" ---> Ca.mi//e dit :
...je t'aime
Mon amour dit :
comme si j'aller dire moi non
---> Ca.mi//e dit :
Sa se peut
Mon amour dit :
impossible"
Vincent et moi, il y'a un peu plus d'un an
Comment faites vous pour me plaindre? Comment faites vous pour encore croire en ma détresse alors que cela ne s'arrête presque jamais? Comment me lisez vous encore alors que cette endroit est un défouloir, une insulte a la vie?
Je continue a cracher dans l'urgence, en survie. Parce que finallement je ne sais faire que ça. Parfois ça me rend malade de savoir que j'ai l'égoïsme de vous faire subir ça. Je devrais vous faire rire, au lieu de raconter tout le noir, je devrais me taire. Ne plus étaler ma vie dans ses détails, et vous blessez par la même occasion. Je devrais. Je devrais. Je ne peut pas.
Je ne me suis jamais autant sentit seule. Ce n'est la faute de personne. Mon père se contente de "Arrete de déprimer Camille je t'en prie!" mais dès que je commence une phrase il ne m'écoute pas et ce fous de ma gueule, ma mère m'inonde de ses problèmes avec Magalie. Mes amis sont les plus présents, ils sont tout pour moi. Je suis en total incapassité de communiquer. Le gros blocage. La grosse fuite. Laisser passer la tempète. Suivre bètement le cours, s'enfuir. S'enivrer de House en boule sur son lit avec l'ordi comme bouillote, ou bien dessiner pendant des heures pour apprendre les ombres. Des envies de SOS a envoyer a Elle en sachant très bien qu'elle prendra sa comme du chantage. Envie de dormir pour fuir, de manger tout le temps. Envie de vivre seule pendant un mois entier sans pointer son nez dehors et qu'il pleuve des sauts pendant tout ce temps.Que tout s'arrete la, le temps, les cours, cette course incessante vers rien. Envie de rien. Envie que toute ses années d'études s'envollent jusqu'a ce qu'il se passe quelque chose de bon, de tellement bon que cela me donnerait assez de force pour surmonter tout le reste. Des regrets en amats et des deceptions a n'en plus finir. Une confience en soi niveau zéro. Une énergie dans les négatifs. C'est grave docteur? La guitare me fait de l'oeil mais mon corps ne suis pas. Eviter toute conversations sur mes notes, mon bac, mon code et toute les choses qui presse et pour les quels je ne pense pas, je ne fait pas assez, et si j'avais cela tralala et tralala... "Au fait papa ca s'est bien passer ta réunion?"
Un beau sourire a ma classe, des blagues, on laisse faire le proffesseur d'anglais qui aurait voulu métrangler pour mes fautes MONSTRUEUSES, on oublie bien vite pour pas passer sa confience en soi dans les négatifs et les larmes retournent a l'estomac. On se dit: demain ca ira, demain je vais m'y mettre.
Et demain c'est toujours demain.
Manon*
Je continue a cracher dans l'urgence, en survie. Parce que finallement je ne sais faire que ça. Parfois ça me rend malade de savoir que j'ai l'égoïsme de vous faire subir ça. Je devrais vous faire rire, au lieu de raconter tout le noir, je devrais me taire. Ne plus étaler ma vie dans ses détails, et vous blessez par la même occasion. Je devrais. Je devrais. Je ne peut pas.
Je ne me suis jamais autant sentit seule. Ce n'est la faute de personne. Mon père se contente de "Arrete de déprimer Camille je t'en prie!" mais dès que je commence une phrase il ne m'écoute pas et ce fous de ma gueule, ma mère m'inonde de ses problèmes avec Magalie. Mes amis sont les plus présents, ils sont tout pour moi. Je suis en total incapassité de communiquer. Le gros blocage. La grosse fuite. Laisser passer la tempète. Suivre bètement le cours, s'enfuir. S'enivrer de House en boule sur son lit avec l'ordi comme bouillote, ou bien dessiner pendant des heures pour apprendre les ombres. Des envies de SOS a envoyer a Elle en sachant très bien qu'elle prendra sa comme du chantage. Envie de dormir pour fuir, de manger tout le temps. Envie de vivre seule pendant un mois entier sans pointer son nez dehors et qu'il pleuve des sauts pendant tout ce temps.Que tout s'arrete la, le temps, les cours, cette course incessante vers rien. Envie de rien. Envie que toute ses années d'études s'envollent jusqu'a ce qu'il se passe quelque chose de bon, de tellement bon que cela me donnerait assez de force pour surmonter tout le reste. Des regrets en amats et des deceptions a n'en plus finir. Une confience en soi niveau zéro. Une énergie dans les négatifs. C'est grave docteur? La guitare me fait de l'oeil mais mon corps ne suis pas. Eviter toute conversations sur mes notes, mon bac, mon code et toute les choses qui presse et pour les quels je ne pense pas, je ne fait pas assez, et si j'avais cela tralala et tralala... "Au fait papa ca s'est bien passer ta réunion?"
Un beau sourire a ma classe, des blagues, on laisse faire le proffesseur d'anglais qui aurait voulu métrangler pour mes fautes MONSTRUEUSES, on oublie bien vite pour pas passer sa confience en soi dans les négatifs et les larmes retournent a l'estomac. On se dit: demain ca ira, demain je vais m'y mettre.
Et demain c'est toujours demain.
Manon*