"J'avais enfin trouvé ma vraie place dans l'univers ; je n'étais plus décallé ; j'y brillais."
"Révélation" Stephenie MEYER
J'ai retrouver ma maison, mon chat, mon lit, mes repères, mes amis, ma vie tranquille, mon quotidien. C'est rassurant le quotidien. Ca protège, c'est la paix. Je suis fatiguer, j'ai bourrer pour faire le minimum de devoir, ceux les plus importants vue la masse que j'ai gentiment laisser s'entasser durant ces dernières semaines. J'écris pourtant ici. Ce blog ma manquer. Il fait partit de mon quotidien, c'est aussi ma maison. Je m'y sent bien. Je m'y suis fait mon trou a force. Je crois que c'est le seul que je n'arriverais pas a effacer, ni même a en ressentir l'envie. Simplement parce que j'y suis moi, sans retenue je me laisse aller sans penser a rien, juste ce qui me passe la tout de suite par la tête. Flot incessant. Je suis bien ici. L'obligation du voyage ne me fait que plus apprécier mon quotidien monotone. J'ai envie de profiter. Ne pas me coucher pour profiter. D'un temps pour moi. J'ai envie. Grande première. J'ai envie de plein de choses. Je m'occupe de moi. Ca me facine comme je change, comme j'évolue entre chute et monter. Entre espoir et desespoir. Comment un malheur apporte un bonheur et vice versa. J'abandonne mon père. Je ne l'aide plus j'ai décider que c'était fini. Je ne peut plus etre sa mère, c'est au dessus de mes forces. Peut etre que ce changement va le faire réagir. Peut etre retrouverai-je un père? Les progets se sentent déjà un peu... Une idée de ma mère "Devient comme tes soeurs, égoistes et égocentriques, ton père sera a tes pieds". Elle sait que comme elle je ne sait pas etre égocentrique. Je redevient une enfant c'est tout. Qui aurait cru que ma mère tant de fois détester et qui n'a jamais compris mon père était la clef a ce cercle vissieux? J'ai envie de peindre, de jouer les partitions de piano que j'ai ramener d'angleterre, de prendre des cours de danses de salon, de me faire des plaques, m'acheter une robe et des talons pour noël. Après avoir était garçons manquer j'ai envie de faire ma femme. Femme encore bien enfant et fragile j'ai peur du copain de ma mère. L'idée que notre nouvelle bonne entante soit en danger, dans un équilibre instable me térorise. Je me love dans mon lit en blotissant les vieilles peluches contre mon visage.
Je suis cher moi, en sécurité. Rien ne peut m'arriver.
Je suis heureuse
Manon*