sous ta lune. Il fait froid parce que je vois la lune qui disparait et que tu me quitte déjà derrière mon tôt. Bientot ta lumière ne m'éclairera plus et je disparaitrait dans le néant.
A demain chéri...
Nbrik