Mais il est absent

Mardi 10 avril 2007 à 19:08

"J'ai besoin de toi."
Voilà ce que je voudrait lui geuler. Il est la mais déconnecter, il est lasse, il en a marre de tout et moi je voudrait qu'il oublie tout, qu'il soit présent, qu'il me prennent dans ses bras a me murmurer des "je t'aime". Je voudrait qu'il n'y ai plus personne autour. Que rien ne puisse plus me l'enlever mais il part, il m'achape des doigts et je tente de le retenir.
Il m'aime, oui c'est une certitude mais il n'est pas démonstratif, pas assez.
Je réagis mal moi aussi, j'me plante et puis je regrette.
Les devoirs sont sur la table, j'y arriverais pas.
J'y arrive plus j'ai besoin d'entendre sa voix, j'ai besoin de sentir qu'il est là.
Je suis faible mon dieu il me faut son épaule et ma tête s'obstine a me dire qu'elle ne sera pas  toujours là.
L'amour est éphémère.
Et merde quoi. Pourquoi je nourri mon cerveau d'insertitude.
Je voudrait etre sur de moi, sur de lui, adieu le mal a l'aise et la peur du ridicule.
Je voudrait m'abandonner dans ses bras et pourtant des choses m'en empèchent.
Là j'en suis sur trop de questions tourne et vire volte, s'entrechoque dans un caos telle que je n'arrive plus a disserner a qu'elle question je doit répondre en premier; que les devoirs aille ce faire voir.
Demain je direr la même chose...cours, guitare, opération et coiffeur.
Je n'aurrais le temps de rien faire.
Marre, j'en ai marre.


Manon*
photo: temps à la déprime de ma chambre

Questionnement sans fin

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Je dois encore y réfléchir

Dimanche 8 avril 2007 à 21:22

    Un soir de plus je me questionne.
Es-ce qu'il ne faudrait pas que je rende public ce blog.
Pourquoi cacher autant de chose alors qu'elle sont le fond de mes pensées.
J'ai peur d'etre juger, peur de ne plus arriver a écrire sans barrière.
Me restraindre pour ne pas que l'on me découvre sous mon vrai jour.
Mon équilibre est bon en ce moment je renait a une nouvelle vie pourtant j'ai toujours des craintes. Comme si je marcher sur des jambes qui aurait été fracturait et qui avait du subir le platre pendant des mois.
Je traibuche, je ne tien pas bien en équilibre et ma marche n'est pas assuré.
Parce que le cerveau sait que cette endroit est fragille.
Le cerveau ne cherche qu'une seule chose...VIVRE.
Alors forcément ce blog a été un appuis lorsque j'allais mal alors du coup il a du mal a le lacher.
Pourtant j'ai encore une partit de moi qui dit de le montrer.
Avoir l'avis des autres sur ce que je dit.
Etes-vous comme moi ?
Suis-je pour vous une pauvre folle ou une réelle écorcher ?
Es-ce que quelqu'un prendrait le temps de lire toute ses lignes de mes pensées interminables et qui en trouverais un intéret.
Es-ce que quelqu'un ce dirait, ce qu'elle écrit est fort et sa vie me passionne.
Tous sa métonerais beaucoup.
Et vous le savais autant que moi pourquoi.
Que faire je n'en sais rien.
Seul le temps le dira.

Manon*

Histoires d'amitier

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\\ Un pote, c'est pote; un amis c'est une personne que l'on peut appeler a 3 heures du mat si sa va pas //

Vendredi 6 avril 2007 à 15:36

    Et voilà je suis de retour...
Ces trois jours en Italie ce sont vraiment bien passées malgrès le peu de sommeil que nous avons eu. J'ai eu le temps de reprendre les blablatages avec mes copines que j'avais du mettre de cotés depuis que je suis avec Lui*.
Sa m'avais vraiment manqué.
Malgrès tout ce n'est pas comme avant. On bloque beaucoup plus a ce parler maintenant qu'on a toutes vraiment soufère.
Moi je reste comme d'habitude, je n'arrive qu'a envoyer des SOS a demi-mots que presque personne ne capte.
Je n'arriverais jamais à parler comme certain me parle. C'est comme sa.
J'ai rencontrer aussi un mec en or, ce genre de gars je les adores.
J'espère que je ne le perdrais pas de vue au collège.
J'avais mon meilleur ami qui été du même style et je l'es pardu comme tous ceux qui me sont chère alors je m'y acroche.
Je m'y suis même attacher...en 4 jours seulement.
Rien que la première nuit du bus ou l'on a parler longuement m'orait suffit pour sa.
Il est sincère et a le regard droit. On est sur de sa parole et c'est sa qui fait mon respect pour lui.
4 jours et pourtant nous avons la même impretions de s'etre toujours connue.
Mon homme me manque terriblement et je n'arrice pas a en parler non plus.
Par peur de saouler mes proches.
Pourtant il est là, dans ma tête a chaqu'un de mes mouvement, au fils de mes pensées.
Les mêmes flash-back reviennent et je me sent soudain voler.
Je sais qu'il sera la quand je retournerais au collège.
Comment vous dire, cette impretion que vous trouverait toujours un regard qui vien vous chercher, vous savais que vous manquer un quelqu'un, que quelqu'un est avec vous et sera là.
Je ne sais pas qui me protège mais en ce moment mon ange est revenue.
Je vais mieu, j'ai des amis géniaux avec une bande de potes térrible, un homme qui m'aime de tout son coeur et maintenant un amis proche, très proche qui sait juste en me regardant au fond des yeux que le brouillard commence a remplir ma tête. Tous sa m'oblige a garder un équilibre de plus en plus stable.
C'est bon...
Même Alouin a pris dans son regard du respect envers moi.
C'est absolument fou.
Pourquoi suis-je encore ici ?
Es-ce que j'aurais enfin gagner ma place ici ?
J'espère...

Manon*
Photo d'italie en plein délires.

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