Dimanche 11 octobre 2009 à 19:41



"J'ai peur d'être attiré par le néant, j'me sens tellement bien dans la noirceur, j'me sent dans mon élément.
J'ai comme envie d'sauter dans l'vide, me passer la corde au cou, me noyer, m'entailler les veines du coude au poignet, j'ai comme envie d'me mettre une balle dans l'crâne mais j'ai pas d'flingue, regarde moi dans les yeux tu comprendras qu'j'suis qu'une baltringue..."
Peur de l'échec de Orelsan


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L'aimerai-je trop?
Tellement que j'en serais aveugler? Pourquoi le monde veut qu'il soit mauvais, pervers?
  Comme une envie de sauter dans le vide. Et merde si je me détruit. Prendre cette avion, comme une piqure d'héroine.
Un saut de l'ange dans un vide immence.
Je vais peut etre en mourir. Si il m'abandonne au coin du chemin.
Vouloir le faire, savoir, sinon je ne saurais pas... je regretterais.
Je ne sais plus...



Mercredi 7 octobre 2009 à 22:06


"jeu. 22/05/08 21:00
Commentaire de jeune demoiselle recherche... quoi ? :
c'est mal écrit ça fait rire, mais c'était écrit en arrière son des pys4traaaaaaa...

C'était de l'amour, le vrai, l'immortel, celui dont personne n'aurait pu briser les ailes, mais qui aurait bien pu penser
que ce n'était depuis tout ce temps que d'un côté ? Jusqu'à ce que tu tombes pour moi, ouais tombe pour moi, que
tu en baves que tu ne résiste pas à deux trois je t'aime, que jusqu'à ce que ton esprit s'embrouille lui-même et ne comprenne
plus comment ni pourquoi on en est arrivés là, à s'aimer à la folie et pour la vie alors qu'on ne s'était pas vu depuis des mois
était-ce un manque affectif ou une âme en manque de kiffe ? personne ne l'sait toujours est-il qu'on en est là, toi et moi sans
qu'tu sois moi ni que j'sois toi ... Avais-tu peur de trop d'amour ? As-tu réalisé que ce n'en était pas ? As-tu trouvé quelque
reproche à faire ? En avais-tu une autre à te fair! e ? Personne ne l'sait toujours est-il qu'on en est là. Toute une passion, des années gâchées pour que rien ne soit réalisé, des heures entières passées à penser à l'autre, pour que soit banni de notre language le mot 'notre', pour que msn devienne un endroit limite de haine, où tu te connectes plusieurs fois, pour me montrer que t'es là, mais comprends-tu que j'ne peux plus, que je ne peux plus penser à toi, être amoureuse de toi, faut que j'toublie, que jte laisse sur le bord du ch'min, pour mieux avancer dans ma vie et devenir quelqu'un. Sans toi je le peux. avec toi jle peux pas. m'as tu une fois aimée ? Personne ne l'sait toujours est-il qu'on en est là. On s'connaissait mieux que personne et maintenant c'est à peine si ton absence résonne, t'oublier c'est facile, mais faut à nouveau aimer ou faire comme si, parce que cet amour était impossible, mais que c'était celui de ma vie."


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    En deux ans d'amitié fallait bien que je te dédis un ptit article quand même !
Deux ans de complicité avec une fille en or. Nora, la ptite norvegienne russe qui adore Staline. La littéraire refouler qui se retrouve a "Proposer une hypothèse explicative des réactions précoses qui caractérisent l'anticipation visible".  Celle qui boit la Vodka sur msn a 4h du mat et pense même pas a prendre de l'eau pour faire illusion devant la cam'. La fana de films, celle qui écrit des chansons de rap et un roman qu'on éditera avec Comet's Editions. Et qui sait peut etre que pour les gens qui le lirons tu changera leurs mondes. En tout cas le mien de monde tu l'a changer. Qui aurait cru que l'amitié aide autant hein? On a pleurer comme rit ensemble. Tout vécu ou presque. Je refets pas la liste on l'a fait des miliers de fois. La musique, le foyer, les dédicasses sky, faire des roues sur le stade, courir pied nue sur le goudron chaud... aujourd'hui je te masse les molets quand ta des crampes et on se choote a l'Isostar, on se chope des orgasmes a courir trop vite ^^. Je scouat chez toi, on se fait des croques monsieurs comme des grosses! On a toujours aussi peur de l'amour, du mal que ces ptit hommes peuvent nous faire parce qu'on a toute les deux vécu une histoire similairement douloureuse. On se comprend de mieux en mieux, en un regard, un geste.  A chaque fois je crois qu'on ne peut mieux se connaitre et on en découvre encore...
Tu m'fais délirer quand on parle de sexe. J'adorais l'époque ou tu me posais des milliers de questions, t'avais peur de pleins de choses et ou je fesais semblant de l'avoir déjà fais. Maintenant c'est moins drole du coup :p!
Chaque fois que ca va pas t'es la première personne a qui je pense, même si je passe pas toujours le pas pour t'écrire un texto! Toujours peur de faire chier. On peut tout ce dire, tout partager même les choses les plus perso, dont on a honte! C'est incroyable quand on y pense...!
T'es adorable, jamais exubérante, fatiguante, pas assez bavarde pour me noiller, pas trop silenceiuse pour me rendre mal alaise. T'es chou comme tout. Avec tes petits dessins symboliques, tes mots sur mon agenda, tes silences quand tu hésite a dire ce que tu a sur le coeur, tes questions sur tout, tes attentions et ta superstitions pour pouvoir un peu réver dans ce monde trop terre à terre.
Je pourrais écrire un roman sur toi!
J'aimerais que cette amitié ne prenne jamais fin, comme Mara, comme Batoul, même Nico malgrès qu'il m'énerve souvent :) comme Claire, comme pour toutes ces rares personnes qui compte vraiment.
"J'essaie d'etre la pour ceux qui en vallent la peine..."

Je t'aime.
 



 

Dimanche 4 octobre 2009 à 22:15

Sous les éclats de la pleine lune je valse.
Je n'aime que la nuit en ce moment. Qui l'aurais cru possible un jour. Moi qui est fui la nuit toute ma vie. Qui l'ai haï, qui aurait tout fait pour que le soleil ne disparaisse jamais pour que cette peur sourde ne vienne pas. Le nuit je l'attend maintenant. Je voudrai pouvoir y danser a l'infini sous ces étoiles. Marcher sur mes chemins terreux les pieds nue pour l'éternité, jouer avec la lune. Je me retrouve dans la nuit. Je m'y reflète étrangement. Elle est mon mirroir ma maison. Je m'y sent bien. Protéger. Je voudrais que jamais ne se lève ce soleil qui me brule, me dévord. Qu'il n'y ai plus d'homme sur terre, pour m'attaquer sur mes chemins de terres, plus d'obligation de me lever demain et donc de me coucher tot. Non je veux encore parcourir les terres sous les rayons de la lune. Je veux encore me perdre dans l'obscurité et danser... a toi. Rester alonger toute les nuits dans les herbes folles a observé la lune et ses changements chaque nuit, ses zones d'ombre, des cratères. Sentir l'odeur de la nature qui se repose, le frais qui balaille mon visage... Ne pas vouloir rentrer

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J'écris de nouveau ici. C'est bizzar. Je ne sais pas pourquoi tout ce flot de mots m'envahi de nouveau. J'ai un besoin irréfréné que ca sorte. Pourquoi ici est pas sur un papier je sais pas. Ici j'ai l'impression qu'hurlai, ca sort de mon corps et ce perd dans le néant. Un papier je reste dans le silence. Ce ne sort pas vraiment.

Samedi 3 octobre 2009 à 16:52

En attente d'un appel. Je doute comme toujours. Pour rien. J'ai peur et ca ne changera pas de ci tôt je pense. Peut etre que j'aurai peur toute ma vie qui sait. Journée mélancolique, j'ai envie de pleurer pour rien, sommeil encore. Envie de le voir. Bientôt sans doute.
C'est trop compliquer l'amour. J'ai enviede fuir, comme a chaque fois que ca me met un tout petit peu en danger. Je me dit "arrete tout". C'est plus facile, peut etre trop. Fuir c'est simple. C'est moi qui fait mal pas moi qui prend. Mais ca ne rime a rien. Encore plus cette fois que les autres. Il ne me reste que ça. Si j'abandonne il n'y a plus que cette routine, douce certe mais qui n'avance pas. J'ai besoin de ces choses habituels qui semble ne jamais sarreter, ca me rassure, je dois etre un peu otiste pour ca. Lui, c'est le bonheur, pur. Si il n'y a plus cette attente de le voir il n'y a plus de but, plus d'envie de voir demain, car demain est comme hier, comme aujourd'hui. Alors je vais partir, de toute façon il n'y a plus rien a détruire en moi. Le mal je le connais trop, je lne e crains plus. Je me refais les One Tree Hill... Un gout de seconde me reviens, Peyton reste mon mirroir. Ques qui a changer depuis deux ans? Rien, ou si peu finallment on se sent changer mais on fond peu de chose on changer. Je reste la même fille perdu dans un monde qui va trop vite pour elle. Je n'ai pas grandi, j'ai stopper a la seconde. Peyton a évoluer, elle est maman. Je n'arrive pas a l'accepter, je revois en boucle la saison 2, pas la suite. Moi je n'évolue pas, j'ai toujours dans un coin de ma chambre "People always leave", parce que c'est toujours aussi vrai. Arriverai-je un jour a ne plus avoir peur? A regarder demain sans avoir peur de l'abandon de ne pas etre assez? Es-ce que je me trouverai bien un jour? Es-ce que quelqu'un m'aimera, me supportera longtemp? Es-ce que j'arriverai a vivre avec cet homme sans avoir peur tout les jours qu'il ne veuille plus de moi?
Je ne sais pas ce que j'ai aujourd'hui.
Tout me reviens d'un coup sans que je sache pourquoi. A enfouir le passée des fois ca ressort. J'ai peur de quitter le lycée, ma routine, le Bus et la musique ou je songe baloter par les ronronnements du moteur, ces couloirs si familiers, ces amis, ces fous rires, ces confidences, la pelouse, le stade et tout ces souvenirs. C'est ici je suis née vraiment, quand je suis entré en seconde. Et partir c'est un peu comme mourir... J'me sent bien ici.
J'ai peur du futur, je sais que je me rève sans faire d'effort pour réaliser mes rèves, je n'arrive pas a trouver du courage et ca me désole. J'ai peur de ce que je vais bien devenir vue que l'échec est prévisible. J'ai peur de ne jamais faire d'humanitaire et ca fait perdre tout le sens de ma vie, toute son utilité. Plutot mourir alors, que de jamais vivre ca.
J'aimerai rester dans mon lit, dormir jusqu'au vacanses, a m'empifrer de nutella en regardant des films. Voilà ce dont j'ai vraiment enive la tout de suite.


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<3

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