Dimanche 7 juin 2009 à 19:46

 

Mercredi 3 juin 2009 à 14:45

"Si tu savais mon frère
Ce que je trouve là-bas chaque fois
Le rythme lent de la terre
Où les vies passent doucement pas à pas

Si tu savais mon frère
Ce qu'ensemble veut dire là-bas
Au cœur des monastères
Les dieux s'inclinent devant tant de foihttp://manon.cowblog.fr/images/photos/3438milleetunenuits.gif

Ici nous âmes sont grises
Les gens ne se regardent pas
Nos sentiments s'enlisent
Et l'on ne voit que ce que l'on a pas

Eux tu sais quand ils disent
Pas besoin de signer en bas
Chaque matin chaque brise
C'est ton corps qui parle pour toi

Si tu savais mon frère
Comme je me retrouve quand je suis là-bas
Dans le chants leurs prières
Où j'aime tant mêler ma voix

Si tu savais mon frère
Comme chaque jour est fort là-bas
Les bonheurs les misères
Tout se partage même le moindre repas

Le pain et les chimères
La peur de l'au-delà
Juste offrir et se taire
Sans réfléchir juste comme ça


La crainte du tonnerre
La mort qui vient déjà
C'est tout leur univers
Qu'ils partagent simplement avec toi

Si tu savais
Il suffit de donner
Si tu savais
Aimer c'est partager

Si tu savais
Il suffit de donner
Si tu savais
Aimer c'est partager

Le bonheur, c'est partager"

Lundi 1er juin 2009 à 21:44

Fini. Je ne passe plus mes nerfs ici.
Fini. Vous n'aurez plus a subir
des lignes et des lignes de débat intérieur, de récit stupides et  si vite écrit.
C'est pas que j'en ai plus besoin. Je sais que ça saoul. C'est pas drôle. J'arrete. C'est malsain.
Au pire je mets quelques mots comme mon dernier post. Mais le reste me direz vous... oui je vous entend d'ici. Le reste ça sera du positif, des délires, mes passions, comme un tableau ou on accroche des objets souvenirs. Voilà, ca vient de me prendre. Une idée comme une lampe qui s'allume sans qu'on ai prit le temps de toucher le bouton.
J'ai pas les mots alors je laisse Soprano parler pour moi...



Bonsoir je m'appelle Said
Bonsoir said
J' ai 27 ans et j' suis mélancolique
J'suis d'ces artistes qui écrivent leur vie
Comme on laisse une derniere lettre près d' une boite de prosak vide
Ca a été trés difficile pour moi de venir ici ,
D 'accepter ma dépendance à la mélancolie
Le déclic a été de voir ma mère recracher en larme tout ce qu' elle a bu de mes bouteilles à la mer,
Je m' en veux de la voir si triste
Alors qu' elle n'a jamais été la lame de mes cicatrices
Ni personne de ma famille d' ailleurs
Mais leur tailleur est noir à chaque fois qu'ils écoutent mes disques
J'ai pris le risque de faire de la musique,
D' étaler ma vie au public pour soigner un mal de vivre,
J'prends conscience de mon égoisme
Quand je vois comment ils subissent le succès de mes lyrics
Je remplis mes vers de rimes mélancoliques
Et ma voix frise le coma éthylique sur rythmique
j' aime la pression qui mousse mes thèmes,
Un ivrogne qui s'empègue avec des packs de peines

Car j' ai trouvé mon bonnheur en chantant mes malheurs
Réappris à rire à travers mes pleurs
Mais j'réalise que je fais du mal à ceux que j' aime
Depuis que je bois des vers de mélancolie pour être moins triste
Réappris à vivre en étant sous terre
Retrouvé mon coeur aprés l'avoir eu en pierre
Pour ma famille, je suis, chez les mélancoliques anonymes


Au début je rappais pas pour en vivre
On rappait tous dans un block autour d'un poste pour le délire
J'partais en impro j 'enchainais les mots
J'allumais le mic et ma bouche était un chalumeau
Je taffais mes jeux de mots
Je ne dormais plus
Toutes mes nuits étaient blanches pour que mes feuilles ne le soient plus...


Adieu carnet de mes pleurs, bonjour petit tableau de ma vie =)

Lundi 1er juin 2009 à 17:42



Pourquoi je t'aime bordel


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