Je revient de mon week-end vidage de tête.
C'était bien simpa. Cette nuit j'ai enfin réussit à dormir depuis 7 jours maintenant... Je suis tombée, morte de fatigue sur mon lit, endormit. J'ai toujours des haut et des bas mais je suis aujourd'hui accompagnée. J'ai en partit ce regard qui sait. ça me donne de la force pour continuer. J'ai envie de construire en ce moment. Alors je suis obliger de m'écarté de mon père destructeur. ça me fait du mal parce que malgrès tout j'ai toujours besoin de lui. Déjà que je ne sent pas ma mère... Cela fait deux ans que j'ai besoin de lui. Je viens de m'en appercevoir mai je ne peut pas lui en vouloir pour autant. Je remplit ma vie doucement pour écarté la mort. Le soir la méancolie reste toujours et elle m'est devenu familère. ça me fait peur d'ailleurs. Cela devient une drogue, une présence. "J'aime" cette mélncolie et à chaque fois que je la perd je ne me sent plus tout à fait moi. Pourtant lorsque je l'ai je la déteste je la regette parce que je sais quel ne me fait pas que du bien. J'ai toujours peur du futur comme s'il n'existé plus. J'ai vue mon lycée...il me paraissait irréel comme si je n'aurait pas du le voir. Comme si je n'irait jamais ici... J'ai ma période sitation en ce moment c'est la follieje me remplit des bloc notes que j'enregistre sur mon ordi. Bon je vous laisse je retourne à ma peinture.
Manon*